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jeudi 30 novembre 2017
Iran : huit personnes arrêtées pour avoir révélé l’inaction des autorités envers les victimes du tremblement de terre
Les forces de sécurité du régime iranien ont arrêté huit personnes pour avoir révélé le manque d’initiatives de la part de l’État après le récent tremblement de terre dans l’ouest de l’Iran pour aider les victimes.
Selon les rapports, Arzhang Zargoush, journaliste d’un quotidien de province, a été arrêté par les agents des renseignements le 23 novembre pour avoir publié une vidéo du tremblement de terre dans la province de Kermanshah et dénoncé l’inaction des autorités pour secourir le village de Gaavmish-Cheran, une banlieue du comté de Gilan-e Gharb.
Le journaliste a déclaré dans la vidéo : « Les autorités ne fournissent aucun service aux habitants, ce sont des traitres et les gens veulent les détrôner. » ( lien vidéo ci-dessous)
Iran : Appel à condamner l'interdiction de voyager imposée à l’ancien doyen de l’université de Téhéran, le privant de soins médicaux
Par une mesure cruelle, la dictature religieuse au pouvoir en Iran a imposé une interdiction de voyager au Dr. Mohammad Maléki, ancien doyen de l'université de Téhéran âgé de 84 ans, pour recevoir des soins médicaux. Par conséquent, la vie de Maléki est en gravement menacée puisqu'il est aux prises avec de plusieurs problème de santé.
Un prisonnier exécuté à Amol en Iran
Asadullah Jafari, le procureur général et révolutionnaire de Mazandaran a annoncé que la condamnation à mort d'un meurtrier de la ville d'Amol avait été mise en oeuvre dans la cour de la prison, au matin.
L'homme condamné, identifié seulement par ses initiales, M.A, était le fils d'Ali Akbar.
Source : Site Web d’actualités, Blagh, le 29 novembre 2017
13 condamnés à mort transférés en isolement en vue de leur exécution dans la prison de Rajai Shahr en Iran
Le mardi 28 novembre, 13 prisonniers ont été transférés en cellule d'isolement dans la prison de Rajai Shahr à Karaj pour être exécutés.
La plupart des prisonniers ont été condamnés à mort pour meurtre. Selon les statistiques de l'Organisation iranienne des droits de l'homme, parmi les 530 exécutions en 2016, 142 personnes ont été exécutées car elles étaient suspectées de meurtre.
Source : Organisation des droits de l’homme en Iran, le 29 novembre 2017
Un homme pendu dans la prison de Mashhad en Iran
En Iran, un jeune homme qui avait commis un meurtre a été exécuté dans la prison de Mashhad. Son identité complète n'a pas été publiée.
Son complice s'est suicidé à l'intérieur de la prison en prenant des pilules. Le prisonnier exécuté avait purgé cinq ans de prison.
Source : Agence officielle, ROKNA, le 28 novembre 2017
Iran : Un prisonnier torturé et condamné à mort pour un crime qu'il n'a pas commis
Seyed Iman Hossein Moghaddam, dont la peine d'exécution publique a été annoncée car il est accusé de viol, a nié les accusations portées contre lui.
« J'ai 35 ans et je n'avais pas de casier judiciaire avant », a-t-il déclaré.
« J'ai 35 ans et je n'avais pas de casier judiciaire avant », a-t-il déclaré.
« J'étais dans le secteur de la construction et j'ai aussi acheté et vendu des voitures. En 2013, je suis allé au carnaval avec mes enfants. J'étais assis dans le parc quand un homme est venu me voir et m'a dit qu'il me connaissait et que j'avais volé chez lui et que j’avais essayé de violer sa femme.
Un homme exécuté dans la prison de Rajai Shahr en Iran
Un prisonnier, identifié grâce à son prénom, Majid, qui a passé des années en prison et qui est connu comme le roi de la falsification et du vol, a été pendu dans la prison de Rajai Shahr à Karaj, en Iran.
Il a été jugé par le juge Salavati dans la 15ème section du tribunal révolutionnaire et il a été pendu le 27 novembre.
