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vendredi 11 avril 2025
Catastrophe éducative en Iran : 70 % des élèves souffrent de pauvreté d'apprentissage
Le cas du prisonnier politique Hafez Forouhi reste opaque et injuste; Reflet de la pression systémique exercée sur les détenus politiques en Iran
L’état de santé de Kamran Rezaei-Far se dégrade : Les autorités judiciaires ignorent l’état critique du prisonnier politique
Plus de 200 jours d’incertitude pour deux militants civils d’Izeh dans la prison de Sheiban à Ahwaz
Crise des internes en Iran : suicide de Narges Mohammadpour après une garde éprouvante
jeudi 10 avril 2025
Trois femmes exécutées dans la prison de Vakilabad à Machhad
Cinq des victimes étaient des prisonniers d’opinion sunnites, exécutés après 9 ans d’emprisonnement. Quatre d’entre eux – dont deux femmes – avaient été condamnés à mort pour des affaires liées à la drogue. Une autre femme, qui avait été emprisonnée pour meurtre, a également été exécutée le même jour.
À l’heure où nous rédigeons cet article, les médias d’État et les sources officielles du régime iranien n’ont pas confirmé l’exécution. Avec l’exécution de ces 3 femmes, le nombre de femmes exécutées en Iran en 2025 s’élève à 11.
Dans son rapport annuel 2024, Amnesty International a annoncé que 64 % des exécutions dans le monde avaient eu lieu en Iran.
Au moins 16 prisonniers exécutés en Iran en deux jours
Des rapports provenant de sources des droits de l’homme indiquent que du mardi 8 avril au mercredi 9 avril, au moins 16 prisonniers, dont cinq prisonniers politiques et trois femmes, ont été exécutés dans des prisons à travers l’Iran.
La communauté internationale doit agir immédiatement pour mettre fin aux condamnations à l’amputation de trois prisonniers à Oroumieh
Iran Human Rights prévient que, étant donné l’histoire de la République Islamique dans l’application de punitions inhumaines telles que les exécutions, les amputations et autres formes de châtiments corporels pendant les périodes où l’attention publique et internationale est concentrée ailleurs, il y a un risque sérieux que ces peines soient bientôt appliquées dans le cadre des tensions et des négociations actuelles entre l’Iran et les Etats-Unis.
Iran : SMS envoyés aux familles de jeunes filles concernant le port du hijab
Bien que la nouvelle loi sur le hijab obligatoire du régime iranien n'ait pas encore été officiellement annoncée, Mohsen Mazaheri, secrétaire du Comité pour l'injonction au bien et l'interdiction du mal à Ispahan (centre de l'Iran), a défendu la pratique consistant à envoyer des SMS aux familles des femmes et des filles qui se livrent à la désobéissance civile contre le hijab obligatoire. Il a déclaré qu'il s'agissait d'une action courante, appliquée pour diverses raisons.
Iran : Un éboulement mortel à Bajestan, troisième accident mortel en quatre jours
Les crises de l’électricité et de l’eau en Iran dégénèrent en menaces pour la sécurité du régime
mercredi 9 avril 2025
Le régime iranien veut installer 15 000 caméras pilotées par l’IA pour assurer la répression en 2025
Disparition forcée de Parisa Darvish à Mashhad ; Préoccupations soulevées par l’utilisation continue de tactiques répressives en Iran
Iran : Menace imminente d’amputation des doigts des prisonniers
Une source informée a déclaré à Human Rights Watch que le 13 mars, le bureau chargé de l’exécution des peines dans la prison centrale d’Oroumieh dans la province d’Azerbaïdjan occidental avait convoqué Hadi Rostami, 38 ans, Mehdi Sharifian, 42 ans et Mehdi Shahivand, 29 ans, et leur a remis une lettre des procureurs les informant que leurs peines seraient exécutées dès le 11 avril.
L’augmentation alarmante des exécutions en Iran : le rapport d’Amnesty International révèle les abus généralisés de la peine de mort
L’Iran exécute cinq prisonniers politiques après 10 ans de détention
Les victimes – Farhad Shakeri, Taj Mohammad Khormali, Abdolrahman Gorgij, Abdolhakim Azim Gorgij et Malek Fadaei- avaient été arrêtées en 2015 et 2019. Ils ont été condamnés à mort pour baghi (rébellion armée) par le tristement célèbre juge Davoodabadi de la branche 1 du tribunal révolutionnaire de Mashhad, connu pour ses verdicts sévères dans les affaires politiques.
Incertitude juridique persistante pour Hoda Mehreganfar et son père à la prison d’Adelabad
mardi 8 avril 2025
La campagne des mardis contre les exécutions en Iran continue de prendre de l’ampleur dans sa 63e édition
En Iran, l’exécution imminente de la prisonnière politique Pakhshan Azizi suscite des craintes croissantes
Alors que l’on s’inquiète de plus en plus de l’exécution imminente de la prisonnière politique kurde Pakhshan Azizi, la Cour suprême d’Iran a rejeté sa deuxième demande de révision du procès. Selon la défense de la prisonnière politique Pakhshan Azizi, la Cour a refusé de demander ou d’examiner son dossier et a rejeté sa demande pour des raisons purement procédurales, sans prendre en compte les preuves ou les arguments juridiques présentés par la défense de Mme Pakhshan Azizi.
