Exécution du prisonnier politique et compatriote arabe Hani Alboushabazi, 31 exécutions en neuf jours

 Le 28 novembre, les bourreaux de Khamenei ont exécuté à la prison Sepidar d’Ahwaz le prisonnier politique Hani Alboushabazi, un jeune insurgé de la minorité arabe d’Iran et brave enfant de la ville de Shadegan (Falahiyeh). Il était accusé de « guerre contre Dieu ». Hani Alboushabazi, 32 ans, avait été arrêté le 3 décembre 2018, lors d’affrontements avec les forces répressives à Falahiyeh. Après avoir enduré des tortures brutales, il a été condamné à mort à Abadan pour le meurtre de Yasser Sepidro, un agent de la police répressive, et Mohammad Ali Kazemi, un milicien du Bassidj.

L’Iranienne Narges Mohammadi figure sur la liste des femmes les plus influentes du Financial Time

 – Narges Mohammadi, défenseuse iranienne des droits de l’homme et lauréate du prix Nobel de la paix, figure sur la liste des 25 femmes les plus influentes du monde établie par le Financial Time en 2023.

La star américaine de la musique Beyoncé, la première dame ukrainienne Olena Zelenska et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont également été sélectionnées pour leur « pouvoir de persuasion, de plaidoyer en faveur du changement et d’imagination de meilleures façons de faire les choses ».

Le rappeur iranien Toomaj Salehi de nouveau arrêté

 – Un manifestant tient une pancarte portant le portrait du rappeur iranien Toomaj Salehi, qui a été arrêté après des manifestations en Iran, lors d’un rassemblement à Istanbul, en Turquie, le 26 novembre 2022. Salehi, qui avait été libéré sous caution, a été de nouveau arrêté, ont rapporté les médias iraniens le 30 novembre 2023. (Reuters)

Le rappeur iranien Toomaj Salehi, qui avait été détenu pour avoir manifesté son soutien aux manifestations antigouvernementales et avait été libéré sous caution au début du mois, a été de nouveau arrêté, ont rapporté jeudi les médias officiels iraniens.

Le père du manifestant iranien exécuté, M. Karami, détenu depuis plus de 100 jours

 – Le père du manifestant iranien exécuté en janvier, Mohammad Mehdi Karami, est détenu arbitrairement à la prison centrale de Karaj depuis plus de 100 jours, sans qu’aucune charge n’ait été retenue contre lui.

Le 21 août, des agents du ministère du renseignement ont arrêté le père du manifestant iranien exécuté Mashallah Karami à son domicile de Karaj, près de Téhéran.

Les autorités iraniennes détruisent les maisons des Baloutches à Zahedan

– Les autorités iraniennes ont détruit les maisons des Baloutches dans la ville de Zahedan, dans le sud-est du pays, selon un groupe qui surveille les violations des droits au Sistan-Baloutchistan.

Haalvsh a rapporté que la police et les forces municipales ont fait une descente dans les maisons du quartier de Shirabad le matin du 30 novembre, ont coupé l’électricité dans la zone et ont expulsé les familles Baloutches avant que les maisons ne soient démolies à l’aide de chargeurs.

Un responsable sportif iranien licencié, suite à la participation de femmes sans hijab à une compétition

– Le chef de la fédération iranienne des sports pour sourds a été démis de ses fonctions cette semaine après l’apparition d’images montrant une athlète étrangère sans le hijab obligatoire lors d’un tournoi à Téhéran.

Mehran Tishehgaran a été démis de ses fonctions « en raison des événements qui se sont produits lors des championnats asiatiques d’athlétisme pour sourds », a déclaré l’agence de presse semi-officielle ISNA le 27 novembre en fin de journée.

Commentaire de Liz Throssell, porte-parole du Bureau des droits humains de l’ONU, sur les exécutions d’un enfant et d’un jeune homme en Iran

 United Nations Human Rights – OHCHR – Nous déplorons les exécutions par les autorités iraniennes d’un enfant de 17 ans et d’un homme de 22 ans, le 24 novembre 2023.

L’exécution de Hamidreza Azari, qui a été accusé de meurtre, est la première exécution signalée d’un présumé enfant délinquant en Iran cette année. Nous rappelons aux autorités iraniennes leur obligation, en vertu du Pacte international relatif aux droits civils et politiques et de la Convention relative aux droits de l’enfant, d’interdire les peines de mort et leur application pour les crimes commis par des personnes de moins de 18 ans.

Un autre délinquant mineur exécuté en Iran

– Dans le cadre d’une vague d’exécutions en Iran, la République islamique a exécuté un jeune homme qui était mineur au moment où il a commis l’infraction qui lui est reprochée. L’exécution a eu lieu deux jours après la pendaison d’un jeune homme de 17 ans, qui a suscité des critiques internationales.

