Le samedi 31 mai, quelque 3.000 marchands de métaux à Téhéran ont poursuivi leur grève pour la quatrième journée consécutives afin de protester contre l’augmentation des impôts.
Les ouvriers et les employés d’« Iran Tire Company » ont organisé une manifestation contre les licenciements d’un certain nombre d’ouvriers, la réduction des salaires et l’augmentation des horaires de travail de 8 heures à 12 heures par jour.
Dans la ville de Najafabad (centre de l’Iran), les bouchers ont continué leur mouvement de protestation contre la hausse des taxes et ont fermé leurs magasins. Leurs protestations avaient commencé le 24 mai.
A Ispahan (centre de l’Iran), les tailleurs de pierre sont en grève pour le sixième jour consécutif.
Dans la ville de Bafgh (centre de l’Iran), la grève de quelque 5.000 mineurs travaillant à la mine de fer de Bafgh pour protester contre la privatisation de cette mine est entrée dans son douzième jour.
Sous prétexte de la privatisation, les ouvriers des usines et des centres de production dans plusieurs villes ont été spoliés par des officiels du régime et des pasdaran. Ces ouvriers n’ont pas reçu leurs salaires depuis longtemps et beaucoup d’entre eux ont été licenciés.
Dans la ville de Shahr-e-Kord (sud de l’Iran), 1000 propriétaires de boulangeries se sont mis en grève pour protester contre l’augmentation du prix de la farine. Dans cette ville, les sandwicheries ont également fermés. En un mois, le prix d’une tonne de farine est passé de 38 000 à 54 000 tomans.
Les autorités du régime dans la ville de Behbahan (sud-ouest de l’Iran) ont été obligées de payer, avec retard, les salaires des travailleurs municipaux après plusieurs jours de protestations.
De même, le 28 mai à Ahvaz (sud-ouest de l’Iran), plusieurs travailleurs contractuels se sont rassemblés devant le la préfecture de cette ville. Les agents des services de Renseignements et de sécurité du régime ont encerclé les manifestants pour empêcher que ce mouvement de protestation se propage dans la ville.
Le même jour, dans la ville de Hamadan (ouest de l’Iran), des employés de la société nationale des télécommunications se sont rassemblés devant le siège de cette société afin de protester contre le non-paiement de leur salaire pendant deux mois.
Les 27 et 28 mai, dans la ville de Sanandaj (ouest de l’Iran), 450 ouvriers de « Azad Earth Dam » se sont mis en grève pour protester contre le non paiement de leurs salaires depuis quatre mois.
Dans la ville de Najafabad (centre de l’Iran), les bouchers ont continué leur mouvement de protestation contre la hausse des taxes et ont fermé leurs magasins. Leurs protestations avaient commencé le 24 mai.
A Ispahan (centre de l’Iran), les tailleurs de pierre sont en grève pour le sixième jour consécutif.
Dans la ville de Bafgh (centre de l’Iran), la grève de quelque 5.000 mineurs travaillant à la mine de fer de Bafgh pour protester contre la privatisation de cette mine est entrée dans son douzième jour.
Sous prétexte de la privatisation, les ouvriers des usines et des centres de production dans plusieurs villes ont été spoliés par des officiels du régime et des pasdaran. Ces ouvriers n’ont pas reçu leurs salaires depuis longtemps et beaucoup d’entre eux ont été licenciés.
Dans la ville de Shahr-e-Kord (sud de l’Iran), 1000 propriétaires de boulangeries se sont mis en grève pour protester contre l’augmentation du prix de la farine. Dans cette ville, les sandwicheries ont également fermés. En un mois, le prix d’une tonne de farine est passé de 38 000 à 54 000 tomans.
Les autorités du régime dans la ville de Behbahan (sud-ouest de l’Iran) ont été obligées de payer, avec retard, les salaires des travailleurs municipaux après plusieurs jours de protestations.
De même, le 28 mai à Ahvaz (sud-ouest de l’Iran), plusieurs travailleurs contractuels se sont rassemblés devant le la préfecture de cette ville. Les agents des services de Renseignements et de sécurité du régime ont encerclé les manifestants pour empêcher que ce mouvement de protestation se propage dans la ville.
Le même jour, dans la ville de Hamadan (ouest de l’Iran), des employés de la société nationale des télécommunications se sont rassemblés devant le siège de cette société afin de protester contre le non-paiement de leur salaire pendant deux mois.
Les 27 et 28 mai, dans la ville de Sanandaj (ouest de l’Iran), 450 ouvriers de « Azad Earth Dam » se sont mis en grève pour protester contre le non paiement de leurs salaires depuis quatre mois.
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