En nommant Ejeï à la tête du pouvoir judiciaire, Khamenei complète le projet commencé il y a deux ans de consolider son pouvoir et de « gouvernement hezbollah ». En éliminant les factions rivales et en s’emparant des trois branches du pouvoir, il cherche en vain à retarder son renversement certain. Mais il ne fait qu’attiser la colère et le rejet de la population. Ces trois individus (Raïssi à l’exécutif, Ejeï au judiciaire et Qalibaf au législatif) doivent être traduits en justice pour génocides et crimes contre l’humanité.
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