Ce blocus inhumain est un crime que l’ONU et les Etats-Unis doivent faire cesser
Le Comité de répression des habitants du camp Liberty, dirigé par Fallah Fayadh au sein du gouvernement irakien, a récemment intensifié le blocus et les pressions inhumaines contre les habitants du camp Liberty en Irak.
Le lundi 10 août, pour la quatrième journée consécutive, les forces irakiennes ont empêché l’entrée de produits de première nécessité et de matériel pour l’entretien du camp.
Les 4, 6 et 9 août, les autorités avaient déjà bloqué l’entrée de ces produits, et malgré les multiples appels aux représentants des Nations-Unies (MANUI), les interdictions n’ont pas été levées.
Au nombre de ces produits acheté par des habitants ont trouve des mouchoirs en papier, des cahiers de note, des stylos, du papier à écrire, des tissus et des vêtements pour femmes, des nappes en plastique, des bonbonnes d’insecticides, des pièces détachées pour bicyclette, des pièces détachées pour véhicules de service, des batteries pour groupe électrogène, des pièces de rechange pour climatiseurs et réfrigérateurs, des pompes à eau, des pièces électriques comme des câbles et des prises etc.
L’interdiction d’entrée de ces articles nécessaires aux habitants n’est qu’un volet du blocus inhumain imposé depuis quatre ans par Fallah Fayadh, un agent affilié au régime iranien. Elle constitue une violation flagrante des normes humanitaires et des conventions internationales et relève de poursuites en justice.
La Résistance iranienne appelle l’ONU et le gouvernement américain, qui se sont engagés maintes fois par écrit à assurer la sécurité et le bien-être des habitants du camp Liberty, à intervenir immédiatement pour mettre fin à ce blocus criminel.
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