Une agence de presse du régime iranien a publié un dessin sur les « effets négatifs de la télévision par satellite sur les familles » dans le cadre des efforts infructueux pour dissuader le public de regarder la chaine satellite de l’opposition en Iran.
Le ministre de la Culture des mollahs a déclaré en décembre 2013 que plus de 70 % des Téhéranais regardent les chaînes interdites.
Incapable de freiner la popularité du satellite, en particulier la chaine Sima-ye Azadi qui est une source fiable d’informations, le régime des mollahs prend des mesures sévères pour en limiter l'accès.
Un commandant adjoint des pasdaran a exprimé sa crainte en janvier, mettant en garde la milice du Bassidj contre «l'ennemi» qui tente d’influencer l’opinion publique en « créant une vague négative ». « Les ennemis ont pour but de renforcer la pression sur le gouvernement islamique (le régime) et d’affecter l'opinion publique en créant une vague négative dans le monde via les médias d’informations », maugréait-il.
« La force des sanctions et des pressions économiques imposées à l'Iran sous le prétexte de la question nucléaire entrent dans le même scénario », a-t-il dit.
Khoramdel a ajouté que les plus grands dégâts subis par le régime pendant le soulèvement de 2009 en Iran ont été causés par internet et les réseaux satellite de l'opposition.
Incapable de freiner la popularité du satellite, en particulier la chaine Sima-ye Azadi qui est une source fiable d’informations, le régime des mollahs prend des mesures sévères pour en limiter l'accès.
Un commandant adjoint des pasdaran a exprimé sa crainte en janvier, mettant en garde la milice du Bassidj contre «l'ennemi» qui tente d’influencer l’opinion publique en « créant une vague négative ». « Les ennemis ont pour but de renforcer la pression sur le gouvernement islamique (le régime) et d’affecter l'opinion publique en créant une vague négative dans le monde via les médias d’informations », maugréait-il.
« La force des sanctions et des pressions économiques imposées à l'Iran sous le prétexte de la question nucléaire entrent dans le même scénario », a-t-il dit.
Khoramdel a ajouté que les plus grands dégâts subis par le régime pendant le soulèvement de 2009 en Iran ont été causés par internet et les réseaux satellite de l'opposition.
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