Les tactiques du régime iranien : La répression, la tromperie et une emprise de plus en plus faible sur le pouvoir

 Tout au long de son histoire, le régime iranien s’est accroché au pouvoir grâce à un puissant mélange de répression et de tromperie, en s’appuyant sur la religion pour imposer son idéologie fondamentaliste et éliminer l’opposition. Toutefois, la dépendance de ce régime à l’égard de tactiques trompeuses, voilées sous l’apparence de l’islam, montre des signes d’une efficacité décroissante.

Lettre ouverte au Haut Commissaire aux droits humains des Nations Unies, Volker Türk et à la Haute Commissaire adjointe, Nada Al-Nashif

 Monsieur le Haut Commissaire aux droits humains, Madame la Haute Commissaire adjointe,

Nous, Organisations de la société civile œuvrant à la promotion des droits humains en République islamique d’Iran, sommes gravement préoccupées par l’annonce de la visite de la Haut-Commissaire adjointe Nada Al-Nashif en République islamique d’Iran du 2 au 5 février 2024.

Tina Delju transférée en prison pour y purger sa peine d’un an

 Tina Delju est titulaire d’un doctorat en sciences politiques et a enseigné à l’université Azad.

Dans la matinée du lundi 29 janvier 2024, Tina Delju a été transférée à la prison centrale de Racht (prison de Lakan) pour y purger sa peine d’un an.

IRAN : LA VAGUE D’EXÉCUTIONS SE POURSUIT, 9 PENDAISONS EN DEUX JOURS

 Lundi, exécution de 5 prisonniers, dont 4 jeunes Kurdes, dimanche, 4 exécutions, dont deux jeunes frères baloutches

La vague d’exécutions qui s’intensifie en Iran dans un contexte de crises nationales et internationales

 - Cette tendance alarmante aux exécutions s’inscrit dans la stratégie plus large de l’Iran visant à réprimer la dissidence dans l’ensemble du pays, qui a connu une augmentation sans précédent du nombre d’exécutions, culminant à plus de 850 en 2023 et un nouveau pic au début de 2024.

La crise alimentaire s’aggrave en Iran : Une lutte pour les produits de première nécessité

 – Un exemple frappant de ces difficultés est l’escalade de la crise alimentaire, qui touche particulièrement la population pauvre et à faible revenu. En dépit de leurs efforts inlassables, de leurs multiples emplois, les familles iraniennes ont du mal à se procurer les denrées alimentaires les plus élémentaires.

Iran – Raid brutal de la garde anti-émeute et des agents du renseignement contre les prisonniers politiques de Qezelhessar

 La Résistance iranienne souligne l’urgence pour les rapporteurs et les autorités compétentes de l’ONU de visiter la prison de Qezelhessar et de rencontrer les prisonniers, en particulier les détenus politiques. Elle demande une condamnation ferme du régime oppressif des mollahs pour la montée des exécutions, de la torture et de la pression sur les prisonniers.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 28 janvier 2024

Les politiques répressives de l’Iran s’intensifient : Des punitions brutales aux manifestations des travailleurs

– Les politiques répressives de l’Iran s’acharnent de manière inquiétante. Un Iranien emprisonné, Mehdi Mousavian, a entamé une grève de la faim pour protester contre l’intention du système judiciaire iranien de le rendre aveugle de l’œil gauche en guise de rétribution pour avoir prétendument aveuglé un policier lors d’une manifestation en 2017. M. Mousavian a été condamné en 2019 à un châtiment en nature pour avoir jeté une pierre sur l’œil du policier, ce qu’il nie avec véhémence.

Nouvelles effusions de sang en Iran : Les exécutions se poursuivent

– La justice iranienne a annoncé les exécutions de Mohammad Faramarzi, Mohsen Mazloum, Wafa Azarbar et Pejman Fatehi. Ces quatre prisonniers étaient accusés par le régime inhumain des mollahs d' »espionnage » pour le compte d’Israël.

