En ce 1er mai, la présidente élue de la Résistance iranienne Maryam Radjavi a souhaité une bonne fête aux travailleurs en Iran. Elle a rendu hommage à leur lutte et à leur persévérance contre l’oppression, l’exploitation et les contraintes inhumaines et anti-ouvrières du régime du guide suprême.
Tout en saluant les ouvriers résistants et grévistes de la faim dans les prisons, elle a appelé l’ensemble des Iraniens et notamment la jeunesse à faire preuve de solidarité avec les travailleurs.
Evoquant les grèves et les protestations ouvrières successives, elle a e estimé que l’année iranienne qui vient de l’écouler (20 mars-2013-20 mars 2014) a été celle du développement de la contestation salariale, avant d’ajouter : Au nombre des droits violés des travailleurs iraniens figurent le droit de constituer des syndicats indépendants, le droit de mener une grève et de tenir un rassemblement protestataire, la sécurité de l’emploi, des augmentations réelles et adéquates de salaires, le versement à temps des traitements, l’abolition des contrats temporaires et de la signature des feuilles blanches en guise de contrats, la disparition des agences d’emploi au service des intérêts des patrons, la mise en place d’une assurance chômage et d’une assurance sur la vie, ne pas reculer l’âge de la retraite, la sécurité physique des salariés dans les travaux difficiles dans les mines, l’abolition les discriminations sexuelles dans l’emploi, les salaires et les avantages pour les femmes, l’interdiction du travail des enfants.
Pour Mme Radjavi, il est possible d’obtenir tous ces droits en fusionnant la lutte unie et suivie des travailleurs à la résistance de l’ensemble des Iraniens pour instaurer la liberté et la démocratie et renverser le régime en place.
La crise économique profonde et étendue actuelle, a-t-elle précisé, qui a pour premières victimes les travailleurs, est le résultat de 35 années de régime honni des mollahs qui ont dilapidé les richesses de l’Iran dans les gardiens de la révolution, la force terroriste Qods, la guerre en Syrie, l’ingérence en Irak et d’autres pillages débridés. Pratiquement tous les travailleurs en Iran sont sous le seuil de pauvreté, ils ne bénéficient pas de sécurité de l’emploi. Au moins 70% d’entre eux ne sont pas sûrs de toucher leur salaire mensuel. L’écart du salaire minimum avec le seuil de pauvreté est si important que le travailleur iranien est devenu l’un des moins chers du monde. Les travailleurs sont privés de leurs droits dans la plupart des domaines et leur exploitation ne connait pas de limite. Pour subvenir à leurs besoins élémentaires, beaucoup sont poussés à vendre leur rein. Les femmes sont les principales victimes des licenciements, des contraintes anti-ouvrières et des bas salaires. Au nombre des tragédies engendrées par ce régime de voleurs en Iran, on compte au moins trois millions d’enfants qui travaillent.
Evoquant les grèves et les protestations ouvrières successives, elle a e estimé que l’année iranienne qui vient de l’écouler (20 mars-2013-20 mars 2014) a été celle du développement de la contestation salariale, avant d’ajouter : Au nombre des droits violés des travailleurs iraniens figurent le droit de constituer des syndicats indépendants, le droit de mener une grève et de tenir un rassemblement protestataire, la sécurité de l’emploi, des augmentations réelles et adéquates de salaires, le versement à temps des traitements, l’abolition des contrats temporaires et de la signature des feuilles blanches en guise de contrats, la disparition des agences d’emploi au service des intérêts des patrons, la mise en place d’une assurance chômage et d’une assurance sur la vie, ne pas reculer l’âge de la retraite, la sécurité physique des salariés dans les travaux difficiles dans les mines, l’abolition les discriminations sexuelles dans l’emploi, les salaires et les avantages pour les femmes, l’interdiction du travail des enfants.
Pour Mme Radjavi, il est possible d’obtenir tous ces droits en fusionnant la lutte unie et suivie des travailleurs à la résistance de l’ensemble des Iraniens pour instaurer la liberté et la démocratie et renverser le régime en place.
La crise économique profonde et étendue actuelle, a-t-elle précisé, qui a pour premières victimes les travailleurs, est le résultat de 35 années de régime honni des mollahs qui ont dilapidé les richesses de l’Iran dans les gardiens de la révolution, la force terroriste Qods, la guerre en Syrie, l’ingérence en Irak et d’autres pillages débridés. Pratiquement tous les travailleurs en Iran sont sous le seuil de pauvreté, ils ne bénéficient pas de sécurité de l’emploi. Au moins 70% d’entre eux ne sont pas sûrs de toucher leur salaire mensuel. L’écart du salaire minimum avec le seuil de pauvreté est si important que le travailleur iranien est devenu l’un des moins chers du monde. Les travailleurs sont privés de leurs droits dans la plupart des domaines et leur exploitation ne connait pas de limite. Pour subvenir à leurs besoins élémentaires, beaucoup sont poussés à vendre leur rein. Les femmes sont les principales victimes des licenciements, des contraintes anti-ouvrières et des bas salaires. Au nombre des tragédies engendrées par ce régime de voleurs en Iran, on compte au moins trois millions d’enfants qui travaillent.
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