Amnesty International a affirmé que les exécutions de deux prisonniers politiques, programmées pour le 22 mai, doivent stopper immédiatement. Ces derniers, issus de la minorité arabe en Iran, ont été forcés à faire des « aveux » devant les caméras de la télévision du régime iranien.
Ali Chebieshat et Sayed Khaled Moussawi ont été condamnés à mort le 9 septembre 2013 par le tribunal révolutionnaire d’Ahvaz qui les a accusés de « moharebeh » (guerre contre le Dieu).
« Ces deux prisonniers ont été forcés à faire des ‘aveux’ télévisés en relation avec l’explosion d’un gazoduc passant à proximité de leur village natal », a rapporté Amnesty International.
« Les histoires poignantes d’Ali Chebieshat et Sayed Khaled Moussawi montrent comment les décisions judiciaires en Iran sont sérieusement entachées d’irrégularités. Les gens sont régulièrement contraints à ‘avouer’ des crimes qu’ils n’ont pas commis et ils doivent subir des procès profondément injustes avant d’être envoyés vers la potence », a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, la directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Elle a ajouté : « Les autorités iraniennes violent toutes les règles de droit, notamment le droit des accusés à un procès équitable et le droit à la présomption d’innocence. Avec ces aveux forcés, les accusés sont contraints à participer au processus qui aboutit à leur condamnation à mort. Ces exécutions doivent être stoppées. »
Ali Chebieshat et Sayed Khaled Moussawi sont des activistes des droits culturels et ils militent en faveur des droits culturels et linguistiques de la minorité arabe en Iran.
« Ces deux prisonniers ont été forcés à faire des ‘aveux’ télévisés en relation avec l’explosion d’un gazoduc passant à proximité de leur village natal », a rapporté Amnesty International.
« Les histoires poignantes d’Ali Chebieshat et Sayed Khaled Moussawi montrent comment les décisions judiciaires en Iran sont sérieusement entachées d’irrégularités. Les gens sont régulièrement contraints à ‘avouer’ des crimes qu’ils n’ont pas commis et ils doivent subir des procès profondément injustes avant d’être envoyés vers la potence », a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, la directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Elle a ajouté : « Les autorités iraniennes violent toutes les règles de droit, notamment le droit des accusés à un procès équitable et le droit à la présomption d’innocence. Avec ces aveux forcés, les accusés sont contraints à participer au processus qui aboutit à leur condamnation à mort. Ces exécutions doivent être stoppées. »
Ali Chebieshat et Sayed Khaled Moussawi sont des activistes des droits culturels et ils militent en faveur des droits culturels et linguistiques de la minorité arabe en Iran.
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