Source : Site Web officiel, Jam-e-Jam, le 28 novembre 2017
mercredi 29 novembre 2017
Ingrid Betancourt : notre devoir je crois est celui d'exiger la justice en Iran
Ingrid Betancourt participait le 28 novembre à une conférence appelant à la mise sur pied d’une commission d’enquête internationale sur le massacre des prisonniers politiques en 1988 en Iran. Organisée à la mairie de 5e arr. de Paris en présence du Maire Florence Berthout, Bernard Kouchner, Mgr Jacques Gaillot, Rama Yade, William Bourdon, Sid Ahmed Ghozal, Sylvie Fassier et plusieurs personnalités et défenseurs des droits, l’évènement se tenait dans le cadre d’une « Campagne pour la justice » lancée par les familles pour traduire en justice les auteurs de ce « crime contre l’humanité ».
Dans son intervention, l’ancienne candidate à l’élection présidentielle colombienne a déclaré :
En Iran, 17 % des filles mariées sont mineures
Le chef de la Commission islamique des droits de l'homme en Iran a déclaré que 17 % des filles dans le pays se sont mariées avant l'âge de 18 ans.
« Selon les statistiques, la population des enfants et des adolescents représente environ un quart de la population du pays », a déclaré Ziafifar.
« Par conséquent, au niveau national, la population âgée de moins de 18 ans forme un large spectre qui nécessite une attention sérieuse. Dans notre pays, 17 % des filles se sont mariées avant l'âge de 18 ans et 3 % avaient moins de 15 ans », a-t-il ajouté.
Source : Site Web officiel, YJC, le 20 novembre 2017
Un prisonnier politique recommence une grève de la faim en raison du manque de traitement médical dans la prison d'Oroumieh en Iran
Le vendredi 24 novembre, le prisonnier politique, Mohammad Nazari, qui est détenu dans la prison d'Oroumieh, en Iran et connu comme le plus vieux prisonnier politique, a de nouveau fait une grève de la faim pour protester contre le « manque de traitement médical».
Après l'avoir examiné, les médecins de la prison ont déclaré qu'il devrait être admis d'urgence à l'hôpital pour subir une intervention chirurgicale en raison de sa maladie rénale.
Iran : Un porteur kurde se trouve dans un état critique après avoir été victime des tirs des forces militaires
Semko Ahmadian, un porteur kurde de Piranshahr, en Iran, qui a été pris pour cible par les forces militaires, a été grièvement blessé au niveau de la moelle épinière.
Il a besoin d'une opération urgente. Il a reçu trois balles et il est actuellement hospitalisé à l'hôpital Arefian de la prison d'Oroumieh.
Source : Kurdpa, le 26 novembre 2017
Source : Kurdpa, le 26 novembre 2017
Trois prisonniers pendus à la prison de Tabriz en Iran
Dimanche 26 novembre, trois prisonniers ont été exécutés pour meurtre dans la prison centrale de Tabriz, en Iran.
L'un des prisonniers a été identifié comme s’appelant Taher Amini, 30 ans, originaire de Maragheh. Les identités des deux autres prisonniers doivent encore être déterminées.
Source : Les Militants des droits de l'homme en Iran, le 26 novembre 2017
Trois hommes fouettés en public à Jiroft pour vol
Le chef adjoint de la police de Jiroft a déclaré que la sentence de trois voleurs avait été effectuée en public dans la ville de Jiroft.
« Deux des hommes ont été condamnés à 74 coups de fouet alors que l'autre a été condamné à 30 coups de fouet en plus de l'emprisonnement », a déclaré Reza Mohammad Rezaie.
Source : Site Web officiel, Khabarpour, le 26 novembre 2017
mardi 28 novembre 2017
Maryam Radjvai : La dictature religieuse est vulnérable face au peuple iranien
Violence faite aux femmes par le régime en Iran
Le secrétaire général des Nations unies a demandé une mesure mondiale pour lutter contre la violence faite aux femmes et aux filles à l’occasion de la journée internationale contre les violences faites aux femmes.
