Maryam Radjavi : de la prison à la rue, le peuple iranien résiste
Madame la Maire,
Mesdames et Messieurs les élus,
Mesdames et Messieurs,
Chers amis,
Je voudrais d’abord remercier Madame la Maire Florence Berthout, pour accueillir cette exposition de solidarité avec la Résistance iranienne.
La commission d’appel pour les violations administratives des employés du département de l’éducation de Gilan, dans le nord de l’Iran, a condamné Zahra Sayyad Delshadpour, enseignante dans un lycée de Bandar Anzali, à la retraite obligatoire, entre autres, pour avoir “participé à des rassemblements et à des sit-in”.
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Honorables personnalités,
Chers amis,
Je vous remercie d’avoir organisé cette réunion. Je suis ravie que le grand ami du peuple iranien et de sa Résistance, M. Vidal Quadras, soit présent à cette réunion.
• L’impunité des dirigeants du régime, auteurs de crimes contre l’humanité, est un encouragement à continuer de tuer
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Les Koulbars, un terme utilisé par les habitants des régions kurdes d’Iran, désignent les porteurs qui risquent leur vie en transportant des marchandises de contrebande à travers la frontière pour gagner chichement leur vie. Poussés par le chômage, le désespoir et les maigres salaires, les Koulbars de ces régions, en particulier ceux de l’Azerbaïdjan occidental, du Kurdistan, du Kermanshah, du Sistan et du Baloutchistan, ont recours au passage illégal de la frontière pour transporter des marchandises.
Le 2 mai marque l’anniversaire du martyre d’un groupe des membres et responsables les plus éminents de l’Organisation des moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI) à Téhéran.
Oroumieh est la capitale de la province de l’Azerbaïdjan occidental, dans le nord-ouest de l’Iran.
La province de Sistan et Balouchistan, dans le sud-est de l’Iran, a subi le plus de dégâts et au moins 3 fillettes ont perdu la vie.
Nous demandons instamment à l’ONU, à son Conseil des droits de l’homme et son rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Iran de prendre des mesures urgentes pour sauver les prisonniers politiques Reza Rassa’i et Habib Deris, qui risquent d’être exécutés de façon imminente.
« Le système judiciaire du régime iranien a mis en scène un scénario farfelu et vulgaire en jouant avec la peine d’exécution pénale prononcée contre l’artiste iranien et prisonnier politique Toomaj Salehi.
Shahnaz était détenue depuis 3 ans. Elle est la 5ème femme pendue en Iran en 2024.
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Les derniers règlements du gouvernement, qui sont entrés en vigueur le 13 avril, permettent aux forces de sécurité d’arrêter, d’infliger des amendes et de punir les personnes qui défient les règles strictes du régime en matière de hijab. Cela a conduit à une série d’actions agressives de la part du personnel de sécurité à l’encontre des femmes qui refusent de se plier à ces règles, ce qui a contribué à alimenter la contestation publique.
– Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a condamné vendredi les informations en provenance d’Iran faisant état d’une application de plus en plus stricte de la loi sur le hijab obligatoire pour les femmes et les jeunes filles, ainsi que d’un nouveau projet de loi qui imposerait des sanctions sévères aux personnes reconnues coupables d’avoir enfreint la loi.
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Ce jour-là, ces femmes courageuses ont risqué leur vie pour dénoncer les crimes du Corps des gardiens de la révolution (pasdaran) pour réprimer toute voix dissidente.
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Atena Farghadani a été violemment arrêtée le 13 avril 2024 par les forces de sécurité alors qu'elle affichait l'une de ses caricatures sur un mur de la rue Pastor, où se trouve le palais présidentiel.
Le mardi 9 avril, une conférence décisive s'est tenue au Parlement européen à Bruxelles, intitulée « Les porteurs de flambeau du changement : Soutenir la longue lutte des femmes en Iran ».
Cette au Parlement européen, présidée par l'eurodéputée Radka Maxová, vice-présidente de la commission des droits de la femme et de l'égalité des genres, a mis en lumière la lutte permanente pour les droits et la liberté des femmes en Iran .
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La prisonnière politique de l’OMPI Fatemeh Ziaii Azad est âgée de 67 ans et mère de deux membres de l’Organisation des Moudjahidines du Peuple d’Iran (OMPI), un parti d’opposition iranien.
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