Christian Today - L'ancien archevêque de Canterbury Rowan Williams mène une campagne encourageant les pays occidentaux à mettre les minorités religieuses au cœur de tout accord futur avec l'Iran.Lord Williams a rejoint l'ancien évêque d'Oxford John Pritchard, l'évêque de Bristol Mike Hill, l'évêque de Burnley Philip North et des dizaines d'autres responsables religieux au Royaume-Uni et aux États-Unis pour souligner le « harcèlement et la persécution » des chrétiens en Iran sous la théocratie en place ».
La pétition de plus de 90 responsables religieux demandant aux gouvernements d’exiger la fin de l'oppression des minorités religieuses comme une condition préalable à tout accord avec l'Iran, intervient avant un rassemblement majeur à Paris samedi.
Des dizaines de milliers de personnes sont attendues à l'événement « pour un Iran Libre » le 1er juillet pour mettre en lumière les niveaux de persécution sous la présidence d’Hassan Rohani.
« Alors que la majorité des victimes des violations des droits par le régime iranien sont des musulmans, les membres des minorités religieuses, y compris les membres des confessions chrétiennes et juives, ont été spécifiquement visés sur leurs croyances religieuses personnelles au fil des ans », écrivent les dirigeants religieux.
« La situation des minorités religieuses s'est détériorée ces dernières années, y compris sous le mandat du président Hassan Rohani. Des dizaines de pasteurs iraniens croupissent dans les prisons uniquement pour leurs croyances », ajoutent-ils, affirmant que les manuels scolaires des enfants encouragent la haine envers les juifs pour avoir pris des terres aux musulmans.
« Dans ces circonstances, nous appelons tous les pays à considérer la situation déplorable des droits humains en Iran, en particulier la situation pénible des minorités religieuses, dans leurs relations avec ce pays. Nous les exhortons à conditionner l'amélioration de ces relations sur la fin de l'oppression des minorités et la fin des exécutions en Iran. »
Les signataires soulignent la déclaration du secrétaire général de l'ONU, António Guterres, en mars 2017 : « Les membres des minorités ethniques et religieuses ont continué à souffrir d'abus et de discriminations et à subir des persécutions, y compris l'arrestation et l'emprisonnement, l'expulsion de l'enseignement, le déni des possibilités économiques, la privation du droit au travail, la fermeture des entreprises et la destruction des sites religieux, comme les cimetières et les centres de prière. »
Cela intervient après le rapport de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale de 2017 qui a déclaré : « Au cours de l’an dernier, le gouvernement iranien a commis des violations systématiques, persistantes et flagrantes de la liberté de religion, y compris la détention prolongée, la torture et les exécutions fondées principalement ou entièrement sur la religion de l'accusé.
« Depuis que le président Hassan Rohani a été élu en 2013, le nombre de personnes issues à des minorités religieuses qui sont emprisonnées à cause de leurs croyances a augmenté ».
Des dizaines de milliers de personnes sont attendues à l'événement « pour un Iran Libre » le 1er juillet pour mettre en lumière les niveaux de persécution sous la présidence d’Hassan Rohani.
« Alors que la majorité des victimes des violations des droits par le régime iranien sont des musulmans, les membres des minorités religieuses, y compris les membres des confessions chrétiennes et juives, ont été spécifiquement visés sur leurs croyances religieuses personnelles au fil des ans », écrivent les dirigeants religieux.
« La situation des minorités religieuses s'est détériorée ces dernières années, y compris sous le mandat du président Hassan Rohani. Des dizaines de pasteurs iraniens croupissent dans les prisons uniquement pour leurs croyances », ajoutent-ils, affirmant que les manuels scolaires des enfants encouragent la haine envers les juifs pour avoir pris des terres aux musulmans.
« Dans ces circonstances, nous appelons tous les pays à considérer la situation déplorable des droits humains en Iran, en particulier la situation pénible des minorités religieuses, dans leurs relations avec ce pays. Nous les exhortons à conditionner l'amélioration de ces relations sur la fin de l'oppression des minorités et la fin des exécutions en Iran. »
Les signataires soulignent la déclaration du secrétaire général de l'ONU, António Guterres, en mars 2017 : « Les membres des minorités ethniques et religieuses ont continué à souffrir d'abus et de discriminations et à subir des persécutions, y compris l'arrestation et l'emprisonnement, l'expulsion de l'enseignement, le déni des possibilités économiques, la privation du droit au travail, la fermeture des entreprises et la destruction des sites religieux, comme les cimetières et les centres de prière. »
Cela intervient après le rapport de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale de 2017 qui a déclaré : « Au cours de l’an dernier, le gouvernement iranien a commis des violations systématiques, persistantes et flagrantes de la liberté de religion, y compris la détention prolongée, la torture et les exécutions fondées principalement ou entièrement sur la religion de l'accusé.
« Depuis que le président Hassan Rohani a été élu en 2013, le nombre de personnes issues à des minorités religieuses qui sont emprisonnées à cause de leurs croyances a augmenté ».
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