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mardi 31 mars 2015

Troisième semaine de détention illégale d’un opposant iranien en Irak


 Appel aux USA et à l’ONU pour faire libérer sans délai Safar Zakery, membre de l’OMPI
Ce 31 mars, cela fera 16 jours que M. Safar Zakery, habitant du camp Liberty en Irak, est retenu en otage dans un centre de détention sous prétexte d’un accident suspect. Le 30 mars, le juge d’instruction a emmené au tribunal deux soldats en parfaite santé en tant que passagers blessés dans l’accident et a enregistré leur déclaration à titre de plaignant. Le but de ce dossier fabriqué est clairement de prolonger la détention de M. Zakery.
Or le conducteur du Humvee qui a provoqué l’accident n’a pas même été emprisonné un jour.
Jusqu’au 30 mars, une des excuses pour ne pas relâcher M. Zakery était que les déclarations de ces deux soldats n’avaient pas été enregistrées, mais lorsque cela a été fait, il n’a pas été remis en liberté. Ainsi, sous de faux prétextes et en forgeant constamment de nouvelles accusations infondées, un réfugié totalement innocent reste emprisonné.
En faisant entrer l’ambassade des mollahs à Bagdad dans ce dossier, le juge d’instruction a ouvert la voie aux manœuvres criminelles du régime iranien.
Le maintien en détention de ce réfugié intervient alors que toute la responsabilité de l’accident revient au conducteur du Humvee et que la carte d’identité de M. Zakery, sa carte officielle de « personne protégée » et son permis de conduire iranien ont été remis à la disposition du tribunal.
Le 23 mars, le HCR a également écrit officiellement au tribunal de Karkh à Bagdad : « « le ressortissant iranien M. Safar Zakery et une personne particulièrement vulnérable relevant du HCR ». Tout indique que cet accident suspect et ce plan pervers visent à exercer des pressions sur les habitants de Liberty.
M. Zakery, âgé de 60 ans, demeure incarcéré alors qu’après trois ans d’attente et les restrictions imposées par le blocus médical de Liberty, il a enfin obtenu au bout de trois ans d’attente la date du 5 avril pour subir une grave opération chirurgicale.
La Résistance iranienne souligne une fois de plus que cette détention illégale est une violation flagrante du protocole d’accord signé le 25 décembre entre le gouvernement irakien et l’ONU et de la loi internationale pour les réfugiés.
Elle appelle le gouvernement américain, la MANUI et le HCR qui se sont à maintes reprises engagés à assurer la sécurité et le bien-être des habitants de Liberty, à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à cette prise d’otage et libérer de toute urgence M. Safar Zakery.

Iran – Annulation de plusieurs concerts







CNRI – En Iran, les services de sécurité et l’appareil judiciaire du régime des mollahs ont annulé plusieurs concerts qui avaient préalablement obtenu toutes les autorisations officielles requises. 
Darioush Pirniakan, le porte-parole de « Maison de la Musique » a déclaré lors d’une interview diffusée le lundi 30 mars par l’agence officielle Ilna : « Les annulations des concerts sont très humiliantes pour les musiciens. »
Ces dernières semaines, dans différentes villes en Iran, plusieurs concerts ont été annulés, notamment les suivants :
Le concert de Sirvan Khosravi à Bouchehr (au sud-ouest de l’Iran)
Les concerts du groupe Lian à Bouchehr et à Chiraz (chef-lieu de la province de Fars, au sud de l’Iran)
Les concerts d’Alireza Ghorbani à Téhéran et à Machhad (deuxième ville d’Iran, située au nord-est du pays) 
Par ailleurs, sur ordre de Mohammad-Bagher Ghalibaf, le maire de la capitale, tous les cours d’enseignement de la musique à Téhéran ont été fermés. 
Darioush Pirniakan a déclaré que les musiciens en Iran sont très inquiets. Ils craignent que les agents des services de sécurité lancent des assauts contre « Maison de la Musique » et procède à la fermeture complète de cette institution.

lundi 30 mars 2015

IRAN: 12 prisoners secretly executed in a day


NCRI - The Iranian regime’s henchmen secretly hanged at least 12 inmates on Thursday (26 March 2015) in prisons in cities of Shiraz and Mashhad.
A group of five prisoners were hanged in a prison in the city of Mashhad in northeast Iran while another six were collectively hanged in Pirnia Prison in the city of Shiraz in southern Iran. On the same day, another prisoner was also hanged in Adelabad Prison in the same city.
In Shiraz, the prisoners were transferred to solitary confinements two days prior to the Iranian New Year (Nowruz), therefore, the victims spent the New Year’s day in isolation awaiting execution.
The religious dictatorship ruling Iran has refrained from publishing any report or information on the prisoners.
The growing number of executions, including many carried out in secret, are just trivial examples of the nationwide repression that continues to take place in Iran since Hassan Rouhani became president of the clerical regime.
Mr. Ahmed Shaheed, the UN Special Rapporteur on the situation of human rights in Iran, reported on March 25 that some 1000 executions had been carried out during the past 15 months in Iran. Prior to that, on March 16, he told a news briefing in Geneva: "There is a lot of concern amongst the Iranian society that the nuclear file may be casting a shadow over the human rights discussion."
The U.N.'s special investigator added that the human rights situation and repression in Iran has worsened since Hassan Rouhani became president.

