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lundi 23 décembre 2024

Grande manifestation des travailleurs du pétrole et du gaz à Gachsaran, des télécommunications à Chiraz et des employés municipaux à Téhéran

Grande manifestation des travailleurs du pétrole et du gaz à Gachsaran, des télécommunications à Chiraz et des employés municipaux à Téhéran

Manifestations des retraités à Téhéran, Chiraz, Zandjan, Oroumieh, Sanandaj, Ilam, Bijar, Bandar-Abbas, Kermanchah, Ahwaz, Chouch, Racht, Ispahan, Hamedan, Tabriz et Damghan
« Aujourd’hui c’est un jour de deuil ; la situation des travailleurs est en ruine » ; « nous n’aurons pas de répit tant que nous n’aurons pas obtenus nos droits »; « sous le poids de l’inflation, le peuple a les reins brisés » ; « criez contre tant d’oppression » ; « le parlement et le gouvernement sont tous les deux contre le peuple » ; « nous nous battrons et nous n’accepterons pas d’humiliation »

Exécution de 141 prisonniers en un mois, dont 7 femmes et 2 condamnés âgés de moins de 18 ans au moment du délit présumé

 Exécution d’un prisonnier à Mahabad après 19 ans e détention pour le meurtre d’un agent des forces répressives

Les bourreaux de Khamenei ont exécuté au moins 141 prisonniers, dont 7 femmes, au cours du mois persan d’Azar (du 21 novembre au 20 décembre). Au moins deux des victimes étaient âgées de moins de 18 ans au moment du délit présumé. Les femmes victimes de la machine à exécuter du fascisme religieux sont les suivantes : Effat Hamedi à Sari, une prisonnière nommée Mahboubeh à Yazd, Ameneh Alipour à Zandjan, Azar Aliyeh Kavarizadeh et Farideh Jafarzadeh à Ilam, Farkhondeh Allah Moradi à Ispahan, et Fariba Maleki Shahivand à Khorramābād.

La vague d’exécutions se poursuit : Sept exécutions en Iran le 22 décembre 2024

 Des sources des droits de l’homme rapportent que le dimanche 22 décembre, le régime iranien a procédé aux exécutions d’au moins sept prisonniers dans plusieurs villes. Cet événement inquiétant met en lumière le recours continu et croissant à la peine capitale en Iran, qui vise souvent des groupes vulnérables et marginalisés.

Le prisonnier politique iranien Pouya Ghobadi condamné à mort après sept ans d’arrestations répétées

 – Pouya Ghobadi, un prisonnier politique, a été condamné à mort près de 10 mois après sa dernière arrestation. Depuis 2018, Pouya Ghobadi a été détenu à plusieurs reprises par les services de renseignement et les forces de sécurité iraniens. Lors de sa dernière arrestation, il a été appréhendé à Chaldoran, une ville de la province de l’Azerbaïdjan occidental, puis transféré à la prison d’Evine à Téhéran, où la condamnation à mort a été prononcée.

Effat Hamedi, 35 ans, et la mère d’un garçon de 9 ans pendues à la prison centrale de Sari

 Une femme de 35 ans, Effat Hamedi, mère d’un garçon de 9 ans, a été pendue à l’aube du mardi 17 décembre 2024, en même temps que trois hommes, à la prison centrale de Sari.

Effat Hamedi avait été arrêtée il y a 4 ans, accusée d’avoir tué son mari, puis condamnée à mort. Cette nouvelle a été rapportée par des médias indépendants le 22 décembre, mais elle n’a pas encore été annoncée par les médias d’État ou les autorités officielles.

Les travailleurs et les retraités se mobilisent dans tout le pays contre l’injustice économique

 Le 22 décembre, des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes d’Iran alors que les travailleurs, les retraités et les retraités se rassemblaient contre les difficultés économiques, les mauvaises conditions de travail et la corruption du gouvernement. Les manifestations ont mis en évidence le mécontentement croissant de divers groupes sociaux alors que les demandes de justice et de réformes s’intensifient.

dimanche 22 décembre 2024

Un test d’endurance : les cyberattaques et le marathon de la Résistance iranienne vers le changement

 Ces dernières semaines, les réseaux sociaux en langue persane ont été en proie à une intense vague de désinformation, de calomnie et de vitriol visant le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) et son organisation centrale, l’Organisation des Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI/MEK). Cette attaque coordonnée fait suite aux mesures cruciales prises par le CNRI pour faire avancer sa mission de libérer l’Iran de son régime actuel et d’établir un avenir démocratique pour le peuple iranien.