Antonio Guterres a déclaré : « La violence faite aux femmes est en rapport avec le pouvoir. Cela ne se terminera que lorsque l’égalité homme-femme et l’émancipation totale des femmes seront devenues une réalité. »
Iran : Séparer le peuple iranien du régime est un bon premier pas
Les voix du peuple iranien ont longtemps disparu des discussions politiques occidentales sur la théocratie au pouvoir en Iran.
Depuis les débuts de la Révolution iranienne, les États-Unis et leurs alliés poursuivent une stratégie visant à atteindre les présumés modérés à l’intérieur du régime, tout en se concentrant sur un ensemble restreint de questions au détriment des droits de l’homme et de la lutte du peuple iranien pour la démocratie.
La stratégie de l'administration Trump de s’opposer à l'assaut du régime est un départ de cette tendance. Dans ce discours et dans plusieurs autres, le président Trump a mis l'accent sur le sort du peuple iranien, en le décrivant comme la première victime du régime clérical.
La stratégie de l'administration Trump de s’opposer à l'assaut du régime est un départ de cette tendance. Dans ce discours et dans plusieurs autres, le président Trump a mis l'accent sur le sort du peuple iranien, en le décrivant comme la première victime du régime clérical.
Iran : Scène d’une flagellation publique dans la province nord de Gilan
La vidéo d’une flagellation publique d'un jeune homme sans défense de la part des Forces de la sécurité de l'État a été récemment diffusée par les médias sociaux.
Le clip vidéo montre des agents de la SSF dans la ville de Talesh, dans le nord du pays, qui fouettent le jeune détenu en uniforme de prison. Il est accusé d'avoir volé du riz.
Un prisonnier pendu à Ardebil en Iran
Le chef du pouvoir judiciaire d'Ardebil en Iran a annoncé que la peine de mort d’un violeur a été exécutée dans la prison centrale de la ville.
« L'accusé a été arrêté dans un village de la ville d'Ardebil, il y a deux ans, et le jugement contre lui a été approuvé par la Cour suprême », a déclaré Mohammad Ali Ghasedi.
Source : Agence officielle, ROKNA, le 12 novembre 2017
Iran : Une citoyenne britannique sera jugée en décembre pour « propagande contre le gouvernement »
Richard Ratcliffe, le mari de Nazanin Zagheri, détenue dans la prison d'Evine, en Iran, a déclaré que sa femme avait été informée qu'elle devrait être présente au tribunal, le 10 décembre.
M. Ratcliffe a également déclaré que le tribunal devra la juger sur l’accusation suivante : « diffusion de propagande contre le gouvernement ».
Neuf prisonniers pendus à Mashhad et Taibad en Iran
Cinq prisonniers ont été exécutés dans la prison centrale de Mashhad, le lundi 6 novembre dernier et quatre autres prisonniers ont été exécutés dans la prison de Taibad le même jour.
Ces prisonniers ont tous été condamnés à mort sur des accusations liées à la drogue. Les quatre prisonniers exécutés à la prison centrale de Mashhad ont été identifiés.
Un prisonnier politique battu par les Pasdarans en Iran
Majid Moghaddam, prisonnier politique détenu dans la section 8 de la prison d'Evine, en Iran, a été transféré dans un centre de détention des Pasdarans à l'extérieur de la prison d'Evine, où il a été battu.
La raison pour laquelle ce prisonnier politique a été torturé, était due à une lettre, dans laquelle selon les Pasdarans, il avait défendu les grèves de la faim comme une méthode de protestation et il avait encouragé d'autres prisonniers à faire des grèves.
lundi 27 novembre 2017
Iran : Trois prisonniers politiques transférés en isolement à titre de punition
Le vendredi 17 novembre, trois prisonniers politiques détenus dans la section 3 de la prison centrale de Zahedan ont été transférés dans la section de quarantaine en guise de punition pour ne pas avoir assisté à une cérémonie religieuse parrainée par l'État.
La section de quarantaine manque d'installations de base et ces prisonniers y ont été transférés pour être torturés et soumis à des pressions psychologiques. En même temps, toutes les communications de la section 3 vers l'extérieur de la prison ont été coupées.