Khamenei orders heightened executions and rocket attack on Camp Liberty to control the situation inside the country, following the “Decisive Storm” operation

Camp Liberty missile attack on 26 Dec 2013
Khamenei, the Supreme Leader of the anti-human mullahs, fearful of the reverberations of the Arab coalition “Decisive Storm” operation against the occupation of Yemen by mullahs’ regime mercenaries and to control the situation domestically has on the one hand ordered for heightened secret and overt executions and on the other hand his terrorist Qods Force has ordered its paid gang called Asa’ib Ahl al-Haq to conduct a rocket attack on Camp Liberty.
In order to prepare the ground for this criminal operation, the Qods Force has tasked its paid hands to disseminate false reports against the People’s Mojahedin Organization of Iran (PMOI/MEK) in their affiliated media, including the TV station of the Asa’ib gang called Al-Ahd, and claim that PMOI has links and cooperates with ISIS.
Given the repeated and written commitments by the U.S. government and theUnited Nations regarding the security and wellbeing of Camp Liberty residents, the Iranian Resistance calls on the UN Security Council and the U.S. government to adopt immediate measures, as well as necessary political and security provisions, to prevent rocket and terrorist attacks on Camp Liberty.

Iran – Les familles des victimes du massacre des prisonniers politiques en 1988 empêchées de rendre hommage à leurs proches

CNRI – Les familles des victimes du massacre des prisonniers politiques 1988 ont été empêchées de rendre hommage à leurs proches au cimetière Khavaran, situé au sud-est de Téhéran. Les forces de sécurité et les agents du ministère du renseignement du régime iranien ont empêché les familles de tenir un rassemblement qui se tient traditionnellement le dernier vendredi précédent le 21 mars (le jour du nouvel an iranien).
Les agents du régime ont barré les routes menant au cimetière Khavaran et ont harcelés ceux qui voulaient participer à ce rassemblement.
En été 1988, le régime des mollahs a sommairement exécuté plusieurs dizaines de milliers de prisonniers politiques dans différentes prisons à travers le pays.
Le régime iranien n’a jamais reconnu l’existence de ces exécutions et n’a fourni aucune information officielle sur le nombre de prisonniers exécutés.
La majorité des personnes exécutées étaient des activistes politiques qui purgeaient leurs peines de prison ou qui avaient déjà terminé leur peine mais qui étaient encore maintenus en détention.
Certains d’entre eux avaient déjà purgé leur peins et avaient été libérés, avant d’être de nouveau arrêté et exécuté pendant le massacre de 1988.
La vague du massacre des prisonniers politiques a commencé à la fin de juillet 1988 et s’est poursuivie sans relâche pendant plusieurs mois.
Au cours de ce massacre, plusieurs dizaines de milliers de prisonniers politiques – dont une grande majorité étaient des militants ou sympathisants de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) – ont été exécutés.
Mohammad Nourizad – un ancien conseiller culturel du guide suprême du régime iranien, Ali Khamenei, qui a pris ses distances avec lui après la répression des manifestations anti-régimes en 2009 – a déclaré en avril 2014 qu’en 1988, plus de 33.000 prisonniers politiques ont été exécutés.
Les déclarations de cet ancien collaborateur d’Ali Khamenei est un témoignage de premier main sur les dimensions du terrible massacre des prisonniers politiques en 1988.
Dans un communiqué publié le 2 novembre 2007, concernant l’arrestation de plusieurs membres des familles des victimes du massacre de 1988, l’Amnesty International avait écrit : « Les exécutions ont été autorisées par les plus hauts dirigeants du régime iranien... l’Amnesty International estime que ces exécutions constituent un crime contre l’humanité.
Dans les textes du droit international, en vigueur en 1988, des attaques généralisées ou systématiques contre des civils pour des motifs discriminatoires, notamment des motifs politiques, constituent des crimes contre l’humanité.
L’Amnesty International estime qu’il ne devrait y avoir aucune impunité pour les violations des droits de l’Homme, quelle que soit la date et quel que soit le lieu où ces violations ont été commises.
Les exécutions qui ont eu lieu en 1988 en Iran doivent faire l’objet d’une enquête indépendante et impartiale. Tous les responsables de ces exécutions doivent être traduits devant la justice et doivent recevoir des sanctions appropriées. »

L’adjoint du rédacteur en chef d’un journal iranien demande l’asile politique en Autriche

Résultat de recherche d'images pour "« Iran Varzeshi »"
Payam Younessipour, l’adjoint du rédacteur en chef du journal « Iran Varzeshi » vient de demander l’asile politique en Autriche.
Ce journaliste iranien était venu à l’étranger pour couvrir un match de football à Vienne entre les équipes nationales d’Iran et de la Chilie. Payam Younessipour étaient venu en Autriche en compagnie de deux autres journalistes iraniens, Milad Hodjatoleslami et Hossein Djavadi. Ces deux derniers se trouvaient à bord de l’avion de la compagnie « Germanwings » qui s'est crashé dans les Alpes. 
Après l’accident aérien dans lequel ses deux collègues ont perdu la vie, Younessipour a émis des critiques contre le « Corps des gardiens de la Révolution » (pasdaran du régime iranien). Les pasdaran sont propriétaires de l’agence de presse « Tasnim » et le journal « Vatan-e-Emrouz », les deux organes de presse pour lesquelles travaillaient Milad Hodjatoleslami et Hossein Djavadi. Leur employeur avait refusé de prendre en charge le déplacement de ces deux journalistes vers Madrid et leur retour à Vienne et se sont trouvés dans l'avion qui s'est écrasé en France.
Dans une interview avec la radio « Deutsche Welle », Younessipour a affirmé qu’après la publication des critiques qu’il a émises contre les Corps des gardiens de la Révolution et contre les restrictions imposées au travail des journalistes en Iran, il a été menacé par les autorités iraniennes et c’est pour cette raison qu’il demande l’asile politique à l'Autriche.

Irak : Prise en otage d’un réfugié iranien membre de l’OMPI sous prétexte d’un accident suspect

  • Envoi du dossier de ce réfugié iranien par un juge d’instruction irakien à l’ambassade des mollahs à Bagdad en violation flagrante des lois internationales.
  • Appel aux USA et à l’ONU pour faire libérer sans délai Safar Zakery, membre de l’OMPI détenu illégalement depuis deux semaines.
  • Toutes les promesses des autorités irakiennes ces deux dernières semaines de libérer ce prisonnier se sont avérées vides.
Dans la matinée du 16 mars 2015, Safar Zakery membre des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI), chauffeur d’un camion citerne d’eaux usagées du camp Liberty et qui fait ce travail depuis trois ans, a eu un accident avec un véhicule Humwee de la force SWAT irakienne sur le chemin du retour après la vidange de sa citerne. M. Zakery était accompagné par un policier irakien assis dans la cabine du camion.
Ce Humwee qui roulait à une vitesse illégale de 60km/h, s’est déporté sur la gauche dans un tournant et a heurté de face le camion citerne de M. Zakery qui roulait à 20km/h à l’extrême droite de la route. Le choc a gravement endommagé le camion citerne.
La police de la route venue sur place pour évaluer l’accident a déclaré au premier constat que le Humvee du SWAT était en tort. Le policier qui se trouvait dans le véhicule de Liberty et un autre camion de vidange septique qui suivait de près le camion accidenté et qui a donc vu le télescopage, ont souligné que le Humvee du SWATT était responsable.
Mais à la plus grande surprise, au lieu d’indemniser le camion citerne endommagé de Liberty, les agents irakiens ont arrêté et emmené en toute illégalité Safar Zakery, membre de l’OMPI. Toutes les promesses données jour après jour ces deux dernières semaines par les autorités irakiennes de libérer ce prisonnier se sont avérées vides. En réalité, ce membre de l’OMPI a été pris en otage. Au centre de détention de la police d’Ameriya, un officier du Swatt a tout de suite demandé pour clore ce dossier 3 millions de dinars d’indemnisation pour les dégâts causés au Humvee. Mais ce chantage flagrant a été rejeté par l’OMPI. Or le chauffeur du Humvee qui était en tort, non seulement n’a pas été arrêté mais jusqu’à hier n’a pas non plus été convoqué par la justice.
Ces deux dernières semaines aucune des requêtes et des protestations des avocats, ni les lettres des conseillers juridiques et des représentants des habitants de Liberty, ni une correspondance quotidienne avec les représentants de l’ONU et l’ambassade américaine, pas plus que les mesures du HCR pour le faire libérer, n’ont porté leur fruit et M. Zakery est toujours détenu illégalement. Si le problème était uniquement un accident de la route, il n’y avait aucune raison d’arrêter et de prendre en otage un membre de l’OMPI. Dans ce cas, selon les lois régissant la circulation en Irak et coutumières dans le monde, l’accusé aurait dû retourner sous caution au camp Liberty jusqu’à ce que les procédures administratives et juridiques se fassent.
La mesure extrêmement suspecte du juge d’instruction Nasser Moussavi dans cette affaire, c’est que bien qu’il soit en possession de la carte d’identité de M. Safar Zakery, de sa carte officielle de « personne protégée », de son permis de conduire iranien et de la lettre du HCR au tribunal de Karkh à Bagdad en date du 23 mars 2015 comme quoi « le ressortissant iranien M. Safar Zakery et une personne particulièrement vulnérable relevant du HCR », il a informé par écrit l’ambassade du régime des mollahs pour qu’elle précise l’identité et le passé de ce membre de l’OMPI. Cette mesure haineuse, odieuse et illégale ouvre pratiquement la voie aux criminels de la Force Qods pour s’impliquer dans cette affaire d’accident de la route et trahit un scénario écrit de prise d’otage dans un accident suspect. 
Le représentant des habitants d’Achraf et Liberty ont écrit les 17 et 18 mars des lettres à cet égard aux autorités américaines et onusiennes : « En attendant, nous sommes gravement préoccupés par la sécurité et le bien-être de M. Zakery et craignions que le régime iranien ne s’implique dans cette affaire, ce qui aurait des conséquences désastreuses. »
Le Comité international des juristes en défense d’Achraf (CIJDA) a écrit dans des lettres séparées au Haut commissaire aux réfugiés de l’ONU, au Premier ministre, au président du Parlement, au chef du Haut conseil judiciaire et au Conseiller à la sécurité nationale d’Irak :
« Cette détention se poursuit alors qu’aucun des passagers du Humvee n’a été hospitalisé et que les deux blessés légers ont quitté l’hôpital. De plus les autorités compétentes irakiennes ont même refusé d’accepter une caution pour M. Zakery de son avocat irakien et insistent pour le garder en prison (...)
« Toutes les preuves indiquent que la détention de M. Zakery se fait pour des raisons politiques (...) Il apparait également qu’à présent certaines personnes au gouvernement irakien ont même l’intention de prolonger cette détention en soulevant des doutes sur le statut légal de résident de M. Zakery.
« Or, comme les autres habitants du camp Liberty, M. Zakery est entré légalement en Irak et son séjour en Irak a toujours été légal. En 2004, il a reçu une carte d’identité du gouvernement américain et de la force multinationale comme « personne protégée » en vertu de la 4e convention de Genève. En 2011, avec les autres habitants d’Achraf, il a été reconnu demandeur d’asile par le HCR et il bénéficie de la protection des lois internationales. Le 25 décembre 2011, le gouvernement irakien a signé un protocole d’accord avec les Nations Unies pour assumer la responsabilité de la protection de M. Zakery et des autres habitants jusqu’à leur transfert dans un pays tiers. En 2009, quand le gouvernement Maliki a pris 36 Achrafiens en otages, les juges irakiens ont prononcé un jugement disant que l’entrée et le séjour des habitants d’Achraf sont légaux (...)
« De fait, soulever des soupçons sur le statut légal de M. Zakery revient à ridiculiser la loi et les obligations internationales dans le but de le prendre en otage. »
Le Comité international pour l’application de la justice (ISJ) a écrit à l’ONU et aux autorités irakiennes et onusiennes : « Tout indique que le major Ahmad Khodheir et le capitaine Heydar Azab, officiers de renseignement impliqués dans le massacre des habitants d’Achraf, sont impliqués dans cette affaire et se trouvent derrière cette détention illégale (...) Ces faits et le refus de remettre en liberté un réfugié innocent, nous donne la forte impression que toute cette histoire est un scénario préparé par la force Qods et ses agents en Irak. » 
Il est bon de noter que M. Safar Zakery, âgé de 60 ans, souffre de diverses maladie. Après avoir attendu trois ans son tour, il doit enfin être opéré le 5 avril prochain dans un hôpital. 
La Résistance iranienne souligne que la détention de M. Zakery est une violation flagrante du Protocole d’accord du 25 décembre 2011 signé entre le gouvernement irakien et l’ONU, ainsi que de la loi internationale sur les réfugiés. Elle appelle le gouvernement américain, l’ONU et le HCR qui se sont engagés à maintes reprises à assurer le bien-être et la sécurité des habitants de Liberty, de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à cette prise d’otage, assurer la libération immédiate de ce détenu innocent et lui permettre de se présenter à l’hôpital pour y être opéré.

L'ONU vote pour le prolongement du mandat du Rapporteur spécial sur l’Iran

Les Nations Unies ont prolongé pour une autre année le mandat du Rapporteur spécial sur les droits de l'homme en Iran. Le Conseil des droits de l'homme, composé de 47 pays membres, a voté une résolution visant à proroger le mandat du Dr Ahmed Shaheed.
A la suite de la présentation de son rapport au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, le 16 mars, les membres ont voté, par 20 voix contre 11 et 16 abstentions, pour l’adoption de la résolution.
Le Dr Ahmed Shaheed a déclaré à Genève que la situation des droits humains, notamment la répression des femmes et des activistes iraniens, s’est considérablement aggravée depuis qu’Hassan Rohani est devenu président en 2013.
Son rapport relève également une détérioration des droits desminorités et des libertés sur le net.
"À mon avis, la situation générale s’est détériorée, comme l’indique la recrudescence des exécutions en Iran," a-t-il déclaré. Il a déploré que l'Iran détienne le taux le plus élevé d'exécutions par habitants dans le monde.
M. Shaheed, ancien ministre des Affaires étrangères des Maldives, n'a pas été autorisé à se rendre en Iran depuis la prise de ses fonctions.

samedi 28 mars 2015

Maryam Rajavi to Arab Summit: Coalition against occupation of Yemen should be elevated to evicting Iranian regime from region

NCRI - On the eve of the Arab Summit, Mrs. Maryam Rajavi, the President-elect of the Iranian Resistance, reiterated on the need for joint action and unity against the religious terrorist dictatorship ruling Iran and its export of terrorism and belligerence. She said: “The coalition against occupation of Yemen by the mercenaries of the Iranian regime was necessary and inevitable. But this legitimate and just defense should be expanded to throughout the region to Iraq, Syria, Lebanon, and elsewhere. The religious dictatorship ruling Iran and its mercenaries should be evicted from these countries.”
Mrs. Rajavi drew the attention of the Arab summit to the important reality that the clerical regime’s belligerence and war-mongering in the region does not stem from its strength and prowess. Rather, it is to cover up the regime’s irreparable and acute political, social, and economic crisis that are exacerbating continuously. This regime has no choice but to retreat when faced with firmness. This is whilst, appeasement and offering concessions has only emboldened it in aggression and occupation. The velayat-e-faqih regime (rule of the clergy) is the root cause of crises in the region and the only solution is through firmness and evicting this regime from the region and its overthrow.