Intensification de la pollution dans les grandes villes iraniennes jusqu’à la fin de la semaine

 Sadegh Ziaeian, directeur du Centre national de prévision de l’Organisation météorologique iranienne, a annoncé l’intensification de la pollution de l’air dans les grandes villes à partir du dimanche 22 décembre jusqu’à la fin de la semaine.

Iran : des patients reçoivent des injections d'eau distillée au lieu de médicaments de chimiothérapie

 Suite à une augmentation suspecte du nombre de décès à l'hôpital Valiasr de Tabriz, les autorités ont confirmé samedi 21 décembre que le personnel de l'hôpital avait injecté aux patients de l'eau distillée au lieu de médicaments de chimiothérapie. Quatre personnes ont été arrêtées dans le cadre de cette affaire.

9 patients rendus aveugles dans un hôpital ophtalmologique en Iran

 Les médias iraniens ont rapporté que neuf personnes sont devenues aveugles dans un centre ophtalmologique à cause de l’utilisation d’un « mauvais médicament ». Ces personnes ont développé de graves infections oculaires après des opérations de la cataracte, et certaines risquent désormais de devoir subir une ablation de l’œil en raison de la gravité de l’infection.

Des rassemblements généralisés dans les villes reflètent l’aggravation de la crise économique et sociale

 Des manifestations ont eu lieu à travers l’Iran par divers groupes sociaux qui expriment leurs griefs contre la mauvaise gestion, la corruption et les politiques répressives du régime. Les manifestations de ces derniers jours se sont étendues à plusieurs provinces, reflétant la frustration croissante des Iraniens.

Massoumeh Asgari, enseignante emprisonnée, privée de soins médicaux et confrontée à un avenir incertain

 Massoumeh Asgari, enseignante et prisonnière politique, a fait l’objet d’une détention prolongée sous le régime iranien. Elle est confrontée à de graves problèmes de santé et à une incertitude juridique permanente. Malgré la détérioration de son état de santé, les autorités lui refusent tout traitement médical.

samedi 21 décembre 2024

Die Welt : Maryam Radjavi présente le plan de transition après le changement de régime en Iran

 Dans un récent article d’opinion publié dans le quotidien allemand Die Welt, Maryam Rajavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), présente un plan global pour le changement de régime en Iran. Elle souligne que le récent renversement du dictateur syrien Bachar al-Assad, un allié clé des mollahs au pouvoir à Téhéran, a affaibli stratégiquement le régime iranien, créant une opportunité cruciale pour la résistance organisée.

Conférence à Sciences Po Paris Droits humains en Iran : Répression, Résistance et Solidarité internationale

 Le 13 novembre, une conférence dédiée à l’Iran a été organisée par trois associations étudiantes :

@spma.sciencespo, @sciencespo.asie et @amnestyscpoparis

Cet événement, qui a réuni 60 étudiants,  s’est déroulé pendant une heure et demie, avec la participation de plusieurs intervenants notables :

Fabrication de dossiers et nouvelles condamnations pour deux frères prisonniers politiques, Mohammad et Mehdi Khodakarami en Iran

 Le lundi 16 décembre 2024, le système judiciaire en Iran a prononcé de nouvelles condamnations contre Mohammad et Mehdi Khodakarami, deux prisonniers politiques partisans des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK), déjà condamnés dans d’autres affaires. Accusés de « propagande contre le régime au profit de groupes opposants et hostiles », chacun des deux frères a été condamné à un an de prison ferme et deux ans d’exil dans les villes de Meybod et Hendijan. Pendant cette période, ils seront privés de tout accès aux téléphones portables et autres dispositifs électroniques. Le verdict stipule également que les condamnations ne doivent pas leur être remises sous forme papier, mais uniquement par voie électronique.

Plus de 80 % des ménages iraniens vivent sous le seuil mondial de pauvreté

 Avec la hausse continue de l'inflation et la forte dévaluation de la monnaie nationale iranienne, les médias iraniens ont rapporté que plus de 80 % des ménages iraniens sont tombés sous le seuil de pauvreté mondial.

