Ils ont fini novembre avec 51 exécutions (voir la liste complète de 2016) et entament décembre par 3 pendaisons. Les mollahs en Iran se maintiennent au pouvoir à coup de potence. Plus ils se fragilisent et plus ils pendent. Comment envisager des contrats économiques avec une telle instabilité politique, sans parler du manque total d'éthique ?
Ainsi donc le 4 décembre, un jeune de 29 ans a été exécuté à Machad, le 6 décembre un condamné a été pendu à la prison de Diesel-Abad de Kermanchah eet le 7 décembre un prisonnier a été exécuté à Salmas.
Il est tout à fait possible de faire cesser les exécutions en Iran. Ce régime en crise économique aiguë a besoin de l'Europe pour rester la tête hors de l'eau. C'est en imposant des sanctions économiques et des clauses de respect des droits humains au bas de chaque contrat que l'on peut faire reculer les bourreaux. La population iranienne qui paye au prix fort - en vies humaines- les relations économiques des mollahs avec les démocraties aveugles, accueille avec joie tout ce qui peut faire reculer les mollahs et leur cruauté.
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