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lundi 31 janvier 2022

La triste réalité de la pandémie de la Covid-19 en Iran

 CSDHI – En Iran, la pandémie de la Covid-19 prend une ampleur alarmante.

Pandémie de la Covid-19

Le nombre de décès dus à la COVID19 en Iran se rapproche d’une nouvelle étape : 500 000 décès liés à la COVID, selon des sources non gouvernementales et fiables en Iran, affiliées au Conseil national de la résistance iranienne (CNRI). L’émergence de variants de la COVID et l’incapacité du régime corrompu et inhumain de Téhéran à fournir l’aide médicale, l’hospitalisation et la vaccination nécessaires ont suscité l’inquiétude des gens ordinaires en Iran et même des autorités du régime.

MANIFESTATIONS DES ENSEIGNANTS DANS 120 VILLES D’IRAN

Manifestations des enseignants dans 120 villes d’Iran

Des milliers d’enseignants et d’éducateurs épris de liberté à Téhéran et dans 119 autres villes et de nombreux villages ont manifesté ce lundi 31 janvier dans un climat sécuritaire extrême et à la suite de deux journées de sit-in dans tout le pays. Ils protestent contre leurs conditions de vie insupportables, leurs salaires de misère et le silence auquel se heurtent leurs revendications légitimes, et contre l’arrestation d’enseignants. A Téhéran, un rassemblement s’est tenu devant le parlement des mollahs et en banlieue et en province, manifestations et rassemblements se sont déroulés devant les rectorats.

En plus de Téhéran, le mouvement a eu lieu notamment à Tabriz, Oroumieh, Ispahan, Shahin-Shahr, Khomeiny Shahr, Semirom, Bagh Bahadoran, Chadegan, Shahreza, Fouladshahr, Najafabad, Ardebil, Karadj, Eshtehard, Ilam, Chardavol, Abdanan, Bouchehr , Dashtestan, Shabankareh, Borazjan, Shahrekord, Lordegan, Machad, Nichapour, Bojnourd, Ahwaz, Khorramchahr, Ramhormoz, Andimeshk, Behbahan, Shoush, Shoushtar, Izeh, Andimeshk, Zandjan, Chiraz, Eghlid, Fassa, Nourabad Mamasani, Arsedjan, Darab, Kazeroun, Lamard, Guerash, Qazvine, Qom, Sanandaj, Dehgolan, Marivan, Kamyaran, Qorveh, Bijar, Zivieh, Kermanchah, Songhar, Javanroud, Islamabad-e-Gharb, Miandoab, Harsine, Gorgan, Yassoudj, Dishmouk, Racht, Bandar Anzali, Lahijan, Rezvanshahr, Langroud, Khorramabad, Boroujerd, Delfan, Romeshkan, Aligoudarz, Poldokhtar, Kouhdasht, Sari, Noshahr, Amol, Behshahr, Neka, Arak, Hamedan, Malayer, Yazd et Bafgh.

Les manifestants ont scandé : « libérez les prisonniers politiques », « libérez les enseignants emprisonnés », « Raïssi menteur, menteur, menteur », « Raïssi analphabète, avec ton CEP de menteur, où est le résultat de tes promesses? », « avec tout ton tapage, où est le résultat de tes promesses », « assis la présidence à produire mensonges et promesses », « on ne lâche rien tant qu’on n’aura pas eu nos droits », « notre ennemi ici même, ils mentent en disant que c’est l’Amérique », « les enseignants préfèrent la mort à l’humiliation», « le silence de chaque enseignant ouvre une porte à l’oppression », « on a entendu tellement de mensonges, qu’on ne veut plus des autorités », « l’enseignant se lève pour éliminer la discrimination » et « le gouvernement trahit, le parlement soutient ».
Les forces répressives et les agents en civils ont tenté de bloquer les rues menant aux rassemblements, et ont procédé à des arrestations d’enseignants actifs, mais dans le but d’étouffer le mouvement et d’empêcher les gens de les rejoindre. Cependant face à leur persévérance, en particulier des femmes, les agents ont dû faire marche arrière. Lors des manifestations d’aujourd’hui, des d’enseignants ont été arrêtés, notamment à Téhéran, Marivan et dans la province de Fars. À Chiraz, malgré les conditions de sécurité renforcées, de grandes foules ont défilé dans les rues, appelant dans leurs slogans à la libération des enseignants emprisonnés.
Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) a salué les enseignants libres qui, malgré les arrestations et les menaces, sont une fois de plus descendus dans les rues d’Iran aux cris de « les enseignants préfèrent la mort à l’humiliation ». De cette manière, a-t-elle dit, ils ont donné à des millions d’élèves une leçon de liberté. Elle a souligné que la poursuite de ces protestations courageuses reflète la volonté générale de renverser ce régime et d’instaurer la démocratie, la justice et la souveraineté populaire.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 31 janvier 2022

