Les exécutions en public ouvrent un nouveau cycle de sauvagerie et de cruauté par le régime impuissant des mollahs. Pour lui, le seul moyen de faire face à la colère et au rejet du peuple et d’empêcher sa chute inévitable consiste à intensifier la répression. C’est l’objectif principal que visait Khamenei en nommant Ebrahim Raïssi, le bourreau du massacre de 1988, à la présidence du régime.
La Résistance iranienne appelle le Secrétaire général de l’ONU, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, sa Haute-Commissaire et les rapporteurs concernés, ainsi que tous les organes des droits humains à prendre des mesures immédiates pour sauver la vie de ces deux prisonniers. Elle demande qu’une commission d’enquête internationale visite les prisons en Iran et y rencontre les prisonniers, en particulier les condamnés à mort.
Les violations brutales et systématiques des droits de l’homme en Iran doivent être renvoyées devant le Conseil de sécurité de l’ONU et les dirigeants du régime doivent être traduits en justice. Traiter avec un régime qui ne connaît aucune limite à la torture, aux exécutions et aux meurtres est une violation des principes et normes fondamentaux des droits humains qui constituent le fondement des Nations Unies.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 29 mars 2022
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