Le régime des mollahs a ouvert le mois de juin par une double exécution en Iran. Le 1er juin, une femme et un homme ont été pendus à la prison centrale de Qazvine au nord-ouest de Téhéran.
Il s'agit de la 69ème femme exécutée sous le gouvernement de Rohani. Au mois de mai, les Iraniens ont eu à déplorer 72 exécutions dont sept en public. Entre les peines de fouet, les pendaisons publiques et les arrestations tous azimuts, le régime des mollahs ne connait plus de limite actuellement.
Si cette vague de répression dénote une forte instabilité du pouvoir intégriste, elle se déroule dans le silence coupable des démocraties qui préfèrent parler "tourisme" et "ouverture commerciale" vis-à-vis de l'Iran. Comme si après avoir péri sur la potence, les victimes devaient aussi être sacrifiées sur l'autel des intérêts économiques mesquins.
Intérêts sur lesquels on est en droit de s'interroger quand les banques refusent toujours de s'aventurer dans cette dictature qui parrainne le terrorisme et l'intégrisme dnas le monde.
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