
« Au matin du 1er septembre j'ai été témoin d'une tuerie atroce d'un groupe de mes compatriotes ayant le statut de réfugié (des réfugiés sans armes). Cet événement allumé en moi un tel brasier que j'ai eu honte de garder le silence tout en me considérant comme un ''être humain''», a-t-il écrit.
Dans son billet, il a également condamné les attaques à l'arme chimique du régime syrien contre sa population.
Dans un acte de foi, le Pr. Maleki a pris l'engagement de «continuer à critiquer les auteurs de ces infamies et à accomplir mes devoirs patriotiques et humains», appelant ses « compatriotes, de toutes tendances ou nationalités à ne jamais garder le silence face à de tels crimes.»
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire