Pour faire face au régime iranien, qui met en danger la paix et la sécurité, l'Union européenne a besoin d'une politique de fermeté et cohérente

 Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'UE discutera de la guerre et de la crise actuelle au Moyen-Orient le 22 avril à Luxembourg. Ne pas tenir compte du rôle principal du régime iranien dans cette crise, entraînera l'échec de toute tentative d'aboutir à un accord de paix dans la région.

Dès le début, nous avons dit que la tête du serpent du #terrorisme et du bellicisme était le régime iranien, mais cet avertissement a été ignoré en raison d'intérêts économiques ou du désir de s'entendre avec cette dictature religieuse. Maintenant que le régime est sorti de derrière le rideau de ses groupes mandataires avec son attaque aux missiles et aux drones la semaine dernière, tout retard pour lui demander des comptes est doublement désastreux.

Pour faire face au régime iranien, qui met en danger la paix et la sécurité, l'Union européenne a besoin d'une politique de fermeté et cohérente, qui comprend notamment la désignation du Corps des Gardiens de la révolution comme entité terroriste, le recours au mécanisme de « snap back » dans la Résolution 2231 pour activer les six résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU et la mise en place de sanctions globales contre ce régime.

Cependant, la solution définitive pour mettre fin aux dangers de ce régime est de le renverser pour le remplacer par une république démocratique. À cet égard, il est nécessaire que l'Union européenne reconnaisse le droit incontestable du peuple iranien à renverser ce régime et le droit de la jeunesse rebelle à lutter contre les Gardiens de la révolution.

Surce : maryam-rajavi.com/fr/