rohani s’est abstenu d’autoriser une manifestation pour le 1er Mai par peur des protestations. Il a organisé à la place une cérémonie dans un stade de 12.000 places où il a prononcé un discours. Le programme et les bannières des travailleurs avaient été préparés à l’avance.
Personne n’a eu le droit d’apporter ses propres pancartes. Les téléphones mobiles étaient tout aussi interdits dans le stade pour empêcher les photos et les films des protestations.
Les animateurs de cette cérémonie n’ont cessé de donner des avertissements aux groupes de travailleurs qui voulaient clamer leurs revendications et d’empêcher la moindre protestation sous prétexte de maintenir l’ordre. Malgré tout, les travailleurs ont réussi à brandir leurs pancartes où ils dénonçaient l’interdiction de défiler le 1er mai, le non versement ou la réduction drastique des allocations logements et des retraites, les licenciements ainsi que les salaires et les avantages mirobolants des patrons.
Les discours de Rohani et ses promesses vides ont été accueillis avec colère par le public et plus de la moitié des travailleurs l’ont copieusement hué au milieu de son intervention avant de partir.
Rohani est parti dès son allocution terminée, pour éviter les revendications et les contestations, ce qui a déclenché les foudres du public.
Au même moment, un millier de personnes qui n’avaient pas été autorisées à faire entrer leur pancartes à l’intérieur, ont tenu un rassemblement de protestation à l’extérieur.
Les animateurs de cette cérémonie n’ont cessé de donner des avertissements aux groupes de travailleurs qui voulaient clamer leurs revendications et d’empêcher la moindre protestation sous prétexte de maintenir l’ordre. Malgré tout, les travailleurs ont réussi à brandir leurs pancartes où ils dénonçaient l’interdiction de défiler le 1er mai, le non versement ou la réduction drastique des allocations logements et des retraites, les licenciements ainsi que les salaires et les avantages mirobolants des patrons.
Les discours de Rohani et ses promesses vides ont été accueillis avec colère par le public et plus de la moitié des travailleurs l’ont copieusement hué au milieu de son intervention avant de partir.
Rohani est parti dès son allocution terminée, pour éviter les revendications et les contestations, ce qui a déclenché les foudres du public.
Au même moment, un millier de personnes qui n’avaient pas été autorisées à faire entrer leur pancartes à l’intérieur, ont tenu un rassemblement de protestation à l’extérieur.
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