Une prisonnière politique kurde et son enfant sont confrontés à des conditions désastreuses dans une prison iranienne

 La détérioration de l’état de santé d’une petite fille détenue à la prison centrale d’Ourmia, en Iran, suscite de vives inquiétudes quant au traitement réservé aux prisonnières politiques et à leurs familles par le régime iranien. Ala (Solina) Khadirzadeh, 2 ans, fille de la prisonnière politique kurde Soada Khadirzadeh, est malade depuis plus de 10 jours. Malgré l’aggravation de son état, les autorités pénitentiaires ont refusé de fournir un traitement médical à l’enfant, exacerbant ainsi la pression psychologique sur sa mère.

vendredi 20 décembre 2024

Le Comité suisse appelle à l’action pour mettre fin aux exécutions de prisonniers politiques en Iran

 Le Comité suisse pour la démocratie et la laïcité en Iran a adressé le 6 décembre 2024 une lettre aux institutions internationales, dont le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, exprimant sa profonde inquiétude face aux condamnations à mort de six prisonniers politiques en Iran.

Iran : 18 exécutions, dont une femme, le dimanche 15 décembre, et neuf exécutions le 18 décembre

 Au moins 638 prisonniers exécutés sous la présidence de Pezeshkian,

dont 22 femmes

Les bourreaux de Khamenei ont envoyé à la potence 9 prisonniers le mercredi 18 décembre. Parmi eux : Hassan Youssefi, Majid Jamshidi, Sohrab Ahmadipour, Abdolbari Pakouhi, Farzad Norouzi et Rastgouyi Kandalej à la prison de Ghezel-Hessar ; Mohammad Shams, 36 ans, à Hamedan ; ainsi que Jamal Noboureh et Rahim Barine à Mahabad. Rahim Barine a été exécuté pour la mort d’un agent du régime.

Exécutions de 27 prisonniers, dont une femme, en trois jours en Iran

 – Les autorités iraniennes ont procédé à une série d’exécutions massives cette semaine, prenant la vie de 27 personnes au cours de trois jours, mettant en évidence une escalade troublante dans l’utilisation de la peine capitale dans le pays.

Un rapport du gouvernement allemand sur les droits de l’homme met en évidence de graves violations en Iran

 Le mercredi 18 décembre 2024, le ministère fédéral allemand des Affaires étrangères a publié son 16e rapport sur les droits de l’homme, mettant en lumière la situation désastreuse des droits de l’homme en Iran sous le régime clérical. Le rapport indique que pour assurer la survie du régime, les libertés personnelles et politiques sont délibérément et systématiquement restreintes et les manifestations sont violemment réprimées.

La prison iranienne de Ghezel Hesar sanctionnée par les États-Unis

 Le département du Trésor et le département d'Etat américains ont annoncé jeudi 19 décembre avoir sanctionné la prison de Ghezel Hesar à Karaj . Simultanément, ces deux agences ont imposé des sanctions à plusieurs entités et navires impliqués dans la vente de pétrole et de produits pétrochimiques par le régime iranien.

Une chrétienne convertie détenue dans les limbes : Le cas de Ghazal Marzban à la prison d’Evin

 Ghazal Marzban, chrétienne convertie et avocate, est détenue depuis plus de 40 jours à la prison d’Evin, à Téhéran, sans avoir été formellement inculpée.

POINT DE VUE. «Brisons le silence sur les exécutions en Iran»

 « Avec 850 exécutions depuis le début de l’année, l’Iran continue de souiller les pages de l’histoire contemporaine en versant le sang des siens, dans un silence international assourdissant ». Dix personnalités appellent dans Ouest-France le Président de la République Française à exiger l’arrêt des peines capitales en Iran. Les signataires sont : Dominique Attias, Présidente du Conseil d’Administration de la Fondation des Avocats Européens, ancienne Présidente de la Fédération des Barreaux d’Europe; Élisabeth Badinter, Philosophe; Patrick Baudouin, avocat et Président d’honneur de la LDH et de la FIDH; Pierre Bercis, Président des Nouveaux Droits de l’Homme; Ingrid Betancourt, autrice, ancienne sénatrice; Jean-Pierre Brard, parlementaire honoraire, président du Comité Français pour un Iran Démocratique (CFID); Jean-François Legaret, président de la Fondation d’Etudes pour le Moyen-Orient (FEMO); Jean-Pierre Mignard, avocat et essayiste; Gilbert Mitterrand, Président de Fondation Danielle-Mitterrand France-Liberté; Jean Ziegler, sociologue, ancien rapporteur spécial de l’ONU.

ACTION URGENTE : RISQUES DE NOUVELLES EXÉCUTIONS LIÉES AUX MANIFESTATIONS

 Amnesty International – En Iran, au moins 10 personnes ont été condamnées à mort en lien avec les manifestations nationales « Femme, vie, liberté » de septembre – décembre 2022.

Un nombre alarmant de femmes sont envoyées à la potence en Iran

 Nombre de ces femmes étaient des jeunes mariées. Elles ont été pendues pour le meurtre de maris violents contre lesquels elles n’avaient aucune protection.

En Iran, les exécutions politiques de plus en plus nombreuses concernent désormais aussi les femmes

jeudi 19 décembre 2024

Le régime iranien fait marche arrière sur la loi sur le hijab par crainte d’un soulèvement social et de divisions internes

 Le régime iranien a temporairement fait marche arrière dans l’application de sa loi controversée sur le hijab obligatoire, suite à l’intervention du Conseil suprême de sécurité nationale (CSSN) et à des conflits internes croissants. Craignant une répétition du soulèvement national de 2022, les responsables ont reconnu le potentiel d’une grave réaction sociale, en particulier alors que Téhéran est aux prises avec des crises économiques, des revers régionaux et un mécontentement public croissant.

L’étudiante militante iranienne Leila Hosseinzadeh expulsée de l’université et interdite d’éducation

 Leila Hosseinzadeh, éminente militante étudiante iranienne de 31 ans et diplômée en anthropologie de l’université de Téhéran, a été expulsée de l’université et s’est vu refuser l’accès à son dossier académique. Son expulsion intervient dans le cadre d’une série de batailles juridiques et de persécutions continues de la part du régime iranien, mettant en évidence la répression de la liberté académique et de la dissidence en Iran.

Conditions désastreuses dans la prison pour femmes de Qarchak : Les détenues endurent le froid, la maladie et les privations

 – Avec l’arrivée du froid, la panne des systèmes de chauffage et le manque d’eau chaude dans la prison pour femmes de Qarchak ont gravement mis en danger la vie et la santé des détenues, dont des femmes enceintes et près de 20 jeunes enfants.

mercredi 18 décembre 2024

Message à une réunion à la Chambre des Représentants des Etats-Unis

Message à une réunion à la Chambre des Représentants des Etats-Unis

Maryam Radjavi : Le seul moyen d’empêcher les mollahs d’avoir l’arme nucléaire, c’est leur renversement par le peuple iranien et sa Résistance

Honorables membres de la Chambre des représentants des États-Unis,
Mesdames et Messieurs,
Je vous adresse à toutes et à tous mes salutations les plus cordiales.
J’apprécie profondément les efforts que vous déployez en soutien à la Résistance pour la liberté et la démocratie en Iran.

Adoption de la 71e résolution de l’ONU par l’Assemblée générale condamnant les graves violations des droits humains en Iran

 Saluant cette résolution, Maryam Radjavi a estimé que l’aggravation des violations des droits humains et le mépris du régime pour les résolutions de l’ONU rendent encore plus nécessaire le renvoi de ce dossier au Conseil de sécurité et la traduction en justice des dirigeants du régime des mollahs

Des manifestations à l’échelle nationale soulignent la colère croissante du public

 Ces derniers jours, des travailleurs, des retraités, des étudiants et des groupes marginalisés sont descendus dans les rues de plusieurs villes pour exiger justice, des salaires équitables et la responsabilité des responsables gouvernementaux. Ces manifestations reflètent la frustration croissante du peuple iranien face à la négligence systémique et à la mauvaise gestion économique par les mollahs criminels.

