Une avocate de plusieurs prisonniers politiques en Iran a été forcée
d'abandonner ses dossiers lorsque des organes de sécurité lui ont créé
des problèmes et des semé des embûches.
Guiti Pourfazel a dit avoir été "convoquée et forcée de s'engager par
écrit de ne pas donner d'interviews à propos de ses clients”. C'est
l'une des presions qui l'ont poussée à renoncer à certains dossiers.
“ Au ministère du renseignement, ils m'ont demandé d'écrire que je ne donnerai aucune interview, que je ne parlerai pas et que je la fermerai ! J'ai écrit que ce genre d'engagement est illégal parce que nulle part dans la loi il n'est écrit qu'il est interdit de donner des interviews à des médias étrangers.”
Guiti Pourfazel a suivi ses études à la faculté de droit de Téhéran. Elle a obtenu son autorisation de pratiquer le 20 avril 1977. Elle est ensuite allée en France pour y poursuivre ses études. Elle est retournée en Iran un an après la révolution qui a renversé le chah. Le régime des mollahs lui a retiré sa licence d'avocate en 1983, ainsi qu'à beaucoup d'autres. Elle a été réhabilitée 14 années plus tard en 1997.
“ Au ministère du renseignement, ils m'ont demandé d'écrire que je ne donnerai aucune interview, que je ne parlerai pas et que je la fermerai ! J'ai écrit que ce genre d'engagement est illégal parce que nulle part dans la loi il n'est écrit qu'il est interdit de donner des interviews à des médias étrangers.”
Guiti Pourfazel a suivi ses études à la faculté de droit de Téhéran. Elle a obtenu son autorisation de pratiquer le 20 avril 1977. Elle est ensuite allée en France pour y poursuivre ses études. Elle est retournée en Iran un an après la révolution qui a renversé le chah. Le régime des mollahs lui a retiré sa licence d'avocate en 1983, ainsi qu'à beaucoup d'autres. Elle a été réhabilitée 14 années plus tard en 1997.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire