« Asadollahi est une source d’inspiration et un poète de premier plan pour sa génération ».
Son œuvre a été traduite en anglais, en italien et en français.
Ali Asadollahi, qui est également critique littéraire et secrétaire de l’Association des écrivains iraniens, a été arrêté le 21 novembre sans aucune charge. Il est actuellement détenu à la prison de Fashafouyeh, où il serait en isolement et n’aurait pas accès à son avocat.
Selon la déclaration de Pen, « le seul crime de ces écrivains est leur production et leurs activités littéraires. Nous appelons les autorités iraniennes à annuler immédiatement ces accusations absurdes contre les écrivains iraniens et à ordonner leur libération.
« La persécution et les poursuites incessantes à l’encontre des écrivains iraniens constituent des violations manifestes de leur liberté d’expression et de leur liberté de conscience, telles qu’elles sont protégées par les propres lois de l’Iran et ses obligations juridiques en vertu du droit international », indique le communiqué qui ajoute : « Nous demandons à la communauté internationale de tenir ce régime criminel responsable de ses crimes odieux contre les écrivains et les poètes. »
Source : VOA/CSDHI
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