CNRI – En ce 1er août 2014, les Iraniens à Genève entament leur 1187e jour de campagne pour la protection des réfugiés politiques iraniens du camp Liberty en Irak, doublé depuis un an par un appel à la libération de sept Achrafiens pris en otage par les forces irakiennes.
Les partisans de la Résistance iranienne à Genève sont rassemblés devant le siège des Nations Unies pour dénoncer le silence et l'inaction de la communauté internationale sur le sort des opposants iraniens du camp Liberty en Irak.
Les manifestants veulent rappeler aux Nations Unies leur obligation de protéger ces réfugiés, membres et sympathisants de l'organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI).
Ils craignent que le régime iranien et ses agents irakiens cherchent à exploiter la situation en Irak pour préparer le terrain à des actions répressives et violentes contre le camp Liberty.
Ils demandent à l’ONU et à Washington de transférer immédiatement tous ces réfugiés en Europe ou aux États-Unis conformément à leurs engagements écrits et au droit international.
Pour eux, l'ONU doit prendre des mesures urgentes pour assurer la protection du camp Liberty, situé près de l'aéroport international de Bagdad, en y installant une unité de Casques bleus.
Les manifestants veulent rappeler aux Nations Unies leur obligation de protéger ces réfugiés, membres et sympathisants de l'organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI).
Ils craignent que le régime iranien et ses agents irakiens cherchent à exploiter la situation en Irak pour préparer le terrain à des actions répressives et violentes contre le camp Liberty.
Ils demandent à l’ONU et à Washington de transférer immédiatement tous ces réfugiés en Europe ou aux États-Unis conformément à leurs engagements écrits et au droit international.
Pour eux, l'ONU doit prendre des mesures urgentes pour assurer la protection du camp Liberty, situé près de l'aéroport international de Bagdad, en y installant une unité de Casques bleus.
Parmi les manifestants se trouvent de nombreux proches des opposants iraniens du camp Liberty, plusieurs fois visés par des attaques à la roquette des agents du régime iranien avec la coopération des forces irakiennes.
Le 1er septembre 2013, ces forces irakiennes avaient attaqué le camp d'Achraf où elles s’étaient livrées au massacre de 52 membres de l'opposition iranienne, l’Ompi, et avaient pris sept otages, six femmes et un homme.
Beaucoup de victimes avaient été exécutées les mains liées derrière le dos, et d’autres abattues dans la clinique du camp.
Le massacre a été largement condamné par les organisations internationales mais aucune enquête indépendante n’a été ouverte.
Le 1er septembre 2013, ces forces irakiennes avaient attaqué le camp d'Achraf où elles s’étaient livrées au massacre de 52 membres de l'opposition iranienne, l’Ompi, et avaient pris sept otages, six femmes et un homme.
Beaucoup de victimes avaient été exécutées les mains liées derrière le dos, et d’autres abattues dans la clinique du camp.
Le massacre a été largement condamné par les organisations internationales mais aucune enquête indépendante n’a été ouverte.
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