Le sénateur américain Ted Cruz
Le sénateur américain Ted Cruz a écrit une lettre au président Barack Obama dans laquelle il l’a remercié pour la ratification de la loi refusant d’accorder de visa à des terroristes connus.
Dans cette lettre dont le texte a été publié la semaine dernière par le magazine Politico, ce sénateur républicain du Texas a évoqué la nomination d’Hamid Aboutalebi en tant que nouvel ambassadeur de l’Iran à l’ONU. Hamid Aboutalebi a fait partie d’un groupe qui, en 1979, après avoir attaqué l’ambassade américaine à Téhéran a pris en otage 52 citoyens américains.
M. Cruz a affirmé : « Cette loi envoie ce message sans équivoque, de la part des deux principaux partis politiques, que nous ne tolérerons pas l’actuelle campagne d’insulte et d’hostilité menée par le régime iranien. »
Il a ainsi poursuivi sa lettre :
« Nommer Aboutalebi comme ambassadeur à l’ONU est la plus récente d’une longue série d’actions hostiles prouvant que le régime du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, reste l’ennemi des Etats-Unis. Cette série a commencé avec la prise en otage de 52 Américains durant 444 jours, de 1979 à 1981. Ensuite, il y a eu la complicité de l’Iran dans les attaques terroristes contre nos forces armées, à Beyrouth en 1983 et en Arabie Saoudite en 1996, ainsi qu’en Irak et en Afghanistan au cours des dix dernières années.
« Le régime iranien est un parrain du terrorisme. Les dirigeants de ce régime ont toujours employé une rhétorique hostile à l’égard de nous et nos alliés. Ils considèrent les Etats-Unis comme le ‘Grand Satan’ et Israël comme le ‘Petit Satan’, et l’idéal de Khamenei est que ces deux pays cessent d’exister. »
« Il y a eu de la part du régime iranien de nombreuses autres provocations, notamment le maintien en détention de trois citoyens américains, le pasteur Saïd Abedini, Amir Hekmati et Robert Levinson. La nomination d’Aboutalebi était le dernier exemple des provocations de ce régime. »
« Malgré leurs promesses périodiques de la modération, les dirigeants iraniens ont toujours eu une attitude résolument hostile à notre égard et lors de tout contact avec les dirigeants de ce régime, nous devons garder à l’esprit cette réalité. L’objectif que les dirigeants de ce régime poursuivent est très clair : persuader la communauté internationale d’alléger ses sanctions économiques, sans interrompre leur cours aux armements nucléaires. Cette semaine, le président iranien, Hassan Rohani, a dit : Nous allons assister à la levée des sanctions dans les prochains mois. »
« La loi qui vient d’être adoptée est une première étape pour faire comprendre aux dirigeants du régime iranien que s’ils veulent avoir de meilleures relations avec l’Occident, ils ne doivent pas nommer comme leur représentant à l’ONU quelqu’un qui a participé à des prises d’otage en 1979. »
« Les dirigeants de l’Iran pourraient essayer de contester le refus de visa à Aboutalebi, mais cette loi a supprimé toute ambiguïté qui pourrait être exploité lors d’une éventuelle contestation de leur part. Nous sommes dans un Etat de droit et cette loi crée une base juridique claire pour empêcher que les terroristes notoires viennent s’installer à Manhattan et bénéficier de l’immunité diplomatique. »
« Nommer Aboutalebi comme ambassadeur à l’ONU est la plus récente d’une longue série d’actions hostiles prouvant que le régime du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, reste l’ennemi des Etats-Unis. Cette série a commencé avec la prise en otage de 52 Américains durant 444 jours, de 1979 à 1981. Ensuite, il y a eu la complicité de l’Iran dans les attaques terroristes contre nos forces armées, à Beyrouth en 1983 et en Arabie Saoudite en 1996, ainsi qu’en Irak et en Afghanistan au cours des dix dernières années.
« Le régime iranien est un parrain du terrorisme. Les dirigeants de ce régime ont toujours employé une rhétorique hostile à l’égard de nous et nos alliés. Ils considèrent les Etats-Unis comme le ‘Grand Satan’ et Israël comme le ‘Petit Satan’, et l’idéal de Khamenei est que ces deux pays cessent d’exister. »
« Il y a eu de la part du régime iranien de nombreuses autres provocations, notamment le maintien en détention de trois citoyens américains, le pasteur Saïd Abedini, Amir Hekmati et Robert Levinson. La nomination d’Aboutalebi était le dernier exemple des provocations de ce régime. »
« Malgré leurs promesses périodiques de la modération, les dirigeants iraniens ont toujours eu une attitude résolument hostile à notre égard et lors de tout contact avec les dirigeants de ce régime, nous devons garder à l’esprit cette réalité. L’objectif que les dirigeants de ce régime poursuivent est très clair : persuader la communauté internationale d’alléger ses sanctions économiques, sans interrompre leur cours aux armements nucléaires. Cette semaine, le président iranien, Hassan Rohani, a dit : Nous allons assister à la levée des sanctions dans les prochains mois. »
« La loi qui vient d’être adoptée est une première étape pour faire comprendre aux dirigeants du régime iranien que s’ils veulent avoir de meilleures relations avec l’Occident, ils ne doivent pas nommer comme leur représentant à l’ONU quelqu’un qui a participé à des prises d’otage en 1979. »
« Les dirigeants de l’Iran pourraient essayer de contester le refus de visa à Aboutalebi, mais cette loi a supprimé toute ambiguïté qui pourrait être exploité lors d’une éventuelle contestation de leur part. Nous sommes dans un Etat de droit et cette loi crée une base juridique claire pour empêcher que les terroristes notoires viennent s’installer à Manhattan et bénéficier de l’immunité diplomatique. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire