Un groupe de rock iranien et environ 100 spectateurs ont été arrêtés cette fin de semaine à Ispahan dans la dernière vague de répression contre les concerts publics en Iran, selon des témoins. Les pasdaran et la milice du Bassidj ont transféré la bande et tout le public à la prison principale de la ville.
La loi des mollahs impose aux musiciens d'obtenir l'autorisation du gouvernement pour des prestations en public. En décembre, dans la ville de Sari, les forces de sécurité ont attaqué et arrêté un groupe de musique "underground" et les responsables d'un site de musique sur Internet, les forçant ensuite à faire des «aveux télévisés» et à se repentir.
La loi des mollahs impose aux musiciens d'obtenir l'autorisation du gouvernement pour des prestations en public. En décembre, dans la ville de Sari, les forces de sécurité ont attaqué et arrêté un groupe de musique "underground" et les responsables d'un site de musique sur Internet, les forçant ensuite à faire des «aveux télévisés» et à se repentir.
Le chef de la police de Téhéran avait également annoncé l'arrestation du chanteur de Rap persan Amir Hossein Maqsoudlou, âgé de 30 ans. Ses chansons sont diffusées sur des sites étrangers, ce qui est illégal en vertu des lois draconiennes des mollahs.
Les forces répressives ont également attaqué et détruit en novembre un studio de musique clandestin à Téhéran. La police a arrêté le propriétaire et confisqué les instruments de musique dont une guitare et un clavier, deux systèmes d'enregistrement, environ 5000 CD, des équipements satellites, avait rapporté l'agence officielle INSA.
Chez les mollahs obscurantistes, jouer d’un instrument de musique ou le montrer à la télévision est interdit, tout comme il est interdit pour une femme de chanter en public.
Les forces répressives ont également attaqué et détruit en novembre un studio de musique clandestin à Téhéran. La police a arrêté le propriétaire et confisqué les instruments de musique dont une guitare et un clavier, deux systèmes d'enregistrement, environ 5000 CD, des équipements satellites, avait rapporté l'agence officielle INSA.
Chez les mollahs obscurantistes, jouer d’un instrument de musique ou le montrer à la télévision est interdit, tout comme il est interdit pour une femme de chanter en public.
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