Iran : Le système de surveillance de l’Organisation de radiotélévision du régime montre 25 chaînes de télévision perturbées sur les satellites Intelsat et Badr

 Des centaines de chaînes de radio nationales, de télévision provinciales et locales ont été gravement perturbées et leurs émissions audio, vidéo ou de transmission coupées

Les fiches de contrôle font état de plus de 2 000 avertissements « critiques » sur les stations de radio et de télévision du régime.

Le système de « surveillance globale » de la radiotélédiffusion « Islamic Republic of Iran Broadcasting (IRIB) » montre clairement qu’à partir du jeudi 27 janvier 2022 dans l’après-midi, la liaison montante (uplink) de 25 chaînes de télévision nationales sur le satellite Intelsat et de 20 chaînes de télévision nationales sur le satellite Badr était complètement coupée. Des centaines de stations de radio nationales et de stations de télévision provinciales et locales étaient également en état d' »alerte critique » et sur le point de s’éteindre.

47 exécutions en janvier 2022 dont 17 délinquants toxicomanes

 CSDHI – L’Iran a mis en œuvre 47 exécutions dans les prisons iraniennes en janvier 2022, selon les statistiques obtenues par Iran Human Rights Monitor.

Au moins 17 exécutions ont eu lieu pour des délits liés à la drogue et 24 pour des meurtres. Les autorités iraniennes ont pendu trois prisonniers sous l’accusation de Moharebeh. Deux hommes ont été exécutés après avoir été reconnus coupables d’accusations liées à l’homosexualité.

Les droits humains en Iran sont tombés au plus bas

 CSDHI – Tout au long de l’histoire contemporaine de l’Iran, les violations des droits humains ont été monnaie courante dans ce pays. Depuis l’époque des monarchies Qajar et Pahlavi jusqu’à aujourd’hui, le peuple iranien a été privé de ses droits et libertés fondamentaux.

Droits humains bafoués depuis des décennies

Sous le règne du Shah, la tristement célèbre SAVAK (police secrète) violait effrontément les droits et libertés du peuple. La révolution antimonarchique de 1979 a donné au peuple iranien l’espoir de voir émerger une nouvelle ère dans laquelle les droits humains et la dignité humaine seraient respectés.

dimanche 30 janvier 2022

Iran: Coronavirus Death Toll Surpasses 501,500

 While State-controlled Figure for the Past 24-Hour COVID-19 Patients Has Quadrupled Compared To Last Week, Raisi Instructed That the Enclosure of Any Information Needs To Be Fully Coordinated So It Won’t Cause Undue Concern!

  • Mashhad Medical Organization: COVID-19 conditions are now out of control, and the number of patients with Omicron doubles every three days. (ISNA news agency, January 30, 2022)

Une nouvelle grève nationale des enseignants iraniens dans une centaine de ville

 Association Humanitaire Une nouvelle grève nationale des enseignants iraniens a eu lieu dans une centaine de villes de 29 provinces iraniennes le samedi 29 janvier 2022.

Les enseignants iraniens réclament la mise en œuvre intégrale du plan de classement des enseignants, afin de recevoir des salaires équivalents à ceux de 80 % des professeurs de sciences des universités. Les enseignants retraités veulent également que leurs salaires soient justifiés par rapport au taux d’inflation actuel. Les enseignants demandent également la libération des enseignants arrêtés et toujours en détention.