Source : Les militants des droits de l'homme et de la démocratie en Iran, le 20 novembre 2017
Libération sous caution du chrétien iranien Mohammad Ali Torabi en Iran
Chretiens.info - Le chrétien iranien Mohammad Ali Torabi, 39 ans, vient d’être libéré de la prison d’Ahvaz après avoir payé une forte caution équivalente à 48 000 euros.
Arrêté en octobre dernier sans aucune condamnation spécifique, le chrétien iranien d’origine musulmane a finalement été libéré de la prison d’Ahvaz, la capitale de la province du Khuzestan dans l’ouest du pays.
La violence conjugale augmente en Iran
Ali Hadizadegan, président de l'Organisation de médecine légale de Mashhad, a déclaré que selon une enquête menée dans 28 provinces, environ 66 % des familles qui ont sollicité l'Organisation ont été victimes de violence domestique au moins une fois dans leur mariage.
« Des études montrent que 52 % de la violence était psychologique et verbale, 37,8 % était de la violence physique et 10,2 % de la violence sexuelle », a-t-il ajouté.
En Iran, la police arrête les employés d’une agence de mannequins
Le chef de la police de Khorasan Razavi, en Iran, a déclaré que des experts de la police de la sécurité cybernétique ont arrêté le directeur d'une agence de mannequins et huit autres qui ont coopéré avec l'agence en utilisant les images de plusieurs personnes pour faire de la publicité de vêtements sur Internet.
« Les accusés ont été traduits devant les autorités judiciaires pour d'autres procédures juridiques », a déclaré Qader Karimi.
Source : Site Web officiel, Mashhad Fori, le 3 décembre 1396
Le service du renseignement en Iran ordonne à la famille d’un kurde tué de garder le silence
A la suite à la nouvelle de la mort d'un porteur kurde à Piranshahr, en Iran, qui s’appelait Hassan Moradi, une délégation de l'agence du renseignement d’Oroumieh s'est rendue au domicile de la famille du porteur et leur a dit qu'ils ne devaient pas parler aux médias.
Les forces du renseignement ont dit à la famille de Moradi que les funérailles devaient être organisées silencieusement et sans protestation.
Le lundi 20 novembre, les forces militaires de Piranshahr ont pris pour cible un groupe de porteurs kurdes, qui a entraîné la mort de Hassan Moradi.
Source : Kurdpa, le 23 novembre 2017
L’UE ne doit pas faire affaire avec le régime iranien
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a publié récemment un rapport affirmant que l’Iran avait produit secrètement de l’uranium hautement enrichi et du plutonium – une violation claire du traité de non-prolifération nucléaire – et il a caché les preuves pendant presque 20 ans.
Les pays de l’UE ont discuté d’une résolution de l’ONU pour condamner le programme nucléaire de l’Iran la semaine dernière à Vienne.
Un prisonnier politique transféré dans la section n°1 de la prison d'Evine en Iran
Le prisonnier politique Soheil Arabi a été transféré dans la section 1 de la prison d’Evine en guise de punition, le 21 novembre après une bagarre verbale et des protestations contre les conditions de détention.
La première section est la section de quarantaine et ne dispose pas d'installations pénitentiaires normales. Les prisonniers qui sont transférés dans cette section sont privés de passer des appels téléphoniques à leurs familles.
Source : Zandaniran, le 23 novembre 2017
Iran : Un prisonnier enchaîné à un poteau dans la prison d'Ardabil pendant plus de 10 jours
Un prisonnier de la prison d'Ardabil en Iran, qui se trouve en détention provisoire, a été enchaîné à un poteau dans la section de quarantaine de cette prison, par les autorités, pendant dix jours.
Il a été identifié et il s’appelle Afshin Valipour. Selon une source informée, la section de quarantaine est une zone couverte entourée de poteaux. Les prisonniers sont attachés aux poteaux en guise de punition. Les prisonniers appellent cette zone, « sous le pont ».
Source : Le Militants des droits de l'homme en Iran, le 23 novembre 2017
Une nouvelle pendaison à Karaj en Iran
Le mercredi 22 novembre, un prisonnier reconnu coupable d'inimitié contre Dieu a été exécuté dans la prison de Rajai Shahr à Karaj.
