CNRI - La Résistance iranienne met en garde contre l’exécution de quatre prisonniers politiques sunnites, MM Jahanguir et Djamchid Dehghani, Hamed Ahmadi et Kamal Mollaï. Elle appelle l’ensemble des instances internationales, organes de défense des droits humains et Rapporteurs de l’ONU concernés à agir de toute urgence et de manière efficace pour faire annuler cette condamnation et les sauver.
Les gardiens de prison ont dit à ces quatre détenus incarcérés à la section 5 de Gohardacht (banlieue de Téhéran) qu’ils seront emmenés demain matin vers un autre lieu. Auparavant, à la suite de leur grève de la faim de 75 jours, les bourreaux avaient promis à ces prisonniers que leur condamnation à mort serait annulée.
Jahanguir et Jamchid Dehghani, Hamed Ahmadi et Kamal Molaï ont été accusés de « propagande contre le régime par le biais d’une participation à ces cours de foi et politiques, recel, achat et vente de livres de foi sunnite et de CD de discours et de rituels religieux sunnites ». Et sur accusations de « propagande contre le régime, corruption sur Terre et Moharebeh (Guerre contre Dieu) », ils ont été condamnés à mort.
Le recours à la peine de mort, notamment contre les prisonniers politiques et nos compatriotes des minorités arabe et baloutche des régions déshéritées du pays, par le régime des mollahs, trahi sa peur du développement des protestations d’une population excédée.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 14 juin 2014
Jahanguir et Jamchid Dehghani, Hamed Ahmadi et Kamal Molaï ont été accusés de « propagande contre le régime par le biais d’une participation à ces cours de foi et politiques, recel, achat et vente de livres de foi sunnite et de CD de discours et de rituels religieux sunnites ». Et sur accusations de « propagande contre le régime, corruption sur Terre et Moharebeh (Guerre contre Dieu) », ils ont été condamnés à mort.
Le recours à la peine de mort, notamment contre les prisonniers politiques et nos compatriotes des minorités arabe et baloutche des régions déshéritées du pays, par le régime des mollahs, trahi sa peur du développement des protestations d’une population excédée.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 14 juin 2014
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