La grève nationale des enseignants iraniens va se poursuivre les 30 et 31 janvier.

Parallèlement, les infirmières et le personnel de santé iraniens ont manifesté à Ispahan, Machad, Chiraz, Bouchehr, Kermanchah, Ouroumieh, Asadabad, Pol-e Dokhtar, Téhéran,  Rasht, Firouzabad, Rostam, Kouvar, Roudsar, Lasht Nesha, Ahwaz, Boukan,  Sanandaj, Hamedan, Yassoudj, etc.

samedi 29 janvier 2022

L’opposition pirate les chaînes télévisées de l’Etat et diffusent les images de Radjavi en Iran

Iran FocusUn groupe d’opposants iraniens en exil a affirmé que ses partisans avaient mené un acte de piratage contre des chaînes de télévision et des stations de radio contrôlées par l’Etat iranien, en diffusant brièvement des slogans et des critiques. L’agence France presse (AFP) a publié une dépêche à sujet :

A Téhéran, la télévision d’Etat a confirmé avoir été victime d’un acte de piratage, indiquant qu’il n’avait duré que 10 secondes et faisait l’objet d’une enquête. Selon des images postées sur les réseaux sociaux, les téléspectateurs ont vu leurs programmes habituels être interrompus par des images de Massoud Radjavi, fondateur des Moudjahidine du peuple (MEK en persan ou OMPI) et de son épouse Maryam Radjavi, qui dirige le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI).

Teachers, Educators Protests Continue Across Iran

 NCRI - Today, Saturday, 29 January 2022, teachers and educators across Iran held protest gatherings and sit-ins at their workplaces. The protesters that included employed as well as retired teachers demanded the full implementation the “teachers ranking,” plan for employed teachers, the implementation of salary adjustments for retired teachers based on inflation and prices of basic needs, and the fulfillment of their other demands.

L’Holocauste : un crime inoubliable dans l’histoire de l’humanité

 CNRI Femmes – Le 27 janvier marque le jour de la libération d’Auschwitz, l’un des nombreux camps d’extermination en Allemagne et en Pologne, symbole de l’Holocauste. Plus d’un million d’êtres humains ont été victimes de l’horrible racisme du Troisième Reich. Et l’Holocauste, où plus de 6 millions de juifs européens ont été massacrés, symbolise la barbarie nazie.Le pire crime contre l'humanité de l'après-Seconde Guerre mondiale

vendredi 28 janvier 2022

Qui est responsable des 500 000 victimes de la COVID-19 en Iran ?

 CSDHI – Alors que le nombre de personnes ayant perdu la vie à cause du coronavirus a atteint 5,6 millions à travers le monde, l’Organisation des moudjahidines du peuple d’Iran (MEK, opposition iranienne) a annoncé que le nombre de victimes de la Covid-19 en Iran avait dépassé le chiffre de 500 000. En d’autres termes, environ un dixième du nombre total de décès dans le monde a été enregistré en Iran.

Le MEK a comptabilisé cette statistique grâce à son réseau national, étendu dans 547 villes des 31 provinces iraniennes. Dans ce contexte, le MEK a publié des déclarations quotidiennes révélant la situation dangereuse du coronavirus dans le pays, contrairement aux fausses déclarations du ministère de la Santé.

Iran : Echec de la série de contre-attaques cybernétiques des services de renseignement et des pasdarans contre le site de l’OMPI

 La quatrième attaque ce midi a atteint 2,2 millions de requêtes par seconde

La série de contre-cyberattaques hystériques des pasdarans et des services de renseignement des mollahs contre le site internet des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), qui a commencé à 17 heures le jeudi 28 janvier 2022 se poursuivent.

Iran : 460 personnalités exhortent l’ONU à ouvrir une enquête sur le massacre de 1988

 Avec Agences : D’éminents anciens juges et enquêteurs de l’ONU ont appelé la patronne des droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, à enquêter sur le « massacre » de prisonniers politiques en Iran en 1988, y compris sur le rôle présumé de son président actuel, Ebrahim Raïssi, à l’époque, a rapporté l’agence Reuters le 27 janvier.

