« Un membre du parlement du régime iranien (Majles) a déclaré mardi qu’une délégation de ce parlement a décidé d’annuler sa prochaine visite en Europe afin de protester contre la dernière résolution du Parlement européen sur la situation des droits de l’Homme en Iran », a rapporté l’agence de presse officielle IRNA.
Kazem Jalali a fait cette déclaration en s’adressant à Tarja Cronberg qui avait invité une délégation parlementaire de régime iranien à se rendre à Strasbourg le 27 et le 28 avril.
La résolution du Parlement européen dans lequel la situation des droits de l’Homme en Iran a été critiqué de façon assez modéré a provoqué une réaction hystérique et sans précédent du régime iranien.
Dans cette résolution, le Parlement européen s’était dit gravement préoccupé par la situation des droits de l’Homme en Iran et avait demandé à l’Union européen d’inclure des discussions sur les droits humains lors de toutes ses interactions avec l’Iran.
En réaction à cette résolution du Parlement européen, un grand nombre d’officiels du régime, notamment le ministre des Affaires étrangères, le président du parlement, l’orateur de la cérémonie de la prière de vendredi à Téhéran, ainsi que de nombreux membres du Majles et les médias du régime ont attaqué l’Union européenne.
Le vendredi 4 avril, Mohammad-Ali Movahhedi-Kermani, un mollah de haut rang, a qualifié cette résolution du Parlement européen sur les violations des droits de l’homme en Iran de « coup de gueule ».
Le dimanche 6 avril, le ministère des Affaires étrangères du régime iranien a convoqué l’ambassadeur grec à Téhéran pour protester contre la résolution du Parlement européen sur la situation des droits de l’homme dans ce pays. La Grèce occupe actuellement la présidence tournante de l’Union européenne.
L’agence de presse gouvernementale Fars a rapporté dimanche qu’un responsable du ministère iranien des Affaire étrangères a qualifié cette résolution d’« irréfléchie ».
La résolution du Parlement européen dans lequel la situation des droits de l’Homme en Iran a été critiqué de façon assez modéré a provoqué une réaction hystérique et sans précédent du régime iranien.
Dans cette résolution, le Parlement européen s’était dit gravement préoccupé par la situation des droits de l’Homme en Iran et avait demandé à l’Union européen d’inclure des discussions sur les droits humains lors de toutes ses interactions avec l’Iran.
En réaction à cette résolution du Parlement européen, un grand nombre d’officiels du régime, notamment le ministre des Affaires étrangères, le président du parlement, l’orateur de la cérémonie de la prière de vendredi à Téhéran, ainsi que de nombreux membres du Majles et les médias du régime ont attaqué l’Union européenne.
Le vendredi 4 avril, Mohammad-Ali Movahhedi-Kermani, un mollah de haut rang, a qualifié cette résolution du Parlement européen sur les violations des droits de l’homme en Iran de « coup de gueule ».
Le dimanche 6 avril, le ministère des Affaires étrangères du régime iranien a convoqué l’ambassadeur grec à Téhéran pour protester contre la résolution du Parlement européen sur la situation des droits de l’homme dans ce pays. La Grèce occupe actuellement la présidence tournante de l’Union européenne.
L’agence de presse gouvernementale Fars a rapporté dimanche qu’un responsable du ministère iranien des Affaire étrangères a qualifié cette résolution d’« irréfléchie ».
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