CNRI - Au moins 200 personnes ont été fouettées le mois dernier dans la province de Qazvine dans le nord ouest de l’Iran, pour avoir mangé en public durant le mois de Ramadan.
Un responsable de la province, Ismaël Sadeghi-Niaraki, n’a pas caché l’ampleur des châtiments barbares en vigueur sous la présidence soi-disant modérée d’Hassan Rohani.
« Des mesures exceptionnelles ont été prises par la justice de la province de Qazvine pour s’occuper de ceux qui mangeaient en public durant le mois de Ramadan », a-t-il expliqué.
« Au cours de cette période, 400 individus ont été arrêtés et certains ont reçu des avertissements. 200 autres ont vu leur cas examiné par le pouvoir judiciaire et ont été fouettés dans les 24 heures qui ont suivi leur arrestation. »
La province de Qazvine compte moins de 2 millions d’habitants sur une population de77 millions d’Iraniens.
Des centaines d'autres personnes auraient été fouettées en public en vertu des lois barbares de la dictature religieuse qui peut prononcer des peines allant de 74 coups de fouet à deux mois de prison pour rompre le jeûne en public pendant le Ramadan.
Des médias officiels ont signalé au moins neuf cas de flagellation en public dans les villes de Kermanchah (ouest), Chiraz (sud) et Babolsar (nord) en juillet.
Le 14 juillet, des agents avaient écrasé une cigarette allumée sur les lèvres d’un chrétien pour le punir de ne pas jeûner pendant ce mois sacré.
« Des mesures exceptionnelles ont été prises par la justice de la province de Qazvine pour s’occuper de ceux qui mangeaient en public durant le mois de Ramadan », a-t-il expliqué.
« Au cours de cette période, 400 individus ont été arrêtés et certains ont reçu des avertissements. 200 autres ont vu leur cas examiné par le pouvoir judiciaire et ont été fouettés dans les 24 heures qui ont suivi leur arrestation. »
La province de Qazvine compte moins de 2 millions d’habitants sur une population de77 millions d’Iraniens.
Des centaines d'autres personnes auraient été fouettées en public en vertu des lois barbares de la dictature religieuse qui peut prononcer des peines allant de 74 coups de fouet à deux mois de prison pour rompre le jeûne en public pendant le Ramadan.
Des médias officiels ont signalé au moins neuf cas de flagellation en public dans les villes de Kermanchah (ouest), Chiraz (sud) et Babolsar (nord) en juillet.
Le 14 juillet, des agents avaient écrasé une cigarette allumée sur les lèvres d’un chrétien pour le punir de ne pas jeûner pendant ce mois sacré.
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