Allafrica.com: Addis-Abeba – Le mardi 10 juin, une organisation politique de l’opposition érythréenne (Organisation démocratique des Afars de la mer Rouge - RSADO) a renouvelé son appel à la communauté internationale pour enquêter sur les déchets présumées dangereux entreposés par l’Iran dans les pays limitrophe de la mer rouge.
Dans une interview avec « Soudan Tribune », le dirigeant de la RSADO, Ibrahim Haron, a déclaré que la communauté internationale « est resté sourde » à la première demande officielle de ce groupe en 2010, lorsqu’une matière toxique de couleur marron émanant des déchets a été détectée pour la première dans cette région.
Tout en dénonçant fermement ce qu’il a qualifié d’ « actes irresponsables et criminelles du gouvernement érythréen », l’opposition officielle a affirmé que les déchets toxiques industriels et nucléaires ont été exportés de l’Iran vers l’Erythrée en contrepartie de l’argent que l’Iran a donné à ce pays.
Haron dit que les déchets toxiques ont été déversés au sud, dans la zone Danakelia et près des côtes de la mer Rouge. La pêche dans les eaux de cette mer est le seul moyen de subsistance pour plusieurs dizaines de millier des personnes habitant dans cette région et appartenant à la minorité ethnique Afar.
Soudan Tribune ne peut pas vérifier de manière indépendante ces allégations. Depuis les premiers signalements de déchets en 2010, le gouvernement d’Asmara n’a jamais réagi à l’égard de ce type d’allégations.
Le groupe a déclaré que les effets néfastes des déchets toxiques ont commencé à affecter plusieurs milliers de personnes, les animaux et les ressources naturelles et que cette pollution continuera d’avoir des conséquences dangereuses pour les générations futures.
« Cette acte inhumain a commencé à inquiéter gravement les mères de famille dont les enfants vivent dans les zones où ces déchets toxiques sont entreposé», a déclaré Haron.
Il a ajouté qu’en raison des effets nocifs de ces déchets, le nombre de mères de familles atteintes d’un cancer du sein a considérablement augmenté et que des symptômes inquiétants ont été observés chez les nouveau-nés dans cette région.
« RSADO a envoyé quelques-uns de ses membres dans cette zone. Ceux-ci ont confirmé que dans cette zone, ils ont constaté un grand nombre de cas de tumeurs cancéreuses chez les pêcheurs. Les personnes malades ont d’importantes inflammations qui empêchent les mouvements de leur jambes », a-t-il précisé.
Si les allégations selon lesquelles Iran a déversé de déchets toxiques en Érythrée s’avèrent véridiques, cela constitue une violation de la Convention de Bâle (entrée en vigueur en 1992) sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et de leur élimination.
Tout en dénonçant fermement ce qu’il a qualifié d’ « actes irresponsables et criminelles du gouvernement érythréen », l’opposition officielle a affirmé que les déchets toxiques industriels et nucléaires ont été exportés de l’Iran vers l’Erythrée en contrepartie de l’argent que l’Iran a donné à ce pays.
Haron dit que les déchets toxiques ont été déversés au sud, dans la zone Danakelia et près des côtes de la mer Rouge. La pêche dans les eaux de cette mer est le seul moyen de subsistance pour plusieurs dizaines de millier des personnes habitant dans cette région et appartenant à la minorité ethnique Afar.
Soudan Tribune ne peut pas vérifier de manière indépendante ces allégations. Depuis les premiers signalements de déchets en 2010, le gouvernement d’Asmara n’a jamais réagi à l’égard de ce type d’allégations.
Le groupe a déclaré que les effets néfastes des déchets toxiques ont commencé à affecter plusieurs milliers de personnes, les animaux et les ressources naturelles et que cette pollution continuera d’avoir des conséquences dangereuses pour les générations futures.
« Cette acte inhumain a commencé à inquiéter gravement les mères de famille dont les enfants vivent dans les zones où ces déchets toxiques sont entreposé», a déclaré Haron.
Il a ajouté qu’en raison des effets nocifs de ces déchets, le nombre de mères de familles atteintes d’un cancer du sein a considérablement augmenté et que des symptômes inquiétants ont été observés chez les nouveau-nés dans cette région.
« RSADO a envoyé quelques-uns de ses membres dans cette zone. Ceux-ci ont confirmé que dans cette zone, ils ont constaté un grand nombre de cas de tumeurs cancéreuses chez les pêcheurs. Les personnes malades ont d’importantes inflammations qui empêchent les mouvements de leur jambes », a-t-il précisé.
Si les allégations selon lesquelles Iran a déversé de déchets toxiques en Érythrée s’avèrent véridiques, cela constitue une violation de la Convention de Bâle (entrée en vigueur en 1992) sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et de leur élimination.
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