Iran : la campagne « Non aux exécutions » s’étend à 27 prisons dans sa 47e semaine

 Dans un acte de défi important, les prisonniers de 27 prisons iraniennes ont rejoint la campagne des mardis « Non aux exécutions » en lançant des grèves de la faim pour protester contre la forte augmentation des exécutions en Iran. Le mouvement, qui en est maintenant à sa 47e semaine, met en garde contre le taux croissant de condamnations à mort appliquées par le régime comme un outil pour maintenir son emprise sur le pouvoir.

mardi 17 décembre 2024

Exclusif : Les États-Unis condamnent la peine de prison prononc17 a 6ée par l’Iran contre un ancien journaliste de Radio Farda, Reza Valizadeh

 L’administration Biden a condamné l’Iran à 10 ans de prison pour avoir condamné un ancien journaliste de Radio Farda et citoyen américain d’origine iranienne, Reza Valizadeh, à deux fois plus qu’aux États-Unis. Il s’agit du seul cas connu d’un citoyen américain emprisonné par la République islamique depuis le rare échange de prisonniers entre les États-Unis et l’Iran en septembre 2023.

Siran Khosravi, militante des droits des femmes, détenue dans l’incertitude depuis près d’un mois

 Sanandadj, Ouest de l’Iran – Siran Khosravi, une militante des droits des femmes âgée de 37 ans et originaire de Sanandadj, est détenue depuis près d’un mois sans aucune information sur sa situation actuelle ni sur le lieu où elle se trouve. Elle a été arrêtée le 19 novembre 2024, lorsque des agents des services des renseignements iraniens ont fait une descente à son domicile sans mandat.

Zeinab Jalalian : Une prisonnière politique iranienne toujours privée de soins médicaux et de visites familiales

 Zeinab Jalalian, une prisonnière politique kurde qui purge une peine de prison à vie dans la ville de Yazd, dans le centre de l’Iran, continue de faire l’objet d’une grave négligence médicale malgré la détérioration de son état de santé. Souffrant de troubles de la vue, de maladies rénales et de problèmes gastro-intestinaux, elle reste privée de soins médicaux adéquats et n’a pas droit aux visites de sa famille depuis plus de 3 mois, une restriction qui aurait été ordonnée par le ministère des renseignements du régime iranien.

lundi 16 décembre 2024

Rencontre de Maryam Radjavi avec Gilbert Mitterrand, président de la fondation Danielle-Mitterrand France Libertés

Rencontre de Maryam Radjavi avec Gilbert Mitterrand, président de la fondation Danielle-Mitterrand France Libertés

Samedi 14 décembre, Maryam Radjavi a rencontré M. Gilbert Mitterrand, président de la Fondation Danielle Mitterrand France Libertés, ancien député et ancien maire de Libourne.
Lors de cette rencontre, Maryam Radjavi a rendu hommage à la mémoire de feue Mme Danielle Mitterrand, en déclarant : Danielle était un symbole des valeurs humaines. Elle a été à nos côtés dans les moments difficiles, écrivant des lettres en faveur des habitants de la cité d’Achraf et leur adressant des messages de soutien.

Mise à l’arrêt total de 23 provinces et arrêt partiel des autres en raison du manque de carburant, d’électricité et de la pollution de l’air

 Maryam Radjavi : Le régime des mollahs dilapide les richesses du pays par le pillage, la répression, le bellicisme et les projets nucléaires. Assis sur une mer de pétrole et de gaz, il est incapable de fournir de l’électricité et du carburant et crée la plus grande pollution atmosphérique en utilisant les combustibles les plus nocifs.

Les exécutions des combattants de la liberté dans la « Saydnaya » iranienne se déroulera dans un silence assourdissant

 BrusselsMorning – La chute du dictateur syrien et l’ouverture des prisons syriennes par les combattants de la liberté ont révélé les crimes horribles commis par le régime syrien, dans le silence et l’inaction de la communauté internationale. Ne laissons pas le silence donner une fois de plus au dictateur iranien l’occasion de continuer à massacrer les combattants de la liberté iraniens.

Un prisonnier politique transféré pour être exécuté dans un contexte de hausse des exécutions en Iran

 Mohammad Amin Mahdavi Shayesteh, un prisonnier politique condamné à mort, a récemment été transféré de la prison d'Evin vers une cellule d'isolement de la prison de Qezel Hesar à Karaj pour l' exécution de sa peine.