La lettre ouverte publiée jeudi, vue par Reuters, a été signée par quelque 460 personnes, dont un ancien président de la Cour pénale internationale (CPI), Sang-Hyun Song, et Stephen Rapp, un ancien ambassadeur américain pour la justice pénale mondiale.

RSF saisit l’ONU après la mort de l’écrivain et journaliste iranien Baktash Abtin

 Reporters sans Frontières – A la suite du décès de Baktash Abtin pour défaut de soin, Reporters sans frontières (RSF) demande à l’ONU une enquête internationale pour faire toute la lumière sur la mort du journaliste et écrivain.

La fuite des cerveaux en Iran

 CSDHI – L’accumulation des crises en Iran, surtout ces dernières années, a encerclé les mollahs de Téhéran. Ces crises continuent de s’accumuler et de s’accélérer chaque année, sans aucun signe d’arrêt et de ralentissement.

jeudi 27 janvier 2022

Iran : La mort pour les athlètes et champions nationaux

 Dans d’autres pays du monde, les athlètes sont considérés comme des trésors nationaux. Mais le régime au pouvoir en Iran maltraite, arrête et exécute les athlètes iraniens.

Le 9 janvier, le régime iranien a condamné à mort le prisonnier politique Mohammad Javad Vafaei Sani, champion de boxe de Machhad, après deux ans d’emprisonnement et de
torture. Vafaie a été arrêté à la suite des soulèvements majeurs de 2019 en Iran et condamné à mort pour soutien à l’Organisation des Moudjahidine du Peuple d’Iran (OMPI),
et « corruption sur terre », une allégation absurde de la théocratie au pouvoir pour justifier ses crimes.

L’Iran, seul pays à rejeter la résolution de l’ONU condamnant le déni de l’Holocauste

 CSDHI – Le 20 janvier était un jour historique aux Nations Unies et dans l’histoire de l’humanité et de la justice. Ce jour-là, dans une résolution, l’Assemblée générale des Nations unies a condamné à l’unanimité le déni de l’une des époques les plus sombres de l’humanité, l’Holocauste.

Une résolution pour condamner l’Holocauste

La résolution présentée par Israël et l’Allemagne a reçu le soutien ferme de toutes les nations de l’ONU, à l’exception de l’Iran. Dans leurs discours, les ambassadeurs israélien et allemand ont souligné l’importance de l’adoption de la résolution. La résolution appelle tous les pays et les propriétaires de médias sociaux à lutter activement contre l’antisémitisme et le déni ou la déformation de l’Holocauste. L’Assemblée générale des Nations unies compte 193 membres, qui ont approuvé la résolution par consensus, sans vote.

Jean-François Legaret : regardons avec lucidité la situation actuelle de l’Iran qui est intolérable

 photo d’archive

La nouvelle année 2022 a été célébrée le 9 janvier dernier au siège de la Résistance iranienne à Auvers sur Oise, avec la participations des amis du peuple iranien et de son combat pour la liberté. Jean-François Legaret, maire du 1ᵉʳ arrondissement de Paris de 2000 à 2020, et d’autres personnalités et élus locaux du Val d’Oise sont intervenues
durant l’évènement en ligne aux côté de. Maryam Radjavi. Ils ont formulé le vœux que la nouvelle année sera celle de la victoire du soleil de la démocratie et la paix sociale
contre une dictature qui n’a apporté que misère et désolation pour le peuple iranien. La dirigeante du CNRI a interpelé les dirigeants européens et souligné que « le régime a
besoin de la bombe pour rester au pouvoir parce qu’il est en situation de renversement. Pour arrêter le programme de la bombe, il faut renverser ce régime. C’est pourquoi il est
nécessaire de soutenir la lutte du peuple iranien pour le changement de régime. Nous pouvons tous participer à l’instauration d’un Iran à la hauteur de son histoire, un Iran qui
respecte la démocratie, l’égalité, la justice et les droits de l’homme, un Iran facteur de paix et d’amitié entre les peuples. »

Dans son intervention, Jean-François Legaret, a déclaré :

Jean-Pierre Béquet : Mobilisez-vous pour assurer la paix dans la région et permettre au peuple iranien de retrouver sa liberté

Jean-Pierre Béquet : Mobilisez-vous pour assurer la paix dans la région et permettre au peuple iranien de retrouver sa libertéPhoto d’archive

La nouvelle année 2022 a été célébrée le 9 janvier dernier au siège de la Résistance iranienne à Auvers sur Oise, avec la participations des amis du peuple iranien et de son
combat pour la liberté. Jean-Pierre Béquet, ancien député et maire d’Auvers sur Oise, et d’autres personnalités et élus locaux du Val d’Oise, sont intervenues durant l’évènement
en ligne aux côté de. Maryam Radjavi. Ils ont formulé le vœux que la nouvelle année sera celle de la victoire du soleil de la démocratie et la paix sociale contre une dictature qui
n’a apporté que misère et désolation pour le peuple iranien. La dirigeante du CNRI a interpelé les dirigeants européens et souligné que « le régime a besoin de la bombe pour
rester au pouvoir parce qu’il est en situation de renversement. Pour arrêter le programme de la bombe, il faut renverser ce régime. C’est pourquoi il est nécessaire de soutenir la
lutte du peuple iranien pour le changement de régime. Nous pouvons tous participer à l’instauration d’un Iran à la hauteur de son histoire, un Iran qui respecte la démocratie,
l’égalité, la justice et les droits de l’homme, un Iran facteur de paix et d’amitié entre les peuples. »

L’Iran refuse de soigner un prisonnier politique malade de la COVID-19

 CSDHI – Le prisonnier politique Payam Shakiba s’est vu refuser l’accès à un traitement médical alors qu’il a contracté la Covid-19 à la tristement célèbre prison d’Evine, à Téhéran, en Iran.

Arrestation et condamnation

Les autorités ont arrêté le militant le 3 janvier, après sa comparution devant l’unité d’exécution du tribunal de la prison d’Evine. Les SSF l’ont transféré à la prison pour commencer à purger une peine de 13 mois de prison.

40 ans d’exécutions d’athlètes en Iran

 CSDHI – Contrairement aux pays développés où les athlètes sont admirés, leur situation en Iran est bien en deçà des normes internationales minimales.

Le régime iranien au pouvoir maltraite, arrête et exécute les athlètes iraniens. Dans le sombre bilan du régime en matière de violations des droits humains, on trouve de nombreux cas d’exécution d’athlètes et de champions nationaux.

Peine de prison pour Azimeh Nasseri ; Golaleh Moradi reste dans l’incertitude

 CNRI Femmes – Un tribunal de Boukan a prononcé une peine de prison pour Azimeh Nasseri. Une autre militante kurde reste dans les limbes, neuf mois après son arrestation.

Peine d’emprisonnement pour Azimeh Nasseri

La 101e chambre de la Cour pénale de Boukan a prononcé une peine de trois mois de prison à l’encontre d’Azimeh Nasseri, une militante kurde de Boukan. Mme Nasseri doit également payer une amende en espèces de 6 millions de tomans.

mercredi 26 janvier 2022

Iran’s COVID-19 Death Toll Surpasses 500,000. Was It Preventable?

 On January 25, Iran’s Covid-19 death toll surpassed half a million. This astounding mortality rate, coupled with heart-wrenching videos of people falling to their deaths on streets, sparks one question: Was this catastrophe avoidable?

A glance at some of the facts and figures indicates that this humanitarian catastrophe could have indeed been prevented. Still, the regime’s Supreme Leader Ali Khamenei saw the deadly pandemic, as he put it, as “an opportunity” and part of a broader strategy of producing mass human casualties to stem the rising tide of uprisings that threaten his fragile grip on power.

Iran : Le régime clérical est directement responsable de la tragédie déchirante des 500 000 décès dus au Covid-19

 Mensonge, dissimulation, interdiction d’importer des vaccins, refus d’aide aux travailleurs et leur envoi à l’abattoir du Covid-19,

les actions du régime constituent un crime contre l’humanité. Khamenei et les autres dirigeants doivent être tenus pour responsables.

Alain Vivien : la France doit élaborer une politique de fermeté et de respect des droits du peuple iranien

 La nouvelle année 2022 a été célébrée le 9 janvier dernier au siège de la Résistance iranienne à Auvers sur Oise, avec la participations des amis du peuple iranien et de son combat pour la liberté. Alain Vivien, ancien ministre, et d’autres personnalités et élus locaux du Val d’Oise sont intervenues durant l’évènement en ligne aux côté de. Maryam

Radjavi. Ils ont formulé le vœux que la nouvelle année sera celle de la victoire du soleil de la démocratie et la paix sociale contre une dictature qui n’a apporté que misère et désolation pour le peuple iranien. La dirigeante du CNRI a interpelé les dirigeants européens et souligné que « le régime a besoin de la bombe pour rester au pouvoir parce qu’il est en situation de renversement. Pour arrêter le programme de la bombe, il faut renverser ce régime. C’est pourquoi il est nécessaire de soutenir la lutte du peuple iranien pour le changement de régime. Nous pouvons tous participer à l’instauration d’un Iran à la hauteur de son histoire, un Iran qui respecte la démocratie, l’égalité, la justice et les droits de l’homme, un Iran facteur de paix et d’amitié entre les peuples. »

Dans son intervention, Alain Vivien, ancien Secrétaire d’État aux Affaires étrangères, a déclaré :

La théocratique honnie par la population en Iran

 CNRI - De jeunes religieux reçoivent leurs turbans lors d’une cérémonie de remise de diplômes dans un séminaire de la ville de Qom. (Photo d’archive)

Ceux qui connaissent bien les médias sociaux iraniens sont témoins d’une tendance à la hausse du nombre d’images et de messages montrant des gens ordinaires s’élevant contre
les mollahs dans la rue, les insultant et faisant même preuve d’agressivité. Fin décembre, une vidéo a été prise dans la ville sainte de Qom, traditionnellement la base du pouvoir
des mollahs, montrant comment une femme a attaqué deux religieux, arrachant et piétinant leurs turbans. De tels messages deviennent généralement viraux sur diverses
plateformes et les commentaires révèlent l’état d’esprit de la population.

Narges Mohammadi à nouveau condamnée dans une nouvelle affaire montée de toutes pièces

 CSDHI – L’éminente défenseuse des droits humains, Narges Mohammadi, a été condamnée à huit ans de prison et 70 coups de fouet après avoir passé deux mois dans le quartier 209 de la prison d’Evine.

Le mari de Narges Mohammadi, Taghi Rahmani, a tweeté le 23 janvier : « J’ai appris que Narges Mohammadi a été condamnée à huit ans d’emprisonnement, 70 coups de fouet et une interdiction de télécommunications pendant deux ans (interdiction peu claire) lors d’un procès qui a duré cinq minutes. Comme elle n’a pas eu de contact avec sa famille, nous considérons que les détails et le verdict sont complètement flous. »

L’Iran condamne un ressortissant français à 8 ans de prison pour espionnage

 CSDHI – Mardi, un tribunal iranien a condamné un ressortissant français détenu en Iran depuis mai 2020 à huit ans et huit mois de prison pour espionnage.

Les autorités iraniennes ont condamné Benjamin Brière, 36 ans, car il a fait voler un drone équipé d’une caméra près de la frontière turkméno-iranienne. La justice iranienne a reconnu le ressortissant français, coupable d’espionnage et de « propagande contre la République islamique ».

mardi 25 janvier 2022

Iran coronavirus update: Over 500,000 deaths, Khamenei & regime officials should face justice

 POMI/MEK -Based on the most conservative estimates the number of coronavirus fatalities in Iran has horrifically surpassed the half-million mark. This unprecedented catastrophe is the result of the regime’s criminal and plundering policies, especially regime Supreme Leader Ali Khamenei and the Revolutionary Guards (IRGC) with a strategy focused on maximum casualties in order to prevent nationwide uprisings.