UN vote extends mandate of Iran human rights investigator


The United Nations extended the mandate of its Special Rapporteur on human rights in Iran for another year.
The 47-member UN Human Rights Council voted on Friday a resolution to extend the mandate of Dr. Ahmed Shaheed.
The vote, 20 to 11 with 16 abstentions, renewed the mandate followed Dr. Shaheed’s presentation of his report to the UN Human Rights Council on March 16, 2015.
On March 16, Dr. Ahmed Shaheed said in Geneva that the human rights situation and repression of Iranian women and activists has worsened since Hassan Rouhani became president in 2013.
Dr. Ahmed Shaheed said: "in my view the overall situation has worsened, as indicated by the surge in executions."
He lamented that Iran executes more people per capita than any other country in the world.
His report also noted deteriorations in women’s rights, minority rights, and online freedoms.
Mr. Shaheed, a Muslim and former foreign minister of the Maldives, has not been allowed to visit Iran since taking up the independent post.

vendredi 27 mars 2015

Sunni people of Sistan and Baluchistan are increasingly feeling pressure from Khamenei’s henchmen

A district of Zahedan with Sunni majority
Sources say that the repressive mullahs’ regime agents are preventing some vehicles with plate numbers from outer provinces especially vehicles with Sunni clergies as passengers from entering the city of Zahedan at check points. In response to their protests, the agents reply that they have received official notices which points to the security of the passengers, but due to some security matters they are unable to give more detailed explanations. 
These official notices are implemented on Friday prayer Imams, Sunni clergies, administrators and lecturers of Sunni seminaries. 

Iran: Seven prisoners hanged


At least seven prisoners were hanged on Thursday in a prison in the southern city of Shiraz.
The prisoners who had been arrested on drug related charges were hanged in the city’s main prison known as Adelabad prison.
The victims had been transferred to Isolation last Thursday, a day before the Iranian New Year and hanged in secret this week.
Many prisoners have been hanged secretly during the last few months in prisons across Iran.
According to a report, a group of four men also were hanged last month in a prison in the city of Maragheh, in northwestern Iran.
They were identified as Bahram Ashtari, Atef Ranjbar, Karim Sadat and Vali Najafnia.
Some 1,400 individuals have been executed in Iran under Hassan Rouhani. The victims included political prisoners, women, juvenile offenders and citizens of Afghanistan.
The U.N.'s special investigator on Iran said on March 16 that the human rights situation and repression of Iranian women and activists has worsened since Hassan Rouhani became president in 2013.
Dr. Ahmed Shaheed said in Geneva: "in my view the overall situation has worsened, as indicated by the surge in executions."
He lamented that Iran executes more people per capita than any other country in the world.
"There is a lot of concern amongst the Iranian society that the nuclear file may be casting a shadow over the human rights discussion," Shaheed told the news briefing.
Mr. Shaheed, a Muslim and former foreign minister of the Maldives, has not been allowed to visit Iran since taking up the independent post.

Iran - 500 ouvriers de pétrochimie protestent contre les disparités de salaires et la précarité


500 ouvriers de pétrochimie protestent contre les disparités de salaires et la précarité
CNRI –Plus de 500 salariés de « Tabriz Petrochemical Company » se sont rassemblés cette semaine devant l’Office pour l’emploi dans la ville de Tabriz (au nord-ouest de l’Iran) pour protester contre l’attitude du directeur de cette usine de pétrochimie. Celui-ci a obligé les ouvriers à signer de nouveaux contrats de travail considérés comme discriminatoires.
Depuis le début du nouvel an iranien (le 21 mars), le directeur a refusé l’accès à l’usine pour les travailleurs qui n’avaient pas accepté le changement de leur contrat de travail. Un salarié contestataire a déclaré : « Les ouvriers contractuels ne sont plus prêts à travailler sur la base de contrats temporaires d’un an et d’avoir un salaire équivalent d’un quart de celui des ouvriers en CDI. Les travailleurs considèrent que cette politique salariale est discriminatoire. »
Les ouvriers ont souligné : « Nous travaillons dans cette usine depuis longtemps et le directeur de l’usine doit nous embaucher officiellement sur la base des dispositions du code de travail en vigueur en Iran. »
Durant les quatre premiers jours du nouvel an iranien les ouvriers se sont d’abord rassemblés devant leur usine mais depuis le 25 mars ils se rassemblent quotidiennement devant l’Office pour l’emploi dans la ville de Tabriz. Ils protestent également contre les disparités de leurs salaires.