Les écoles de nombreuses provinces iraniennes fermées en raison du froid et des pénuries de gaz

 Avec la baisse des températures dans plusieurs régions d’Iran, les autorités de 15 provinces ont annoncé la fermeture des écoles pour « gérer la consommation d’énergie ».

Les écoles des provinces d’Azerbaïdjan occidental, d’Azerbaïdjan oriental, d’Ardabil, de Téhéran, du Khorasan du Nord, du Khorasan Razavi, du Khorasan du Sud, de Zanjan, de Semnan, de Qazvin, de Qom, de Kermanshah, du Golestan et de Mazandaran ont été déclarées fermées et ont basculé vers l’enseignement à distance pour le dimanche 15 décembre.

La violence domestique contre les femmes en Iran

 Selon les statistiques officielles iraniennes, plus de 74 000 femmes se rendent chaque année en moyenne dans des centres médico-légaux pour des examens liés à des violences conjugales. En d’autres termes, une femme mariée sur 300 en Iran sollicite l’aide des services médico-légaux pour signaler des violences conjugales. Cependant, tous les cas ne sont pas signalés. Selon les estimations, les cas réels de violences conjugales contre les femmes en Iran sont environ 100 fois plus nombreux que ce chiffre.

Iran : Des pannes de courant et des difficultés économiques déclenchent des manifestations

 Des manifestations ont eu lieu le 16 décembre en Iran par des travailleurs et des retraités qui ont exprimé leurs griefs contre les retards de salaires et les retraites insuffisantes. Des manifestations ont été signalées à Téhéran, Ispahan, Shiraz, Borujerd et d’autres villes, reflétant la frustration croissante face à la gestion par le gouvernement des défis économiques et des services essentiels.

dimanche 15 décembre 2024

Onze exécutions en Iran, dont une femme et 9 compatriotes baloutches ce 15 décembre

Onze exécutions en Iran, dont une femme et 9 compatriotes baloutches ce 15 décembre

Vingt exécutions les 11 et 12 décembre

Maryam Radjavi : Le monde d’aujourd’hui doit mettre fin aux négociations, aux accords et aux relations avec le régime des exécutions, du terrorisme et du bellicisme

Prison centrale de Yazd : Une femme parmi 7 prisonniers exécutés

 5 femmes exécutées en Iran au cours de la première quinzaine de décembre

Le dimanche 15 décembre à l’aube, une femme a été pendue avec 6 autres prisonniers à la prison centrale de Yazd.

L’identité de cette femme, condamnée à mort pour meurtre, n’a pas été confirmée au moment de la rédaction de cet article. Il s’agit de la 5ème femme exécutée en Iran au cours du mois de décembre.

Opération de la jeunesse insurgée en réponse à la vague d’exécutions

 Attaque courageuse sur le complexe industriel des pasdarans à Homayounchahr d’Ispahan, une base répressive à Ahwaz et la milice du Bassidj à Téhéran

En réponse à la vague d’exécutions de prisonniers, avec 596 pendaisons sou la présidence de Pezeshkian, la jeunesse insurgée a attaqué le complexe industriel des pasdarans à Homayounchahr, dans la province d’Ispahan, un centre de répression et d’inquisition connu sous le nom de séminaire à Ahwaz et une base de la milice du Bassidj sur l’autoroute Imam Ali de Téhéran.

Le député allemand Bernd Riexinger appelle à une action urgente pour stopper l’exécution de six prisonniers politiques en Iran

 Bernd Riexinger, membre du Parlement fédéral allemand et ancien chef du groupe Die Linke au Bundestag, a vivement condamné le régime iranien après la peine de mort prononcée pour six opposants politiques. Riexinger a exhorté la communauté internationale à agir de manière décisive pour empêcher ces exécutions, qu’il a décrites comme faisant partie de la campagne plus large de répression et de terreur du régime.

La nouvelle loi sur le hijab obligatoire est suspendue à la suite de l’intervention du Conseil suprême de sécurité nationale

 À la suite d’une vive réaction contre la nouvelle loi sur le hijab obligatoire, le régime clérical, craignant des soulèvements généralisés après la chute du dictateur syrien – un événement qui a ébranlé le régime jusqu’à la moelle – a été contraint d’interrompre la mise en œuvre et l’application de la loi.