Il a été identifié comme s’appelant Majid Saadat. Il a été renvoyé dans sa cellule le mardi, pensant que son exécution avait été annulée.
Cependant, il a de nouveau été transféré en isolement le mercredi matin et son exécution a été mise en oeuvre.
Source : Organisation des droits de l’homme en Iran, le 23 novembre 2017
dimanche 26 novembre 2017
Iran : détention et torture de jeunes pour obtenir des aveux forcés
Cinq citoyens baloutches, arrêtés il y a quatre mois dans le sud-est de l’Iran, ont été soumis à la torture et aux chaos sévices pour obtenir des aveux forcés. Les agents auraient arraché trois ongles de doigts à un des détenus.
Mohammad Saleh Shahdad Zahi, Mahmoud Shahlabar, Idris Rokni, Adbolaziz Rokni et Hashem Zardkuhi ont été arrêtés par le ministère des Renseignements à Iranshahr le 8 juillet 2017.
L’opposition syrienne somme le régime iranien de quitter la Syrie
Une coalition des groupes majeurs de l’opposition syrienne a condamné la présence militaire du régime iranien (et de ses groupes affiliés) en Syrie et a demandé à ce qu’il quitte le pays immédiatement. Plus de 140 représentants ont assisté à une conférence de deux jours à Riyad et ils ont affirmé une fois de plus que la dictature de Bachar el-Assad et la présence du régime iranien en Syrie n’était pas envisageable, peu importe l’arrangement de paix soutenu par l’ONU.
Un responsable la protection sociale en Iran déclare que le nombre de condamnés mineurs est alarmant
Hasan Musavi Chalak, directeur général du bureau de gestion de l'Organisation iranienne de la protection sociale, a déclaré que selon la justice, il y a eu 15 200 000 affaires judiciaires dans un pays de 80 millions d'habitants.
Il a également noté le nombre croissant de criminels mineurs, en particulier les filles mineures.
« Nous vivons dans un pays où il y a un divorce sur quatre mariages », a-t-il ajouté.
Iran : Un militant syndicaliste gravement malade a été privé de soins médicaux
En Iran, les médecins qui sont en charge de la santé d'un militant kurde emprisonné, ont dans une lettre, mis en garde concernant l’état critique de sa santé et ils ont demandé qu'il soit amené d'urgence à l'hôpital.
Mahmoud Salehi souffre de diverses maladies cardiaques. Les efforts de sa famille pour convaincre les responsables de la sécurité et de la justice de l'envoyer à l'hôpital ont été vains. Mahmoud Salehi a été condamné à l’emprisonnement pour son appartenance à des organisations anti-régime et pour propagande contre le régime.
Source : Kurdpa, le 21 novembre 2017
Iran : Un prisonnier meurt faute d’avoir reçu des soins médicaux adéquats
Un prisonnier qui s’appelait, Hussein Aflato, 43 ans et qui était détenu dans la prison du Grand Téhéran, en Iran, est décédé des suites d'un manque de soins médicaux.
Le prisonnier, qui souffrait de diabète, avait perdu la vue il y a quelques temps. Les autorités pénitentiaires n'ont pris aucune mesure pour remédier à son état de santé, ce qui a entraîné une détérioration de celui-ci et il a finalement contracté la tuberculose.
Iran : Les forces de sécurité arrêtent 320 personnes à Téhéran
Le chef de la police de Téhéran a annoncé l'arrestation de plus de 320 personnes à Téhéran, affirmant que 75 d'entre elles avaient moins de 20 ans.
« A ce stade du plan de lutte contre les fauteurs de troubles, nos collègues ont réussi à arrêter plus de 320 intrus, fauteurs de troubles et ceux qui perturbent la sécurité et l'ordre, après deux semaines de collecte de renseignements », a déclaré Hussein Rahimi.
Le chef de la police de la capitale a également déclaré que 142 cafés, 48 gymnases et deux lieux de rencontre ont été identifiés lors de la mise en œuvre de cette étape du plan.