Le prisonnier politique Rouhollah Khosravi est enchaîné dans le quartier de quarantaine de la prison de Dezful
Iran : Le militant civil Salar Taher Afshar transféré à la prison d’Evine pour purger une peine de cinq ans
Des femmes iraniennes vendent leurs cheveux dans un contexte de pauvreté croissante
lundi 7 avril 2025
La participation des femmes iraniennes au marché du travail chute à un niveau historiquement bas
Forte hausse des exécutions : au moins 74 prisonniers exécutés, dont quatre femmes
Cri silencieux : 57 prisonniers politiques condamnés à mort en Iran
Situation des prisonniers politiques condamnés à mort en Iran – Partie 9
En Iran, les prisonniers politiques croupissent sous le poids des condamnations à mort, de la torture et des procès injustes – des individus dont les voix ont été réduites au silence dans les cellules froides et sombres de la prison d’Evine. Ali-Akbar (Shahrokh) Daneshvarkar, l’un de ces prisonniers, ainsi que cinq autres, ont été condamnés à mort en décembre 2024 (1er décembre 2024). Ces personnes sont victimes d’un système qui a remplacé la justice par des aveux obtenus sous la torture et des simulacres de procès. Les rapports d’organisations de défense des droits de l’homme, dont Amnesty International, indiquent que ces condamnations constituent non seulement une violation flagrante des droits de l’homme, mais qu’elles s’inscrivent également dans le cadre d’une vague croissante d’exécutions visant à réprimer la dissidence politique en Iran. Ce rapport raconte l’histoire de Shahrokh et de ses compagnons d’infortune et lance un appel désespéré pour sauver leur vie.
dimanche 6 avril 2025
Les fêtes de fin d'année marquées par la baisse continue de la valeur du rial iranien
Les dégâts causés par les inondations dans le nord de l’Iran mettent en lumière la négligence, la corruption du régime
Les fêtes de fin d'année marquées par la baisse continue de la valeur du rial iranien
samedi 5 avril 2025
La mort de Nayeri ravive la demande de justice contre les bourreaux du massacre de 1988 en Iran
Manifestations des grands agriculteurs iraniens contre la politique d'assèchement de la rivière Zayandeh Rud
Tentative d'assassinat contre Mehregan Namavar, écrivaine et militante civile
Une écrivaine de 38 ans a été violemment agressée près de la « route de Salamat », dans la région de la « vallée de Labak ». L'agression a été perpétrée par trois individus – deux hommes et une femme portant un foulard et un masque – qui auraient poursuivi la voiture de Namavar, l'auraient forcée à s'arrêter et l'auraient agressée physiquement.
vendredi 4 avril 2025
La crise économique du régime iranien dans une année critique
Le Parlement européen condamne la vague d’exécutions en Iran et demande des mesures plus sévères contre le régime
Golrokh Iraï depuis la prison d’Evine : Réformistes et monarchistes s’unissent pour préserver la tyrannie en Iran
Non à la peine de mort : protestation de la famille du prisonnier politique Vahid Bani Amerian
Rapport sur la situation des prisonniers politiques condamnés à mort en Iran – Partie 8
Vahid Bani-Amerian, né en 1992 à Sonqor, est diplômé en génie électrique et titulaire d’une maîtrise en gestion stratégique de l’université de technologie K. N. Toosi à Téhéran. Il est un exemple parfait de la jeunesse éduquée et courageuse de l’Iran qui a été systématiquement ciblée par le régime iranien pour son activisme civique et politique. La condamnation à mort prononcée à son encontre le 1er décembre 2024 par la branche 26 du tribunal révolutionnaire de Téhéran constitue non seulement une violation flagrante des droits de l’homme, mais aussi un sérieux avertissement à la communauté internationale concernant l’intensification de la répression en Iran. Ce rapport vise à mettre en lumière la situation de Vahid Bani-Amerian et appelle à une action urgente pour lui sauver la vie.
jeudi 3 avril 2025
Iran : L’ONU élargit ses enquêtes sur les violations des droits humains
Parlement européen : Proposition de résolution sur les exécutions en Iran
– vu ses résolutions antérieures sur l’Iran,
– vu les articles 150(5) et 136(4) de son Règlement,
A. considérant que l’Iran a le taux de condamnation à mort par habitant le plus élevé au monde; que depuis le soulèvement Femmes, vie, liberté en 2022, les autorités iraniennes se sont lancées dans une série d’exécutions, y compris contre des dissidents, des femmes, des journalistes et des minorités;
Rapport sur la situation des prisonniers politiques condamnés à mort en Iran – Partie 7
Rapport particulier du "CNRI Femmes" dans le contexte de la session CSW69 marquant le 30e anniversaire de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing (les vastes violations des droits de l’homme, l’ exécution de femmes et la situation des prisonniers politiques).
Comme tous les autres gouvernements, le régime iranien a soumis un rapport à la CSW69, bien que celui-ci soit rempli de rhétorique creuse et de statistiques manipulées.
Vida Mohammadi condamnée à quatre ans et huit mois de prison
Vida Mohammadi, une résidente de Téhéran, a été condamnée à quatre ans et huit mois de prison par la justice du régime iranien.
Selon le verdict rendu par la 26e branche du tribunal révolutionnaire de Téhéran , Vida Mohammadi a été condamnée à quatre ans de prison pour « rassemblement et collusion en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale » et à huit mois supplémentaires pour « propagande contre l’État ».