Ahmed Shaheed, le rapporteur fourbe de l'ONU
Hossein Taghavi, porte-parole de la Commission de la sécurité nationale du Majlis, a déclaré le 22 avril que le raid sauvage des forces de sécurité contre les prisonniers d'Evine le 17 avril dernier, avait été motivé par l'angoisse des autorités devant les rapports publiés par les organisations de défense des droits de l'homme sur la situation catastrophique des libertés en Iran.
"Des informations mensongères été transmises depuis la prison à des personnes hostiles comme Ahmed Shaheed, le rapporteur fourbe de l'ONU sur les droits de l'homme en Iran et aux médias étrangers, a-t-il déclaré. Par conséquent des inspections et des fouilles plus poussées étaient devenues très nécessaires". Il a expliqué avec obscénité: "cette action était nécessaire pour accroître la sécurité des prisons et préserver la sûreté de l'espace carcéral afin d'éviter des incidents éventuels"!
Cité par l'agence officielle Tasnim, le porte-parole de la Commission la sécurité nationale du Majlis s'est vantée du caractère "très minutieux" du raid: "l'équipe des inspections a été efficace. Parce que dans les affaires personnelles des prisonniers ils ont pu découvrir un ordinateur portable, une tablette, des téléphones portables et d'autres appareils électroniques. Les documents sur le lien qu'entretenaient certains prisonniers de la section 350 de la prison d'Evine avec les éléments hostiles à l'État sont disponibles. Ces prisonniers transmettaient des informations erronées aux groupes hostiles pour qu'elles puissent servir à créer un nouveaux climat hostile à l'État. Alors que nous savons que ces activités sont contraires aux règlements de la prison."
Faisant écho au directeur de l'Organisation pénitentiaire, Esma'ili, qui avait prétendu que les prisonniers n'avaient "même pas reçu une chiquenaude", Hossein Taghavi a ajouté: "au cours de la récente inspection de la section 350 d'Evine par l'Organisation pénitentiaire, l'équipe des inspections a essayé de guider respectueusement les prisonniers vers l'enceinte extérieure. Mais certains prisonniers délinquants ont résisté et commencé à proférer des injures (…) Plusieurs prisonniers ont commencé à hurler et briser les fenêtres et les portes pour provoquer les autres prisonniers. Au cours de leur action, la main d'un prisonnier s'est fracturée en essayant de casser les vitres". " On procédera conformément à la loi vis-à-vis des prisonniers de la section 350 de la prison d'Evine", a-t-il menacé.
Mme Maryam Radjavi, présidente élue la Résistance iranienne, a appelé à une enquête internationale indépendante sur le raid sauvage du 17 avril contre les prisonniers politiques à Evine. Vu les duperies et la tendance des autorités à se perdre dans des contradictions pour couvrir et minimiser leurs crimes, a-t-elle insisté, il est nécessaire qu'une enquête internationale soit menée pour faire la lumière sur ce crime horrible et identifier les responsables concernés.
Cité par l'agence officielle Tasnim, le porte-parole de la Commission la sécurité nationale du Majlis s'est vantée du caractère "très minutieux" du raid: "l'équipe des inspections a été efficace. Parce que dans les affaires personnelles des prisonniers ils ont pu découvrir un ordinateur portable, une tablette, des téléphones portables et d'autres appareils électroniques. Les documents sur le lien qu'entretenaient certains prisonniers de la section 350 de la prison d'Evine avec les éléments hostiles à l'État sont disponibles. Ces prisonniers transmettaient des informations erronées aux groupes hostiles pour qu'elles puissent servir à créer un nouveaux climat hostile à l'État. Alors que nous savons que ces activités sont contraires aux règlements de la prison."
Faisant écho au directeur de l'Organisation pénitentiaire, Esma'ili, qui avait prétendu que les prisonniers n'avaient "même pas reçu une chiquenaude", Hossein Taghavi a ajouté: "au cours de la récente inspection de la section 350 d'Evine par l'Organisation pénitentiaire, l'équipe des inspections a essayé de guider respectueusement les prisonniers vers l'enceinte extérieure. Mais certains prisonniers délinquants ont résisté et commencé à proférer des injures (…) Plusieurs prisonniers ont commencé à hurler et briser les fenêtres et les portes pour provoquer les autres prisonniers. Au cours de leur action, la main d'un prisonnier s'est fracturée en essayant de casser les vitres". " On procédera conformément à la loi vis-à-vis des prisonniers de la section 350 de la prison d'Evine", a-t-il menacé.
Mme Maryam Radjavi, présidente élue la Résistance iranienne, a appelé à une enquête internationale indépendante sur le raid sauvage du 17 avril contre les prisonniers politiques à Evine. Vu les duperies et la tendance des autorités à se perdre dans des contradictions pour couvrir et minimiser leurs crimes, a-t-elle insisté, il est nécessaire qu'une enquête internationale soit menée pour faire la lumière sur ce crime horrible et identifier les responsables concernés.
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