jeudi 26 mars 2015

Iran regime war on women

Assault and arrest of a woman in Tehran
March 8 marked International Women’s Day, a day to reflect on the situation of women throughout the world. With all the talk about Iran’s nuclear program, little attention is being paid to the internal situation, particularly Iran’s ongoing war on women. The regime in Tehran has continued its policy of disenfranchisement and apartheid with respect to women. This week the regime proposed a new draft law supposedly aimed at boosting the country’s population, which Amnesty International has claimed would, 'reduce Iranian women to baby-making machines.'
The law would block employment at certain jobs for Iranian women who choose not to have children, making it clearly discriminatory and unfair. Amnesty’s deputy director for the Middle East and North Africa, Hassiba Hadj Sahraoui noted, 'The proposed laws will entrench discriminatory practices and set the rights of women and girls in Iran back by decades.”
The legislation is supposedly motivated by the “Supreme Leader’s” totalitarian command that Iranians act to increase the country’s birth rate. The willingness to implement such discriminatory legislation shows fundamental lack of equality and justice within the Iranian regime, and is reminiscent of a fascist dictatorship. It also affirms the regime’s view that women are meant to be relegated to objects within society, to be controlled, regulated and confined. Obviously, by subjugating women, the Mullahs seek to enchain the society as a whole.
Under the tenure of the regime’s smiling president Hassan Rouhani more at least 1,300 people, including dissidents and ethnic and religious minorities, such as Sunnis, Kurds, Arabs and Baluchis, have been executed, dispelling the notion in some quarters that Rouhani may represent the winds of reformist change. His inhumane behavior demonstrates yet again that the extremist Iranian regime is inherently incapable of reform.
Among the executed were almost 30 women, some of whom were hanged in public. This show of savagery dwarfs even the horrific barbarity of Islamic extremists of ISIS (Islamic State) in Iraq and Syria. Last October, the regime executed a young woman, Reyhaneh Jabbari, who was accused of defending herself against being raped by an intelligence agent. These barbaric executions are coupled with inhumane and degrading punishments, such as eye gouging, limb amputation and flogging in public.
This past year has seen repression and discrimination against women increase in many forms. The regime continues to maintain policies which encourage or acquiesce towards gender based violence. As many as 25 women were the victims of heinous attacks involving acid thrown onto their faces by men on motorcycles. The attacks were motivated by a culture of misogyny and repression towards women, and a direct result of the ruling regime and its policy of gender apartheid. The attacks occurred after a law was passed by the regimes parliament to protect citizens who feel 'compelled to correct' those who do not adhere to their view of Islamic morality. In reality it legitimated gender based violence against women who were wearing makeup or were accused of being “improperly” veiled.
The regime also offers little protection for stay-at-home women. According to the report by the UN Special Rapporteur on Human Rights on Iran, Ahmad Shaheed, some 66 percent of Iranian women have experienced domestic violence, yet the governmental policies do little to address this issue or provide support for women. The report also states, “Some draft laws…markedly compound discrimination against women by further eroding their protection from forced marriage and rights to education, work and equal wages.” The report goes on to identify ongoing systematic shortcomings with respect to the rights, freedoms and opportunities of women in Iran.
It should also come as no surprise that the Iranian regime executed two women on International Women’s Day, and continues to terrorize women in every aspect of society, while paying lip service to human rights and equality when dealing with the West. Sadly the fate of Iranian women has been left out of the narrative surrounding negotiations with the fascist theocracy in Tehran. Those of us abroad must do all we can to ensure that the regime is not able to silence and suppress the women of Iran, who, in the words of the Iranian opposition leader, Maryam Rajavi , are best positioned to defeat Islamic extremism and fundamentalism.
  

Samsami is the representative in the United States for the National Council of Resistance of Iran, a coalition of Iranian opposition groups and personalities, seeking the establishment of a democratic, secular and non-nuclear republic in Iran.
March 17, 2015

Syria, Iraq conflicts send asylum-seeker numbers up 45%: UN

Camp of Syrian asaylum seekrs
AFP - 26 March 20 15 - The number of asylum-seekers in industrialized countries rose by nearly half last year, driven by the devastating conflicts in Syria and Iraq, with Germany the top destination, the UN refugee agency said Thursday.
In 2014, some 866,000 people applied for asylum in such countries, marking a 45-percent jump from a year earlier and a 22-year high, the UN refugee agency said.
The surge is linked to the spiraling conflicts in Syria and Iraq, which have created 'the worst humanitarian crisis of our era,' spokeswoman Melissa Fleming told reporters.

