Nouveaux Droits de l'Homme condamne le raid violent lancé le jeudi 17 avril contre les détenus politiques à la prison d’Evine, qui a fait plusieurs blessés et de nombreux placés en isolement.
Parmi les blessés figurent Gholam-Reza Khosravi-Savadjani, Assadollah Hadi, Javad Fouladvand et Assadollah Assadi qui sont dans un état critique. Les prisonniers ont été attaqués pour avoir fait valoir leurs revendications légitimes, notamment l'amélioration des conditions de détention et leur droit à la liberté de conscience.
Selon des témoins, les symapthisants des Moudjahidine du Peuple ont été particulièrement brutalisés et « battus à mort » ; d'autres prisonniers qui ont protesté contre les brutalités, ont eux aussi été la cible de violences. A la suite de ce raid, 31 détenus ont été placés en isolement dans la section 240 d’Evine.
La violence exercée contre les prisonniers politiques sans défense est une autre illustration de la détérioration des droits humains en Iran sous la présidence d'Hassan Rohani.
NDH se joint au Parlement européen pour déplorer la répression grandissante en Iran et enjoindre l'Union Européenne à "intégrer les droits de l’homme dans tous les aspects de ses relations avec l’Iran", (Résolution adoptée par le PE, le 3 avril 2014).
NDH appelle à la libération immédiate de tous les prisonniers politiques en Iran et à l'initiation de poursuites, par une juridiction internationale, contre les auteurs des graves atteintes aux droits de l'homme qui ont sévi depuis 35 ans dans ce pays.
Les gouvernements occidentaux, et notamment la France, ont le devoir de réagir avec vigueur face à la situation catastrophique des droits de l’homme en Iran, de subordonner toute relation politique et économique avec ce régime théocratique à l’arrêt des exécutions et à l’amélioration de la situation des droits humains en Iran.
Pierre Bercis
Président de NDH
Selon des témoins, les symapthisants des Moudjahidine du Peuple ont été particulièrement brutalisés et « battus à mort » ; d'autres prisonniers qui ont protesté contre les brutalités, ont eux aussi été la cible de violences. A la suite de ce raid, 31 détenus ont été placés en isolement dans la section 240 d’Evine.
La violence exercée contre les prisonniers politiques sans défense est une autre illustration de la détérioration des droits humains en Iran sous la présidence d'Hassan Rohani.
NDH se joint au Parlement européen pour déplorer la répression grandissante en Iran et enjoindre l'Union Européenne à "intégrer les droits de l’homme dans tous les aspects de ses relations avec l’Iran", (Résolution adoptée par le PE, le 3 avril 2014).
NDH appelle à la libération immédiate de tous les prisonniers politiques en Iran et à l'initiation de poursuites, par une juridiction internationale, contre les auteurs des graves atteintes aux droits de l'homme qui ont sévi depuis 35 ans dans ce pays.
Les gouvernements occidentaux, et notamment la France, ont le devoir de réagir avec vigueur face à la situation catastrophique des droits de l’homme en Iran, de subordonner toute relation politique et économique avec ce régime théocratique à l’arrêt des exécutions et à l’amélioration de la situation des droits humains en Iran.
Pierre Bercis
Président de NDH
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