Selon le verdict, rendu par contumace par la branche 101 du tribunal pénal de Naghadeh, Hojjat Esmatzadeh a été condamné à 50 coups de fouet et à un an de prison pour trouble de l’ordre public, ainsi qu’à 18 mois de prison pour avoir publié des photos sur les médias sociaux.
Les forces du régime ont arrêté Hojjat Esmatzadeh le 24 novembre 2021, après sa convocation au bureau du renseignement de Naghadeh, puis elles l’ont transféré à la prison de Naghadeh.
Il a été libéré sous caution le 28 novembre 2021, dans l’attente de son procès.
Le militant azerbaïdjanais a déjà été arrêté et convoqué pour ses activités.
Le régime iranien est l’un des rares États à utiliser encore des châtiments dégradants. Pourtant, toutes les conventions internationales relatives aux droits civils et politiques ont interdit l’utilisation de châtiments inhumains tels que l’exécution et la flagellation.
Le régime inflige régulièrement des peines de flagellation aux manifestants et aux dissidents, ainsi qu’aux personnes accusées d’adultère et de vol, entre autres. La flagellation est un châtiment cruel et dégradant et équivaut à la torture. Source : Iran HRM
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire