La Commission Centrale de grâce à Téhéran a rejeté la demande de Mohammad Amin Agushi, prisonnier de sécurité de la prison de Tabriz. Alors même que la Commission de grâce de l'Ouest de l'Azerbaïdjan avait approuvé cette demande. Ce prisonnier de sécurité purge une peine de prison depuis 2008.
Une source proche de M. Agushi a déclaré : « Lors d'un appel que M. Agushi a eu avec la Commission Centrale de grâce à Téhéran, on lui a dit que sa demande avait été rejetée. Il a ensuite parlé avec les autorités pénitentiaires de cette injustice et on lui a dit que les agents du service des renseignements ont ajouté un rapport à son affaire en déclarant que l'emprisonnement ne l'avait pas changé ».
Cette source bien informée a poursuivi : « Le tribunal militaire l'a convoqué peu de temps après en ce qui concerne ses lettres et l'a averti. Apparemment, après cela, on a demandé à ce que l'affaire soit envoyée à Tabriz. M. Agushi a demandé à rencontrer le procureur militaire afin de pouvoir discuter de sa maladie et des un an et demi laissés à sa peine ».
Mohammad Amin Agushi a été détenu dans la section de quarantaine de la prison de Tabriz pendant 4 mois dans un état incertain. M. Agushi souffre d'une maladie rénale, de maux de dos et d'essoufflement. Le manque de coordination entre les autorités a laissé son affaire « à moitié ouverte » et, par conséquent, il a été gardé dans un lieu désigné comme temporaire, pendant 4 mois.
Mohammad Amin Agushi a été arrêté le 23 septembre 2007 pour escroquerie et coopération avec le Kurdistan irakien. Après 7 mois et 20 jours d'interrogatoires dans la prison centrale d'Oroumieh et détenu en cellule d’isolement, à Ramazan, dans la base des services de renseignements, il a été libéré sous caution (44000 euros environ) après 8 mois par la branche 2 du tribunal militaire d'Oroumieh.
Il a été déclaré coupable pour toutes les accusations par le juge Hafez Ghafarri et le juge Samimi au sein de la branche 2 du tribunal militaire d'Oroumieh et transféré à la prison centrale d’Oroumieh. Après 4 mois et après 5 auditions, il a été condamné à mort par un peloton d’exécution, par le juge Hafiz Ghafari.
Après avoir fait appel, son affaire a été envoyée à la Cour suprême et traitée au sein de la branche numéro 31, par le juge Mohammad Salimi, et la condamnation à mort a été confirmée sur la base de l'article 109 de la Constitution.
En 2010, la demande d’un nouveau procès a été approuvée et l'affaire a été reprise et a été traitée par la branche 31, mais cette fois la peine a été réduite à 10 ans de prison en exil.
Il a été transféré dans la prison de Zahedan en juillet 2012, et après un an et suite à l’approbation du procureur du tribunal militaire, il a été autorisé à partir en permission.
Iraj Mohammadi et Mohammad Amin Agushi ont été transférés dans la prison de Tabriz en mars dernier.
Une source proche de M. Agushi a déclaré : « Lors d'un appel que M. Agushi a eu avec la Commission Centrale de grâce à Téhéran, on lui a dit que sa demande avait été rejetée. Il a ensuite parlé avec les autorités pénitentiaires de cette injustice et on lui a dit que les agents du service des renseignements ont ajouté un rapport à son affaire en déclarant que l'emprisonnement ne l'avait pas changé ».
Cette source bien informée a poursuivi : « Le tribunal militaire l'a convoqué peu de temps après en ce qui concerne ses lettres et l'a averti. Apparemment, après cela, on a demandé à ce que l'affaire soit envoyée à Tabriz. M. Agushi a demandé à rencontrer le procureur militaire afin de pouvoir discuter de sa maladie et des un an et demi laissés à sa peine ».
Mohammad Amin Agushi a été détenu dans la section de quarantaine de la prison de Tabriz pendant 4 mois dans un état incertain. M. Agushi souffre d'une maladie rénale, de maux de dos et d'essoufflement. Le manque de coordination entre les autorités a laissé son affaire « à moitié ouverte » et, par conséquent, il a été gardé dans un lieu désigné comme temporaire, pendant 4 mois.
Mohammad Amin Agushi a été arrêté le 23 septembre 2007 pour escroquerie et coopération avec le Kurdistan irakien. Après 7 mois et 20 jours d'interrogatoires dans la prison centrale d'Oroumieh et détenu en cellule d’isolement, à Ramazan, dans la base des services de renseignements, il a été libéré sous caution (44000 euros environ) après 8 mois par la branche 2 du tribunal militaire d'Oroumieh.
Il a été déclaré coupable pour toutes les accusations par le juge Hafez Ghafarri et le juge Samimi au sein de la branche 2 du tribunal militaire d'Oroumieh et transféré à la prison centrale d’Oroumieh. Après 4 mois et après 5 auditions, il a été condamné à mort par un peloton d’exécution, par le juge Hafiz Ghafari.
Après avoir fait appel, son affaire a été envoyée à la Cour suprême et traitée au sein de la branche numéro 31, par le juge Mohammad Salimi, et la condamnation à mort a été confirmée sur la base de l'article 109 de la Constitution.
En 2010, la demande d’un nouveau procès a été approuvée et l'affaire a été reprise et a été traitée par la branche 31, mais cette fois la peine a été réduite à 10 ans de prison en exil.
Il a été transféré dans la prison de Zahedan en juillet 2012, et après un an et suite à l’approbation du procureur du tribunal militaire, il a été autorisé à partir en permission.
Iraj Mohammadi et Mohammad Amin Agushi ont été transférés dans la prison de Tabriz en mars dernier.
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