Le procès d’un diplomate suédois de l’UE s’achève en Iran

– Le procès d’un diplomate suédois de l’Union européenne s’est achevé dimanche à Téhéran, les procureurs iraniens réclamant la peine maximale pour l’homme accusé d’espionnage au profit d’Israël, l’ennemi juré de l’Iran.

Bahareh Shiri, mère d’un manifestant tué, condamnée à 6 ans de prison

 Bahareh Shiri, la mère d’un manifestant tué, a été condamnée à 6 ans de prison pour avoir demandé justice pour son fils.

Bahareh Shiri, la mère du manifestant Ali Abbasi tué lors des manifestations nationales de 2022 à Samirom, dans la province d’Ispahan, a été condamnée à 6 ans de prison par la première section du tribunal public pour avoir demandé justice pour son fils.

Rassemblement de protestation des travailleurs de l'industrie sidérurgique et pétrolière dans le sud de l'Iran

 Les travailleurs du Groupe national iranien de l'acier à Ahvaz (sud-ouest de l'Iran) se sont rassemblés pour la sixième journée consécutive de protestation.

Les travailleurs de cette entreprise ont défilé dans les rues de la ville dimanche 28 janvier, après s'être rassemblés devant le gouvernorat du Khouzistan, le gouvernorat d'Ahvaz et le bâtiment central de la Banque nationale de la province, scandant des slogans.

Raha Pour Ebrahim privée de soins médicaux à la prison de Machad

 La prisonnière politique Raha Pour Ebrahim s’est vu refuser tout traitement médical et toute hospitalisation alors qu’elle a subi une intervention chirurgicale majeure. Elle purge une peine de 3 ans à la prison centrale de Machad, également connue sous le nom de prison de Vakil Abad.

Selon une source informée, elle a été opérée de la jambe droite le 10 janvier 2024, mais a été renvoyée en prison avant d’être complètement rétablie et d’avoir reçu le traitement médical nécessaire. Actuellement, elle doit se faire retirer les points de suture de sa jambe, mais les autorités de la prison centrale de Machad ne le lui permettent pas. Ce refus cruel constitue une forme de torture à l’encontre de cette prisonnière politique.

La chute de la classe moyenne iranienne et la montée de la mafia en quête de rente

 L’un des indicateurs de la croissance et du développement d’un pays est l’expansion et la prospérité de la classe moyenne. L’existence d’une classe moyenne prospère dans toute société est un moteur clé de la croissance économique et du développement. Les gouvernements qui ont correctement protégé et soutenu la classe moyenne ont pu guider l'économie du pays sur la voie de la croissance et du développement.

Des prisonniers iraniens en grève de la faim pour protester contre les exécutions politiques

 Suite à l'exécution de Mohammad Ghobadlou et Farhad Salimi , deux prisonniers politiques et 61 prisonniers politiques et idéologiques du quartier des femmes de la prison d'Evin ont annoncé mardi 21 janvier que « la nouvelle de l'exécution de jeunes Iraniens a déclenché une vague de colère et de protestation ». en société. Les prisonnières politiques et idéologiques de la prison d'Evin entameront une grève générale de la faim le jeudi 25 janvier pour protester contre les récentes exécutions et exiger « l'arrêt des exécutions ».

Les poursuites contre les journalistes se poursuivent : Parisa Salehi condamnée à 1 an de prison

 La journaliste Parisa Salehi a été condamnée à un an de prison et à des peines complémentaires.

Le tribunal révolutionnaire de Karadj a récemment condamné Parisa Salehi à 1 an de prison pour avoir diffusé de la “propagande contre l’Etat”.

Elle a également été condamnée à 2 ans d’exil interne dans la ville de Zanjan, à 2 ans d’interdiction d’activités sur les réseaux sociaux et à 2 ans d’interdiction de quitter le pays.

