
En effet, Alireza Golipour souffre d’une tumeur cancéreuse, d’une infection pulmonaire aiguë, de problèmes cardiaques et d’une hémorragie nasale. Comme il se doit pour cette dictature religieuse, il est privé de soins médicaux, ne forme de torture bien connu pratiquée en Iran. De nombreux prisonniers politiques ont été laissés à l'agonie dnas des souffrances indescriptibles.
Etudiant en télécommunications et employé au ministère des Communications, il avait été arrêté une première fois lors du soulèvement de 2009, et à nouveau en octobre 2012.
Il est accusé d'outrage au Guide suprême des mollahs - outrage national tant les Iraniens haïssent ce régime - de soutien à l'opposition démocratique l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) et bien entendu l'accusation passe-partout d’espionnage.
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