Le Parlement des mollahs va examiner en urgence un projet de résolution selon laquelle «aucun représentant européen, ni aucune délégation européenne ne peut rencontrer en Iran des personnes physiques ou morales, sans avoir préalablement obtenu une autorisation auprès du gouvernement de la République islamique. »
Le texte intégral de ce projet de résolution a été publié le dimanche 6 avril sur le site de l’agence de presse du parlement. Il sera examiné par le parlement des mollahs le mardi 8 avril.
Ce projet de résolution du Majlis est une réaction à la résolution datée du 3 avril au Parlement européen dans laquelle la politique de l’Union européenne à l’égard de l’Iran a été définie et les violations des droits de l’Homme par le régime iranien ont été dénoncées.
L’Union européenne avait récemment exprimé le souhait d’ouvrir un bureau de représentation à Téhéran. Le texte du projet de résolution du parlement des mollahs s’oppose vigoureusement à cet idée et ajoute : « La création d’un tel centre d’espionnage sera un moyen par lequel les européens vont faire des ingérences dans nos affaires et vont créer des troubles en Iran. Par conséquent, le gouvernement doit interdire l’ouverture d’un quelconque bureau de représention du Parlement européen à Téhéran. »
Le dimanche 6 avril, Djavad Zarif, le ministre iranien des affaires étrangères, a affirmé devant la commission de la politique étrangère du Majlis : « Le gouvernement n’autorisera aucune délégation européenne à se rendre en Iran dans des conditions évoquées dans la récente résolution du Parlement européen. »
En employant un ton méprisant à l’égard des députés européens, Zarif a affirmé : « Le Parlement européen n’a pas la stature morale qui lui permette de se prononcer sur la situation des autres pays. »
Ce projet de résolution du Majlis est une réaction à la résolution datée du 3 avril au Parlement européen dans laquelle la politique de l’Union européenne à l’égard de l’Iran a été définie et les violations des droits de l’Homme par le régime iranien ont été dénoncées.
L’Union européenne avait récemment exprimé le souhait d’ouvrir un bureau de représentation à Téhéran. Le texte du projet de résolution du parlement des mollahs s’oppose vigoureusement à cet idée et ajoute : « La création d’un tel centre d’espionnage sera un moyen par lequel les européens vont faire des ingérences dans nos affaires et vont créer des troubles en Iran. Par conséquent, le gouvernement doit interdire l’ouverture d’un quelconque bureau de représention du Parlement européen à Téhéran. »
Le dimanche 6 avril, Djavad Zarif, le ministre iranien des affaires étrangères, a affirmé devant la commission de la politique étrangère du Majlis : « Le gouvernement n’autorisera aucune délégation européenne à se rendre en Iran dans des conditions évoquées dans la récente résolution du Parlement européen. »
En employant un ton méprisant à l’égard des députés européens, Zarif a affirmé : « Le Parlement européen n’a pas la stature morale qui lui permette de se prononcer sur la situation des autres pays. »
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