Iran : Exécution de trois prisonniers mercredi et condamnation à mort de deux prisonniers politiques

 Horrible condamnation à l’aveuglement d’un prisonnier du soulèvement de 2017

Ali Khamenei continue sans répit d’exécuter par crainte d’un soulèvement populaire. Le mercredi 24 janvier, deux prisonniers, Fazel Shafi’i et Morteza Nadimi, ont été pendus avec un autre prisonnier à Chiraz. Le 23 janvier, Ahmad Asgarat a été pendu à la prison de Qezelhessar, le 21 janvier, Salman Salimi et Ahmad Ha’eri ont été pendus à Hamedan, Moslem Aliyari à Chirvan, et le 22 janvier, Hosseinali Shakourian et Nasser Mavaddat ont été pendus à Sabzevar.

Les dissidents iraniens entament une grève de la faim pour protester contre les pendaisons

 – Les dissidents iraniens vivant à l’intérieur de la république islamique et en exil ont entamé une grève de la faim jeudi pour protester contre la recrudescence des pendaisons en Iran, dont le dernier en date est un participant au mouvement de protestation de 2022 qui, selon les militants, avait des problèmes de santé mentale.

Le régime iranien fait face à une opposition croissante à l’approche des élections législatives

– À l’approche des élections législatives, le régime, dirigé par le guide suprême Ali Khamenei, est en proie à un sentiment palpable d’anxiété et de peur.

La crainte d’un boycott massif, qui risquerait d’embarrasser le gouvernement sur la scène internationale, est de plus en plus forte. Le régime a activé son vaste appareil de propagande dans une tentative désespérée d’éviter ce qui semble être une issue humiliante inévitable. Des responsables de diverses factions, auparavant marginalisés par Khamenei, unissent désormais leurs efforts pour maintenir le pouvoir des mollahs.

L’exécution de Mohammad Ghobadlou suscite une inquiétude nationale

 – Les prochaines élections iraniennes ont donné lieu à une démonstration frappante de l’indifférence du public, les projecteurs se déplaçant vers une figure surprenante – Mohammad Ghobadlou. L’intérêt du public pour Ghobadlou dépasse celui de l’ancien président du régime, Hassan Rouhani, et du président actuel, Ebrahim Raisi. La disqualification d’Hassan Rouhani pour les prochaines élections ne suscite pas un grand intérêt de la part du public.

Le vantardise du régime iranien sur son rôle dans la crise du Moyen-Orient

 Malgré les dénégations des responsables, y compris du guide suprême du régime iranien, quant à toute implication dans l’attaque du 7 octobre, ils continuent de véhiculer un discours complètement différent à leur public en interne. Bien qu’il s’appuie sur une politique de complaisance et d’inaction de la part de la communauté internationale depuis quatre décennies, le régime iranien se montre plus préoccupé par les facteurs internes que par les conséquences internationales. Cette préoccupation vient d’une société qui a vu de nombreux soulèvements populaires depuis 2017. Le régime s’inquiète de sa propre base, qui entrevoit l’avenir sous de sombres augures.

Le 20 janvier 1979, un prisonnier politique était libéré : L’Iran se souvient

 Le 20 janvier marque une date importante dans l’histoire de l’Iran, qui commémore l’anniversaire de la libération du dernier groupe de prisonniers politiques de la prison du Shah en 1979.

 – Parmi les 126 personnes libérées, ce 20 janvier 1979, figuraient le prisonnier politique, Massoud Radjavi et d’autres membres éminents des Moudjahidines du peuple iranien (OMPI). Cette journée ne symbolise pas seulement un moment charnière dans le passé de l’Iran, mais elle est aussi un symbole d’espoir et de résistance à l’oppression.

Le féminicide persiste en Iran : 2 nouvelles femmes en sont les victimes déchirantes

 2 nouvelles femmes sont victimes de féminicide en Iran

À Téhéran, une femme d’âge moyen a été incendiée par son mari, puis transférée dans un centre médical. Malheureusement, elle a perdu la vie en raison de l’étendue de ses brûlures.