Iran : Au moins deux hommes risquent d’être exécutés à la prison de Ghezelhesar

– Hamid Bakhshayesh et Massoud Seiri, qui sont dans le couloir de la mort pour meurtre, ont été transférés en isolement en vue de préparer leur exécution dans la prison de Ghezelhesar.

Selon les informations obtenues par Iran Human Rights, au moins deux hommes ont été transférés en isolement le 26 novembre en vue de leur exécution à la prison de Ghezelhesar à Karaj. Leur identité a été établie comme étant celle de Hamid Bakhshayesh et Massoud Seiri qui ont été condamnés au qisas (châtiment en nature) pour meurtre.

L’application du hijab à Téhéran : « J’ai besoin de ce travail pour nourrir mes enfants »

– Zeinab, mère célibataire de trois enfants, fait partie des femmes de Téhéran qui consacrent huit heures par jour à la sauvegarde de la « chasteté de la société ».

Ismail, un habitant du nord de Téhéran, passe ses soirées à patrouiller dans les rues du nord de Téhéran pour relever les numéros de plaque d’immatriculation des véhicules dans lesquels les femmes ne portent pas le hijab obligatoire.

Le rapporteur spécial de l’ONU critique l’inaction mondiale face aux massacres de prisonniers politiques en Iran

 Une session parlementaire s’est tenue à Londres le 14 novembre pour débattre des responsabilités dans le massacre de prisonniers politiques en Iran en 1988. De hauts représentants de la Chambre des communes et de la Chambre des Lords ont participé et prononcé des allocutions.

Iran – Exécution de 6 prisonniers mardi et 24 exécutions en une semaine, dont deux mineurs

 Les bourreaux de Khamenei ont pendu six prisonniers ce mardi 28 novembre, dont Eqbal Fathollahi, Mohsen Amra’i et Hamid Bakhchayech, à la prison de Ghezelhessar, ainsi que Shahram Mohammad Beigui, coureur classé troisième au championnat d’Asie de cross-country, et deux autres prisonniers à Ilam.

Le dimanche 26 novembre, 5 prisonniers ont été pendus, dont deux frères nommés Farshid et Farshad Pirhayati, ainsi qu’un autre prisonnier nommé Asghar Souri à la prison de Nahavand, Reza Rostakhiz à la prison centrale de Chiraz et un jeune baloutche nommé Adel Damani qui avait moins de 18 ans au moment de son arrestation, à la prison de Chabahar.

Exécution clandestine du prisonnier politique Ali Saber, sympathisant de l’OMPI à Racht

 Selon les nouvelles reçues de familles de détenus à la prison de Lakan à Racht, Ali Sabermotlaq, 62 ans, y a été exécuté de manière clandestine le 25 novembre. Partisan de longue date de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) et prisonnier politique des années 1980, il avait été de nouveau arrêté en 2020.

Iran : Violente répression d’une manifestation organisée à l’occasion d’un anniversaire

 Human Rights Watch (Beyrouth) – Les forces de sécurité iraniennes ont fait un usage excessif de la force contre les manifestants qui commémoraient l’anniversaire de la violente répression gouvernementale du  » vendredi sanglant  » contre les grandes manifestations antigouvernementales en 2022, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

Le mariage des petites filles, une fin dévastatrice de l’enfance

 Le mariage des petites filles, ou mariage des enfants, est l’une des pires formes de violence à l’encontre des jeunes filles, institutionnalisée dans les lois et la constitution du régime clérical en Iran. Il est devenu monnaie courante en raison de l’extension de la pauvreté sous le régime des mollahs.

Au cours des 16 jours d’activisme pour éliminer la violence contre les femmes et les filles, nous discuterons des différentes formes de violence contre les femmes et les filles en Iran. La violence à l’égard des femmes existe partout. La différence en Iran est que cette violence est sanctionnée par l’État et institutionnalisée dans les lois et la constitution du régime.

L’envolée des coûts de l’éducation provoque des abandons scolaires massifs en Iran

  – La combinaison de la pauvreté et de la flambée des coûts de l’éducation a conduit certains parents en Iran à prendre la décision difficile de retirer leurs enfants de l’école. Au lieu de poursuivre leurs études, ces enfants sont souvent contraints de travailler pour contribuer au revenu familial ou de se lancer dans l’apprentissage d’un métier.

Escalade de la répression sur les femmes iraniennes en 2023

– L’escalade de l’oppression : Les luttes actuelles des femmes iraniennes

Ces dernières années, le sort des femmes iraniennes s’est intensifié, marqué par des pressions et des mesures de répression accrues de la part des autorités au pouvoir. Au cours des huit derniers mois, cette escalade a atteint un point critique, affectant profondément la vie des femmes.

Iran : Le jeune délinquant Hamidreza Azari exécuté à la prison de Sabzevar

 – Selon des informations récemment obtenues, Hamidreza Azari avait 16 ans au moment du meurtre présumé pour lequel il a été exécuté à la prison de Sabzevar, en Iran.

Selon des documents récemment obtenus et dont Iran Human Rights a été témoin, Hamidreza Azari, qui a été exécuté à la prison de Sabzevar le 24 novembre, était un délinquant juvénile et avait 17 ans au moment de son exécution. Il est né le 1er août 2006 et aurait commis le meurtre le 28 avril 2023, alors qu’il était âgé de 16 ans et 8 mois.

Iran : 1,5 million d’enfants sur le point d’abandonner l’école, 14 millions sans alimentation adéquate

 Selon Hadi Mousavi Nik, expert au Centre de recherche du Majlis (parlementaire), en Iran, un million et demi d'enfants sont sur le point d'abandonner l'école et 14 millions d'enfants vivent dans des ménages qui n'ont pas les moyens de s'alimenter convenablement.

S'appuyant sur une vidéo publiée dans les médias et les réseaux sociaux, Hadi Mousavi Nik a déclaré que selon les statistiques du ministère de l'Éducation, il y aurait environ 450 000 abandons scolaires et qu'environ un million et demi d'enfants risquent d'abandonner l'école. 

Groupe de défense des droits humains : L’Iran a secrètement exécuté un homme dans une affaire liée aux manifestations de 2022

 – L’Iran a secrètement exécuté un homme jeudi après l’avoir condamné pour le meurtre d’un membre des forces de sécurité lors des manifestations de masse qui ont balayé le pays l’année dernière, ont déclaré des groupes de défense des droits.

Il s’agit de la huitième exécution réalisée par l’Iran dans une affaire liée aux manifestations qui ont éclaté en septembre 2022 à la suite de la mort en détention de Mahsa Amini, une jeune Kurde iranienne qui avait été arrêtée pour avoir prétendument violé les règles vestimentaires strictes de l’Iran pour les femmes.

Un journal officiel iranien annonce la mort du lac Ourmia

 Le lac Ourmia, qui s’étendait autrefois sur 878 kilomètres carrés, est aujourd’hui au bord de l’effondrement écologique, ne conservant plus que 4 % de son volume d’eau antérieur, comme l’a rapporté le quotidien officiel Etemad le 23 novembre. Des images satellites récentes comparant la surface du lac au cours de l’année écoulée révèlent une réduction alarmante de 80 %, le lac n’ayant plus qu’une superficie de 170 kilomètres carrés. Cette transformation drastique est le signe d’un état désastreux, qui fait du lac Ourmia le sixième plus grand lac d’eau salée du monde, au bord de l’extinction, et le plus grand lac intérieur d’Iran.

Une conférence parlementaire en Australie rend hommage au soulèvement iranien de novembre 2019 et soutient un Iran libre

 Jeudi 16 novembre, une conférence s’est tenue au Parlement australien à Canberra pour marquer le quatrième anniversaire du soulèvement iranien de novembre 2019. L’événement a été organisé par les défenseurs australiens de la démocratie en Iran et a réuni plusieurs représentants du Parlement australien pour commémorer ceux qui sont tombés lors du soulèvement national et condamner les graves violations des droits de l’homme et les interventions perturbatrices de la dictature des mollahs dans la région.

Une session du Parlement britannique condamne le massacre perpétré par l’Iran en 1988 et demande que justice soit faite

 Au cours d’une session parlementaire à laquelle ont participé de hauts représentants de la Chambre des communes et de la Chambre des lords, les législateurs ont exigé que les dirigeants du régime iranien rendent des comptes et qu’ils soient traduits en justice pour les crimes contre l’humanité qu’ils ont perpétrés. Le professeur Javaid Rehman, Rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des Droits de l’Homme en Iran, et d’éminentes personnalités juridiques telles que Jeffrey Robertson, ancien juge des Nations unies, figuraient parmi les participants à cette session cruciale.

Exécution d’un prisonnier du soulèvement, Milad Zohrehvand, 21 ans

 Exécution d’un prisonnier du soulèvement, Milad Zohrehvand, 21 ans, à Hamedan

Exécution de 9 prisonniers les 22 et 23 novembre

Les bourreaux de Khamenei ont exécuté en secret le prisonnier du soulèvement Milad Zohrehvand, 21 ans, le brave enfant de la ville de Malayer, sans en informer sa famille, à la prison centrale de Hamedan le jeudi 23 novembre.

Exécution d’un adolescent non identifié à Sabzevar

 – Selon l’agence de presse judiciaire Mizan, un jeune homme a été exécuté à Sabzevar le 24 novembre. Le lieu exact de l’exécution n’a pas été précisé. Il avait été condamné à une peine de qisas (la loi du talion) pour meurtre.

