Dans l’après-midi du 15 décembre, une balle tirée de l’extérieur du camp Liberty a traversé un baraquement de la section 3 du camp. La balle a traversé le mur pour atterrir sur le sol, endommageant une partie de l’habitacle. La balle a été retrouvée dans la pièce heureusement vide à ce moment.
Ce n’est pas la première fois que des balles tirées de l’extérieur de Liberty touche des baraquements. Les15 novembre 2013 et les 4 septembre et 27 novembre 2012, des événements similaires ont eu lieu.
Ce n’est pas la première fois que des balles tirées de l’extérieur de Liberty touche des baraquements. Les15 novembre 2013 et les 4 septembre et 27 novembre 2012, des événements similaires ont eu lieu.
Les habitants et leurs représentants ont à plusieurs reprises alerté les autorités américaines, irakiennes et onusiennes, dans des communiqués et des lettres, que compte tenu de la surface extrêmement réduite de Liberty et de la surpopulation et vu que tous les habitants vivent dans des baraquements, ils sont tous très vulnérables face à des tirs de balles ou des éclats d’obus et de roquettes. En refusant de réinstaller les murs de protection en T ou de donner l’autorisation de construire le moindre bâtiment pour l’ensemble des habitants, en particulier les malades, le gouvernement irakien accroit cette vulnérabilité.
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