Source : Agence de presse gérée par l'Etat, le 21 novembre 2107
Iran : Le tremblement de terre, une excuse pour davantage de pillage de la part des pasdaran - vidéo
Le gouvernement de Rohani donne 1 300 milliards de tomans aux pasdaran et à la fondation pour le logement affiliée à Khamenei
Selon les médias gouvernementaux, le 21 novembre 2017, le ministre de l'Économie et des finances de Rohani a consacré 565 milliards et 400 millions de tomans (environ 139 millions de dollars) pour aider les victimes du tremblement de terre.
samedi 25 novembre 2017
La Résistance iranienne condamne fermement les crimes terroristes au Sinaï et le massacre de centaines de fidèles sans défense
La Résistance iranienne condamne fermement le crime terroriste anti-islamique et inhumain dans le nord de la péninsule du Sinaï qui a causé jusqu'à présent la mort de 235 personnes sans défense qui priaient et blessés de nombreuses autres. Elle présente ses plus sincères condoléances au peuple égyptien et au gouvernement de l’Egypte, et en particulier aux familles des victimes et prie pour un prompt rétablissement des blessés.
Le terrible crime contre l'humanité au Sinaï, en particulier contre les fidèles, a montré une fois de plus que le terrorisme criminel sous la bannière de l'islam, qu'il soit chiite ou sunnite, a non seulement rien à voir avec l'islam, mais se trouve aux antipodes des enseignements de cette religion.
vendredi 24 novembre 2017
Maryam Radjavi appelle la nation à manifester sa solidarité et porter secours aux victimes du séisme en Iran
• Les dommages causés par le tremblement de terre catastrophique ont été aggravés par l’incurie de la dictature religieuse
• Le seul moyen pour sortir de cette calamité est de renverser le funeste régime des mollahs
Une cérémonie a eu lieu au siège de la Résistance iranienne à Tirana le mardi 21 novembre pour commémorer les victimes du récent tremblement de terre en Iran et appeler à la solidarité avec les personnes touchées dans les zones sinistrées.
Un changement de régime est synonyme d’égalité des sexes en Iran
Le 25 novembre est la Journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes, mais cette violence et les autres formes de misogynie sont encore des choses systématiques dans bien des endroits, notamment en Iran.
Aucun pays au monde n’a pour l’instant réussi à avoir une égalité homme-femme complète. Dans de nombreux cas, les femmes sont traitées comme des citoyens de seconde zone et ne peuvent pas travailler, voter, se marier, s’habiller ou vivre librement.
Une motion au Parlement britannique pour inscrire les pasdaran iraniens sur la liste noire
Une motion a été déposée au Parlement britannique appelant le gouvernement britannique à inscrire les Gardiens de la révolution du régime iranien sur la liste des organisations terroristes. La motion d’urgence a été déposée le 31 octobre 2017 par le député Bob Blackman et a déjà reçu le soutien multipartite de dizaines de législateurs britanniques.
Un rapport de Struan Stevenson révèle le soutien du régime iranien au terrorisme
Un nouveau rapport détaillant le soutien du régime iranien aux groupes terroristes, dont Al-Qaîda, le Hezbollah et Daech, a été publié par l’association européenne pour la liberté en Irak (EIFA), une ONG basée à Bruxelles et dirigé par l’ancien eurodéputé écossais Struan Stevenson.
Le rapport, publié le 21 novembre, souligne que le régime décrit ces groupes intégristes comme des « mouvements de libération » ou des « déclencheurs de révolution ». Mais l’objectif reste la même : promouvoir le terrorisme, déstabiliser la région et prendre le contrôle via des milices.
Iran : Encore deux autres prisonniers pendus à Tabriz
Deux prisonniers ont été pendus à l'aube, le 22 novembre, dans la prison centrale de Tabriz, en Iran.
Ils ont été identifiés comme étant Saied Asgari, 55 ans, originaire de Mianeh qui était détenu dans la section 9 de cette prison pendant six ans et Ali Delgoshadi, âgé de 67 ans, originaire de Mameghani à Tabriz qui était détenu dans la section 9 depuis quatre ans. Ils ont tous les deux été reconnus coupables de meurtre.
