Le régime inhumain des mollahs a pendu 17 prisonniers entre le 23 et le 27 avril. Mercredi 27 avril, six prisonniers ont été pendus collectivement dans la prison Gohardasht. L’un des prisonniers, du nom de Milad Mostakhdem, était mené à la potence pour la septième fois, une méthode prisée par les sbires du régime pour torturer psychologiquement les prisonniers.
Le 26 avril, trois jeunes homme de 22 à 30 ans ont été exécutés dans la prison centrale de Zahedan tandis qu’un autre prisonnier était exécuté dans la prison de Qazvin. Deux autres prisonniers ont été pendus dans une prison de la ville de Sari le 24 avril. Et cinq prisonniers ont été pendus collectivement le 23 avril dans la prison centrale de Zahedan.
Ainsi, le nombre d’exécutions en avril s’élève maintenant à 52. Le but de ces exécutions arbitraires et collectives est d’intensifier le climat de peur et d’horreur et d’empêcher l’explosion du mécontentement et de l’aversion populaire, en particulier de la jeunesse, contre le régime iranien.
Ces exécutions qui ont eu lieu pendant et après la visite à Téhéran du Premier ministre italien et de la chef de la diplomatie européenne démontrent que les visites d’officiels européens non seulement n’apportent aucune amélioration à la situation des droits de l’homme, mais encouragent également ce régime dans ses violations brutales et systématiques des droits de l’homme. Les relations économiques et politiques avec ce régime n’ont aucune légitimité et doivent être dépendantes de l’amélioration des droits de l’homme, en particulier d’une fin des exécutions.
La Résistance Iranienne appelle le peuple iranien, en particulier la jeunesse courageuse, à s’élever contre les crimes et les exécutions collectives perpétrés quotidiennement par ce régime et à exprimer leur solidarité et leur sympathie envers les familles des prisonniers et des condamnés à mort.
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