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lundi 19 février 2024

RENCONTRE DE MARYAM RADJAVI AVEC UNE DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE ROUMAINE

Rencontre de Maryam Radjavi avec une délégation parlementaire roumaine

Samedi 17 février, Maryam Radjavi s’est entretenu avec une délégation de parlementaires roumains, présidée par le député Ben-Oni Ardelean, était composée du député Cristian Popescu et des anciens députés Maria Grecea et Romeo Florin Nicoara.

Cette rencontre a été l’occasion pour Mme Radjavi de brossé un tableau du bellicisme du régime des mollahs au Moyen-Orient. Désormais, a-t-elle noté, plus personne n’ignore le rôle du régime iranien et chacun peut constater que la tête du serpent de la guerre et du terrorisme est à Téhéran. C’est pour cette raison, que la politique de complaisance avec les mollahs a reçu un véritable coup et ne peut plus être justifiée.

Ben-Oni Ardelean, vice-président du parti national libéral roumain et membre de la commission des affaires étrangères, a estimé que le soutien à la lutte de la résistance iranienne revêt une importance majeure. Nous avons fait dans notre pays l’expérience de la dictature et nous comprenons vos difficultés, a-t-il affirmé. En Europe de l’Est, ils sont nombreux à soutenir votre combat pour renverser la dictature religieuse, a-t-il ajouté.

Pour M. Cristian Popescu, les ingérences du régime iranien dans les deux grands conflits qui déchirent le monde aujourd’hui, relèvent du terrorisme d’Etat et il faut y mettre fin. Il a affirmé qu’il fallait soutenir la lutte contre ce régime et se tenir aux côtés de la Résistance iranienne.

Tout en confirmant les propos de ses collègues, M. Romeo Nicoara a estimé qu’il fallait faire connaitre et ressentir à l’opinion publique les agissements du régime iranien, étant donné la situation extrêmement critique.

Lors de cette rencontre, Mme Maria Grecea, évoquant son histoire d’amitié et de soutien à la résistance iranienne et sa visite à Achraf 3, a déclaré que depuis 2013, date à laquelle elle a fait la connaissance du mouvement, elle a participé à divers événements, devenant familière avec ce combat. La bonne nouvelle, s’est-elle réjouie, est que, désormais, dans les médias roumains, il y a des éclaircissements et des révélations sur le régime iranien, et que l’opinion publique roumaine commence à découvrir la nature de la dictature religieuse en Iran, dont elle ignorait l’existence.

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