CNRI - Un membre du bureau d’Hassan Rohani est allé voir les familles de prisonniers politiques qui protestaient dans la rue devant le bureau du président du régime des mollahs. Il leur a dit de lui donner leurs demandes pour qu’il les fasse suivre.
Les familles des prisonniers politiques lui ont ainsi répondu : « Nous avons été devant le Majlis (le parlement du régime) et ils nous ont donné les mêmes promesses. Nous ne sommes pas venus ici pour discuter. Nous sommes venus ici pour déterminer le sort de nos enfants bien-aimés qui sont emprisonnés. »
Le 17 avril, un grand nombre d’agents des forces de répressions du régime des mollahs ont lancé un violent raid contre les prisonniers politiques dans la section 350 de la prison d’Evin. Le régime a prétendu que cette action était une opération pour « inspecter » l’intérieur de cette prison.
La section 350 est une section de la sinistre prison d’Evin réservée aux prisonniers politiques accusés d’être affiliés à l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI). Le 17 avril, L’Amnesty International a condamné ce raid et a demandé une action urgente.
Selon les rapports reçus de l’intérieur de l’Iran et d’après les témoins oculaires dans la prison d’Evin, les assaillants étaient des membres du département des renseignements des pasdaran, des agents antiémeutes de la prison et des agents des services de renseignement du régime (appelé « agents habillés en civil »). Certains de ces assaillants portaient des lunettes et avaient couvert leurs visages. Les prisonniers ont été introduits dans un couloir au milieu de deux rangés d’agents qui les tabassaient tout au long de leur passage dans ce couloir.
Les assaillants ont particulièrement frappé les prisonniers accusés d’être affiliés à l’OMPI. Plusieurs de ces prisonniers ont été gravement blessés. Selon ces rapports, les forces de sécurité ont battu même les prisonniers âgés.
D’après ces sources, dans un premier temps, les prisonniers politiques détenus dans la salle 1 et 3 de la section 350 de la prison d’Evin (lieu de détention des personnes accusées d’être affiliés à l’OMPI) ont été tabassés par les agents du régime. Ensuite, les autres prisonniers ont protesté contre ce tabassage. En réaction, les agents du régime ont également tabassé les autres prisonniers. Selon ces sources, les haut-parleurs de la prison ont diffusé l’ordre d’attaquer les salles 1 et 3.
Les geôliers ont placé 32 prisonniers politiques en isolement dans des cellules individuelles à l’intérieur de la section 240 d’Evin, malgré le fait que certains prisonniers étaient blessés et avoient besoin de soins médicaux. Depuis lors, on ne dispose d’aucune nouvelle sur le sort de ces prisonniers et sur leurs conditions de détentions.
Le 17 avril, un grand nombre d’agents des forces de répressions du régime des mollahs ont lancé un violent raid contre les prisonniers politiques dans la section 350 de la prison d’Evin. Le régime a prétendu que cette action était une opération pour « inspecter » l’intérieur de cette prison.
La section 350 est une section de la sinistre prison d’Evin réservée aux prisonniers politiques accusés d’être affiliés à l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI). Le 17 avril, L’Amnesty International a condamné ce raid et a demandé une action urgente.
Selon les rapports reçus de l’intérieur de l’Iran et d’après les témoins oculaires dans la prison d’Evin, les assaillants étaient des membres du département des renseignements des pasdaran, des agents antiémeutes de la prison et des agents des services de renseignement du régime (appelé « agents habillés en civil »). Certains de ces assaillants portaient des lunettes et avaient couvert leurs visages. Les prisonniers ont été introduits dans un couloir au milieu de deux rangés d’agents qui les tabassaient tout au long de leur passage dans ce couloir.
Les assaillants ont particulièrement frappé les prisonniers accusés d’être affiliés à l’OMPI. Plusieurs de ces prisonniers ont été gravement blessés. Selon ces rapports, les forces de sécurité ont battu même les prisonniers âgés.
D’après ces sources, dans un premier temps, les prisonniers politiques détenus dans la salle 1 et 3 de la section 350 de la prison d’Evin (lieu de détention des personnes accusées d’être affiliés à l’OMPI) ont été tabassés par les agents du régime. Ensuite, les autres prisonniers ont protesté contre ce tabassage. En réaction, les agents du régime ont également tabassé les autres prisonniers. Selon ces sources, les haut-parleurs de la prison ont diffusé l’ordre d’attaquer les salles 1 et 3.
Les geôliers ont placé 32 prisonniers politiques en isolement dans des cellules individuelles à l’intérieur de la section 240 d’Evin, malgré le fait que certains prisonniers étaient blessés et avoient besoin de soins médicaux. Depuis lors, on ne dispose d’aucune nouvelle sur le sort de ces prisonniers et sur leurs conditions de détentions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire