Dans la matinée de ce 15 février, la population de Dezfoul (sud-ouest de l’Iran) est descendue dans la rue pour son troisième jour de manifestation dans divers points de la ville et s’est heurtée aux forces répressives et aux commandos qui ont chargé les manifestants.
Au cours de ces affrontements, en particulier à Kou-ye-Modaresse et Ali-Abad, des manifestants ont été blessés et une station service, un dépôt de gaz et une banque ont été incendiés. A Kou-ye-Modaresse en face du gouvernorat, des heurts violents ont éclaté entre les forces du régime et les manifestants en colère. Des coups de feu ont retenti partout. Les agents ont tiré des gaz lacrymogènes sur la foule.
Au cours de ces affrontements, en particulier à Kou-ye-Modaresse et Ali-Abad, des manifestants ont été blessés et une station service, un dépôt de gaz et une banque ont été incendiés. A Kou-ye-Modaresse en face du gouvernorat, des heurts violents ont éclaté entre les forces du régime et les manifestants en colère. Des coups de feu ont retenti partout. Les agents ont tiré des gaz lacrymogènes sur la foule.
Les informations publiées disent que dans certains quartiers des affrontements armés ont éclaté.
La veille, 14 février, la population de Dezfoul s’était également heurtée aux agents lors de ses manifestations. Les slogans de « A bas Khamenei » et « A bas Rohani » avaient fusé. Lors de ces altercations aux moins 30 jeunes protestataires ont été arrêtés. Redoutant le développement des protestations, les forces répressives ont bloqué les entrées et les sorties de nombreux quartiers, notamment ceux de Mohajerine et de Siah-Mansour.
Le 14 février, les Dezfoulis ont barré la route allant à la ville de Chouchtar pendant quelques heures, gardant le contrôle de cet axe de communication jusqu’après la tombée de la nuit. Dans la soirée du 14 février, les forces répressives ont arrêté plus de 70 manifestants ce qui a intensifié la colère de la population et tendu encore plus le climat de la ville.
La veille, 14 février, la population de Dezfoul s’était également heurtée aux agents lors de ses manifestations. Les slogans de « A bas Khamenei » et « A bas Rohani » avaient fusé. Lors de ces altercations aux moins 30 jeunes protestataires ont été arrêtés. Redoutant le développement des protestations, les forces répressives ont bloqué les entrées et les sorties de nombreux quartiers, notamment ceux de Mohajerine et de Siah-Mansour.
Le 14 février, les Dezfoulis ont barré la route allant à la ville de Chouchtar pendant quelques heures, gardant le contrôle de cet axe de communication jusqu’après la tombée de la nuit. Dans la soirée du 14 février, les forces répressives ont arrêté plus de 70 manifestants ce qui a intensifié la colère de la population et tendu encore plus le climat de la ville.
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