Un officiel du régime iranien : Nous n’allons pas mettre en œuvre le Protocole additionnel du TNP car nous considérons les résolutions du Conseil de sécurité comme illégales

Behrouz Kamalvandi, le porte-parole de l’Organisation l’énergie atomique d’Iran (OEAI), a annoncé mardi que le régime iranien ne va pas mettre en œuvre le Protocole additionnel au Traité de non-prolifération des armes nucléaires. Ce protocole donnerait aux inspecteurs internationaux la possibilité d’aller partout et à tout moment pour examiner les sites soupçonnés d’héberger les activités secrètes de développement d’armes nucléaires.
Réagissant aux déclarations de lundi du Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, qui avait insisté sur la nécessité de la mise en œuvre par l’Iran du Protocole additionnel, Kamalvandi a déclaré : « M. Amano a indiqué à plusieurs reprises dans ses rapports que si l’on veut qu’il déclare les activités nucléaires de l’Iran comme étant pacifiques, l’on doit mis en œuvre le Protocol Additionnel... et à d’autres occasions, il a souligné que le Conseil de sécurité de l’ONU le Conseil des gouverneurs de l’AIEA ont appelé l’Iran à appliquer le Protocole additionnel, bien que nous ayons déjà exprimé notre position sur ce sujet un certain nombre de fois. »
Kamalvandi a ajouté : « Tout d’abord, l’acceptation du Protocole additionnel est un acte volontaire. Nous considérons les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU et du Conseil des gouverneurs de l’AIEA sur ce sujet comme illégales. C’est la raison pour laquelle, jusqu’à présent, nous ne les avons pas mises en œuvre. »
Le directeur général de l’AIEA – qui a participé lundi à une conférence organisée par « la Fondation Carnegie pour la paix internationale » – a déclaré dans une interview avec Washington Post :
« L’Iran n’a pas donné les informations ou les accès nécessaires pour apaiser les craintes de l’agence sur le potentiel de production d’armes nucléaire dans ce pays. »
« Sur une douzaine de questions sur les possibles dimensions militaires des activités nucléaires menées en Iran dans le passé, l’Iran a seulement répondu à une seule question. »
« L’Iran n’a fourni que des informations ‘très limité’ sur deux autres de ces questions, tandis que les autres questions sont complètement restées sans réponse. »
M. Amano a déclaré que les six puissances mondiales qui négocient avec l’Iran devraient insister pour que ce pays applique le Protocole additionnel du TNP. Il a souligné : « La mise en œuvre de ce protocole est très nécessaire et nous donnera des outils plus puissants pour contrôler les activités nucléaires qui ne sont pas déclarées à nous. »
Un des principaux objectifs des négociations en cours entre Téhéran et les pays du groupe P5 + 1 est le suivant : obtenir du régime iranien des garanties qu’il ne cherche pas à obtenir des armes nucléaires et obliger ce régime de bloquer l’ensemble de pistes susceptibles d’aboutir à la fabrication d’une bombe atomique.
Les préoccupations actuelles de la communauté internationale sont aggravées par deux décennies de dissimulations et de tricheries du régime iranien, en particulier concernant les dimensions militaires du programme nucléaire de ce régime.
Le 24 février 2015, le Conseil national de la Résistance d’Iran (CNRI) a révélé des informations détaillées sur l’existence en Iran d’un système parallèle secrète, ainsi que l’existence d’un site nucléaire secret, situé à Téhéran et appelé « Lavizan-3 ».
Les informations fournies par le CNRI ont été récoltées par les réseaux de l’Organisation des Modjahédine du peuple d’Iran (OMPI) à l’intérieur de l’Iran. Celles-ci montre que sur le site de « Lavizan-3 », depuis plusieurs années, le régime iranien a procédé à l’enrichissement de l’uranium de façon secrète et en utilisant des centrifugeuses avancées.
Le 7 février, Madame Maryam Radjavi, la présidente élue de la Résistance iranienne, a souligné la nécessité de contraindre le régime iranien d’accepter le Protocole additionnel du TNP. « Il faut obliger le régime des mollahs de se conformer pleinement aux résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, d’arrêter l’enrichissement de l’uranium et de permettre les inspections inopinées de tous ses sites nucléaires suspects », a-t-elle déclaré.

mercredi 25 mars 2015

IRAN: Funeral for street vendor turns into anti-regime protest


NCRI - A number of residents of the Iranian city of Khoramshahr were arrested after taking part in a funeral service of an Arab Iranian worker that turned into an anti-regime protest with people chanting slogans against the regime.
Younes Asakereh, a 31-year-old street vendor, was a resident of the city of Khoramshahr in the oil-rich province of Khuzestan in southwestern Iran.
Younes, father to two young children, set himself on fire on March 13, to protest against the repeated attacks by security forces that prevented him from working.
He died of severe burns in hospital in Tehran on Sunday, March 22.
Younes’s self-immolation provoked rage in the people in cities across Iran, particularly in the Khuzestan Province.
Participants at the funeral chanted “We are all Younes”, “Freedom, freedom”.
According to reports, at least eight participants of the funeral were arrested afterwards - either in their homes or while returning home from the funeral.
Last week, during a soccer match on Tuesday, the security forces in Ahvaz arrested spectators who carried signs that read: “We are all Younes.”
Plainclothes agents and intelligence agents barbarically attacked the spectators and arrested a large number of people, especially those wearing traditional Arab minority clothing known as Dishdasha.
The Iranian Resistance called on all international bodies to condemn the savage repression of the people of Ahvaz who manifested on March 17 in defense of Younes and to take urgent measures to free those who were arrested.

mardi 24 mars 2015

Du printemps émerge la volonté du peuple iranien pour la liberté - Maryam Radjavi

