Alors que la grève de la faim des opposants iraniens entre dans son quatrième mois, de nombreux soutiens ont été apportés ces derniers jours par des archevêques, des défenseurs des droits de l'homme, des parlementaires et des universitaires à travers le monde.
En Afghanistan, Ali Mohabati, le président de la commission indépendante des droits de l'homme, a annoncé son soutien aux grévistes de la faim iraniens et a appelé à une mobilisation accrue pour exiger la libération des sept otages d'Achraf. Dans une déclaration, le 7 décembre, il a mis en garde contre "le danger qui vise les 3000 réfugiés du camp de Liberty en Irak" et a exhorté les autorités onusiennes et américaines à "s'investir d'urgence pour exiger du premier ministre irakien la libération des otages".
En Afghanistan, Ali Mohabati, le président de la commission indépendante des droits de l'homme, a annoncé son soutien aux grévistes de la faim iraniens et a appelé à une mobilisation accrue pour exiger la libération des sept otages d'Achraf. Dans une déclaration, le 7 décembre, il a mis en garde contre "le danger qui vise les 3000 réfugiés du camp de Liberty en Irak" et a exhorté les autorités onusiennes et américaines à "s'investir d'urgence pour exiger du premier ministre irakien la libération des otages".
En Angleterre, le professeur Alison Asiter a publié un article la semaine dernière dans le quotidien Independant, dans lequel il affirme: "Alors que les récentes négociations entre les grandes puissances mondiales et le régime iranien a été accueilli pour avoir prévenu une autre guerre, il faut rappeler que les membres les sympathisants de l'organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran, mènent une grève de la faim depuis trois mois devant l'ambassade des États-Unis à Londres. C'est un drame humanitaire qu'il convient d'adresser rapidement. Chacun des membres de l'OMPI en Irak, victimes récemment d'une attaque sanglante, faisant 52 morts et otages, sont des personnes protégées en vertu de la quatrième convention de Genève. Si personne n'intervient d'urgence, nous risquons d'être témoins de la perte de vies humaines à quelques pas de l'ambassade des États-Unis."
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