Un prisonnier est décédé dans la prison de Sanandaj à cause du manque de traitement médical le lundi 19 juin. Cependant, le médecin légal avait confirmé plus tôt qu’il était inapte à l’emprisonnement.
Selon les rapports, le prisonnier politique Fardin Faramarzi s’était rendu par deux fois au centre médical à la suite de douleurs sévère au niveau du cœur et on l’avait renvoyé dans sa cellule sans qu’il soit examiné.
Lundi matin, les prisonniers ont emmené Fardin Faramarzi à la clinique, car il était inconscient. Il est décédé à la clinique à cause du manque de traitement appropiés.
Selon les sources, le médecin de la prison avait déclaré qu’il ne devait pas être maintenu dans la prison, mais le juge s’est opposé à son diagnostic.
La FIDH avait exprimé dans le passé ses "vives inquiétudes sur l'interdiction de soins pour les prisonniers de conscience malades en Iran". Selon un rapport de l'organisation, par cette pratique les autorités cherchent à "réprimer la voix de la contestation dans la société civile".
La Fédération internationale des Droits de l'Homme a cité la lettre d'une vingtaine de prisonniers de conscience détenus dans la prison d'Evine, qui estiment que ce sont les sinistres juges islamiques du " tribunal révolutionnaire" qui sont responsables des privations médicales pour les prisonniers politiques, utilisé comme moyen de torture et d'élimination.
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