Source : Les militants des droits de l'homme en Iran, le 22 novembre 2017
Iran : Des détenus baloutches torturés pour les forcer à faire des aveux
Cinq citoyens baloutches, arrêtés il y a quatre mois, ont été torturés et forcés à faire des aveux.
Ces hommes qui ont été arrêtés par le ministère du renseignement à Iranshahr, le 8 juillet. Ils ont été identifiés comme étant Mohammad Saleh Shahdad Zehi, Mahmoud Shahli Bar, Idris Rokni, Abdolaziz Rokni et Hachem Zardukouhi.
Selon une source informée, ils ont été arrêtés après qu'un agent du Bassij (la force paramilitaire du régime) ait été tué dans la ville de Sarbaz.
« Ils sont encore torturés au centre de détention du ministère du renseignement de Zahedan », a ajouté la source. Selon la source, les agents ont arraché trois ongles à Idris Rokni.
Source : Les Militants des droits de l'homme en Iran, le 22 novembre 2017
Un homme pendu dans la prison de Tabriz en Iran
Un homme accusé de meurtre a été jugé par le tribunal pénal de Tabriz, en Iran et condamné à la peine de mort après une enquête préliminaire.
L'accusé de 28 ans, identifié par ses initiales, J.N., a été pendu le 22 novembre à 7h30 dans la cour de la prison de Tabriz en présence de la famille de la victime.
Source : Site Web Tarjoman Sobh, le 22 novembre 2017
La section des prisonniers politiques ressemble à une cage dans la prison d'Ardabil
Les autorités de la prison d'Ardebil, en Iran, ont transformé la section 7, où les prisonniers politiques sont détenus, en une cage avec des clôtures.
Les trous dans cette clôture sont des carrés de 4 cm et recouvrent toute l'enceinte.
Le but est de limiter et de renforcer la pression sur les prisonniers politiques. Cette section a une cour qui mesure 6 à 7 mètres, ce qui est très petit. Au-dessus de la cour se trouve une tour d'observation de 12 mètres de haut et de grand angle. La tour a une grande forme cylindrique qui empêche le soleil de pénétrer dans la cour.
Source : Zandaniran, le 21 novembre 2017
Iran : Il est temps de prendre en considération un massacre longuement nié
CSDHI, le 21 novembre 2017 - Cette semaine, Téhéran a annoncé qu'il poursuivrait un programme de développement de missiles qui, selon les analystes de la défense, pourrait permettre à l'Iran de lancer des armes nucléaires.
C'était une menace publique qui a naturellement suscité une forte réaction de la part des États-Unis et de l'Occident : le risque de prolifération nucléaire par un régime fanatique est en effet une menace pour des millions de personnes dans la région. Mais il y a une autre menace, potentiellement plus grande, venue de l'intérieur de l'Iran, une menace insidieuse par le fait que personne en dehors de l'Iran ne semble s'en soucier mais qui met en péril les valeurs et la conscience morale du monde civilisé. Je parle du massacre de quelques 30 000 iraniens - y compris mon oncle – par les mains de l'État en 1988. Et les meurtres arbitraires et les exécutions se poursuivent.
Les droits des femmes en Iran sont loin derrière ceux du reste de la communauté internationale
Dans le monde du régime théocratique qui règne en Iran, le rôle des femmes est principalement relégué à la maison. Les femmes ont un accès limité aux sphères publique et politique.
Celles qui essayent d'obtenir plus pour elles-mêmes constatent maintenant qu'elles se mettent directement en opposition avec le régime des mollahs.
jeudi 23 novembre 2017
Comment sévir contre les violations des droits de l'homme du régime iranien
Le régime iranien a tracé une ligne rouge à quiconque ouvrirait le débat sur les événements de 1988, au cours desquels 30 000 prisonniers politiques ont été exécutés durant un été sanglant sur les ordres du Guide Suprême de l'époque, Rouhollah Khomeini.
Nous ne devons pas cesser d'en parler. Nous ne pouvons pas oublier le massacre qui a anéanti des dizaines de milliers de personnes uniquement en raison de leur soutien aux Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI).