
Deux autres jeunes ont reçu une interdiction de quatre mois d'études.
Un des étudiants qui a requis l'anonymat a déclaré dans une interview au site "Asr-e-Taadol" qu'il avait été privé de huit mois d'études pour "cinq minutes de joie", qu'il considérait cela comme une injustice et qu'il allait faire appel, d'autant plus qu'ils étaient uniquement entre garçons.
Si la fête avait été mixte, ils auraient certainement écopé de peines de fouet comme cela s'est passé récemment.
Le député de la ville de Zahedan, où est située l'université, a estimé que la fête de ces jeunes était "honteuse et injustifiable"...La joie est un délit dans l'Iran des mollahs.
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