CNRI - A l'occasion de Norouz, le Nouvel an iranien, Maryam Radjavi, Présidente-élue de la Résistance, a participé à une célébration en présence de la communauté iranienne du Val d'Oise. Diffusée en directe sur la chaine Simayeh-Azadi (Iranntv.com), l'évènement, qui marque l'arrivée du printemps, a été suivi par des millions d'Iraniens dans le pays et à l'étranger. Voici le texte de son intervention:

LIRE LA SUITE...
http://www.ncr-iran.org/fr/actualites/iran-resistance/15762-du-printemps-emerge-la-volonte-du-peuple-iranien-pour-la-liberte-maryam-radjavi.html

Iran – Un marchand ambulant qui s’était immolé par le feu a décédé à l’hôpital


CNRI – Le dimanche 22 mars, Younes Assakareh – un marchand ambulant qui s’était immolé par le feu au sud-ouest de l’Iran – a décédé dans un hôpital à Téhéran des suites de ses blessures.
Younes Assakareh avait fait ce geste désespéré pour protester contre les harcèlements permanent des agents municipaux qui l’empêchaient d’exercer son métier et qui avaient détruit ses outils de travail.
Un membre de la famille de M. Assakareh a déclaré : « Nous avons déposé une plainte contre les agents municipaux et nous avons des preuves que nous présenterons au tribunal. »
Avant de s’immoler par le feu, M. Assakareh avait averti à plusieurs reprises les responsables concernés, mais ces derniers n’ont pas pris au sérieux ses avertissements.
Younes Assakareh était un habitant de Khorramchahr (ville située dans la riche province pétrolifère de Khuzestân, située au sud-ouest de l’Iran). Agé de 31 ans, il gagnait sa vie et celle de sa famille en vendant des pacotilles dans une échoppe à Khorramchahr. Le 13 mars, il s’est immolé par le feu pour protester contre les attaques répétées des forces de sécurité sur les échoppes et tous les obstacles qui les empêchent de travailler. Père de deux enfants en bas âge, il souffrait de brûlures profondes. Cette effroyable immolation a déclenché la colère de plusieurs villes, surtout dans la province du Khouzistan.
La Résistance iranienne a appelé l’ensemble des instances internationales à condamner la répression sauvage de la population d’Ahwaz qui a manifestée le 17 mars pour la défense de Younes et à prendre des mesures d’urgence pour faire libérer les personnes interpellées.
Dans leurs manifestations, les Ahwazis brandissaient des pancartes où on pouvait lire : « Nous sommes tous Younes ».
Dans son message à l’occasion du Nouvel an iranien, Maryam Radjavi, la présidente-élue du CNRI a dénoncé le sort réservé aux classes défavorisées en Iran et “ des miséreux comme Younes Assakereh, le vendeur de pacotilles d’Ahwaz qui s’est immolé par le feu en guise de protestation contre la répression et la tyrannie des mollahs”.

lundi 23 mars 2015

IRAN: Young worker killed under torture after being arrested during New Year festivities

NCRI - The Iranian regime’s henchmen killed a young laborer under torture after his arrest last Tuesday shortly before the Fire Festival marking the beginning of the New Year celebrations in Iran.
Mr. Mohsen Maleki, 25, who worked in a sweet shop was arrested on March 17, but his body was handed over to his family the next day with fractures, hematomas and injuries covering his face and various parts of his body.
According to eye-witnesses, he was completely healthy before his arrest.
Every year since 2011, the security forces had routinely summoned Mr. Maleki to police headquarters prior to the Fire Festival to threaten him not to hold the ceremony.
This year, following his summoning by regime elements, Mr. Maleki refused to report to the police headquarters.
Subsequently, he was apprehended by elements of the security forces and transferred to the security forces’ headquarters.
Hours after arrest, he lost his life due to the battering and savage torture he suffered at the hands of officers.
The Iranian Resistance calls on the UN Secretary-General, the Human Rights Council, the Special Rapporteurs, and other pertinent bodies, to strongly condemn this crime and it urges for the formation of an international delegation to investigate this atrocity and similar crimes such as the murder of Mr. Satar Beheshti, a laborer and blogger who died in custody in early November 2012 several days after being arrested by the Iranian Cyber Police unit for criticizing the Iranian regime on his Facebook page.

Iran: Two political prisoners in Zahedan send New Year Greetings

Political prisoners congratulating Nowruz
Two exiled political prisoners in Zahean Central Prison which has the worst climate in Iran have sent their Nowruz (Persian New Year) greetings addressed to the Iranian people. They called on the people to rise up against the horrible situation ruling Iran.
In their statement, Iraj Mohammadi and Mohammad Amin-Augooshi, the two exiled pol. prisoners say: 'We are congratulating the Nowruz, the Iranian New Yearto all honorable Iranian people. Dear Iranian compatriots, last year was the year of depression, fear and despotism for the people and the year of collective executions and torture of prisoners. Many women became widowed, many children became orphans, and many parents lost their loved ones. We are hoping that in the New Year through the uprising of brave men and women of this land, we can lift this terrible climate of fear and intimidations and built a new and free society for all Iranians. 
At the end of their statement they pleaded for the coming year to be named 'the year for freedom of political prisoner.'