Il était accusé d’avoir tué un autre homme au cours d’une altercation dans la rue. Ses aveux forcés ont été diffusés avec son coaccusé adolescent de 16 ans, qui a été condamné à une peine de prison. Selon les médias officiels, l’accusé anonyme a été condamné à une exécution publique. On ne sait pas s’il a été pendu publiquement ou dans la prison de Sabzevar.

Les femmes et les filles en Iran luttent contre la violence institutionnalisée et sanctionnée par l’État

 À l’approche de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles et de la campagne “16 jours d’action“, il est impératif de mettre en lumière les violences incessantes perpétrées par l’État à l’encontre des femmes et des filles en Iran. La commission des femmes du CNRI se penche sur une série de questions qui touchent les femmes iraniennes, sous la férule d’un régime oppressif.

Des décennies de pouvoir sous un régime enraciné dans la misogynie ont vu les femmes devenir les cibles principales de l’oppression de l’État. Issu d’une révolution visant à obtenir des libertés démocratiques, le régime clérical a réagi en s’attaquant immédiatement aux femmes, dont il a fait la pierre angulaire de sa politique d’oppression. Cette approche s’est matérialisée par l’imposition du hijab obligatoire en tant qu’obligation religieuse.

L’agenda de Khamenei : Exécution en Iran, massacre à Gaza

 Au milieu des scènes tragiques de violence et d’effusion de sang qui se déroulent à Gaza, un effort parallèle et systématique a lieu en Iran, où la dictature théocratique orchestre une série d’exécutions à grande échelle. Ces meurtres sanctionnés par l’État ne mettent pas seulement en évidence la barbarie du régime, mais aussi sa volonté de profiter de toutes les occasions pour se maintenir au pouvoir.

4ème exécution collective à la prison de Ghezelhesar

– Les médias officiels ont rapporté l’exécution de deux hommes pour meurtre à la prison de Ghezelhesar. IHRNGO avait précédemment rapporté l’exécution de deux autres hommes ce jour-là, portant le nombre total à quatre. Des rapports non vérifiés font état de l’exécution de trois autres hommes à la prison ce jour-là.

4e exécution de groupe prévue à la prison de Ghezelhesar en novembre

 – Au moins cinq condamnés à mort ont été transférés des unités 2 et 3 en cellule d’solement en préparation de leur exécution à la prison de Ghezelhesar à Karaj.

Les hommes non identifiés sont pour la plupart dans le couloir de la mort pour des accusations de meurtre et de trafic de drogue. Leur exécution est prévue pour demain, 20 novembre.

Mohammad Mehdi Vossoughian, 21 ans, est jugé sur la base de fausses accusations

– Mohammad Mehdi Vossoughian, un étudiant de 21 ans, est victime de fausses accusations de « propagande contre le système, communication avec des pays hostiles, et appartenance à des groupes d’opposition ».

Selon l’Iran Human Rights Monitor (Iran HRM), la session de procès pour examiner les charges contre Mohammad Mehdi Vossoughian s’est tenue aujourd’hui, mercredi 22 novembre 2023, au tribunal révolutionnaire du comté de Golpayegan, dans la province d’Isfahan.

Les contrôleurs du hijab intensifient le harcèlement contre les femmes dans le métro de Téhéran

 – Ces derniers jours, des photos représentant le métro de Téhéran ont fait surface sur les médias sociaux, révélant un nouveau cadre d’individus associés au Comité autoproclamé pour la promotion de la vertu et la prévention du vice luttant contre le non port du Hijab.

De nouveaux détails apparaissent sur le simulacre d’exécution en prison d’un rappeur iranien

– Un codétenu du rappeur iranien Saman Yassin a donné des détails poignants sur le simulacre d’exécution par pendaison auquel l’artiste a été soumis à la prison d’Evine, à Téhéran.

Avant son arrestation il y a 14 mois, le rappeur iranien Saman Yassin critiquait ouvertement la République islamique et soutenait les manifestations antigouvernementales qui ont déferlé sur le pays l’année dernière. En septembre, il a été transféré de la prison d’Evine à celle de Ghezal Hesar à Karaj, près de la capitale.

La lauréate iranienne du prix Nobel Mohammadi de nouveau à l’hôpital, sans hijab

– La militante iranienne des droits de l’homme et lauréate du prix Nobel Narges Mohammadi, incarcérée à la prison d’Evin à Téhéran, a été emmenée pour la troisième fois en deux semaines dans un hôpital sans le voile obligatoire.

Selon un message publié sur le compte Instagram de Narges Mohammadi, géré par sa famille, la lauréate du prix Nobel de la paix 2023 « portait un manteau et une jupe » lors de sa visite à l’hôpital le 21 novembre.