Salavati : l’impitoyable juge de la mort en Iran

 Avant l’aube du 23 janvier, la vie de deux individus a connu une fin tragique dans l’enceinte de la prison de Ghezel Hesar. Mohammad Ghobadlou, un manifestant du soulèvement de 2022, et Farhad Salimi, un militant kurde, ont été exécutés par le bourreau. Leurs condamnations à mort ont été signées par le juge Salavati, le juge impitoyable des peine de mort en Iran.

IHRNGO appelle à une action internationale pour mettre fin à la condamnation du manifestant Mehdi Mousavian à une peine d’aveuglement

– Mehdi Mousavian, un manifestant accusé d’avoir rendu aveugle un policier en lançant une pierre, risque de subir une peine d’aveuglement après que la Cour suprême a confirmé sa condamnation à un châtiment en nature.

Bayan Farajollahi condamnée à un an de prison

 La première branche du tribunal révolutionnaire de Sanandadj a condamné Bayan Farajollahi à un an d’emprisonnement.

Sanandadj est la capitale de la province du Kurdistan, dans l’ouest de l’Iran.

Iran : Les violations des droits humains s’intensifient dans un contexte de troubles régionaux

– La fin de l’année 2023 a été marquée par un record inquiétant de violations de droits humains, avec au moins 864 exécutions, soit une augmentation de 34 % par rapport à l’année précédente. Parmi ces exécutions, 26 concernaient des femmes et huit des délinquants juvéniles, condamnés pour des crimes commis avant l’âge de 18 ans. Notamment, sept exécutions ont eu lieu en public, ce qui souligne le mépris flagrant du régime pour les droits de l’homme.

500 000 avortements par an en Iran

– Mohsen Zakerian, le directeur de la Fondation Nafas, a annoncé les dernières statistiques sur les avortements en Iran, déclarant qu’il y a 500 000 cas par an. Il a également indiqué que 90 à 93 % de ces avortements sont pratiqués par des couples mariés dans le cadre de mariages officiels et permanents. Les analystes attribuent la cause principale de cette situation aux conditions économiques du pays et à l’inflation sévère.

Iran : 99 exécutions ces 30 derniers jours

 Iran : 99 exécutions ces 30 derniers jours et 359 exécutions depuis le début de la guerre à Gaza

Appel à la mission d’établissement des faits de l’ONU à visiter les prisons iraniennes et à prendre des mesures urgentes pour sauver les condamnés à mort

La machine à torturer et tuer de Khamenei a envoyé 99 prisonniers à la potence au mois de Day iranien (22 décembre 2023 – 20 janvier 2024) pour maintenir en place la dictature religieuse. Craignant un soulèvement populaire, ce régime a exécuté au moins 359 prisonniers depuis le 7 octobre, début de la guerre à Gaza dont il est le principal instigateur.

Khamenei verse le sang sans compter par peur du soulèvement populaire

 • Exécution du prisonnier du soulèvement Mohammad Qobadlou et du prisonnier politique sunnite Farhad Salimi après 14 ans d’emprisonnement

• Maryam Radjavi : La tentative de Khamenei de contrer le soulèvement est vouée à l’échec. Le martyre de la jeunesse courageuse du pays avive les flammes du soulèvement et de la résistance

A l’aube de ce 23 janvier, les bourreaux de Khamenei, ont exécuté le prisonnier du soulèvement Mohammad Qobadlou, 23 ans, à la prison de Qezelhessar accusé d’avoir tué un agent de la répression. Dans un autre incident effroyable, Farhad Salimi, un prisonnier politique sunnite en grève de la faim, emprisonné depuis 14 ans, a été pendu au même moment dans cette prison.

Les défis de l’éducation en Iran et l’impact de la pénurie d’enseignants

– Après la publication d’informations soulignant la pénurie d’enseignants dans les écoles iraniennes, avec de nombreuses salles de classe à travers diverses villes laissées sans éducateurs, le ministère de l’Éducation a répondu à ces préoccupations en publiant un avis officiel. Dans une brève déclaration, le centre d’information et de relations publiques du ministère de l’éducation a communiqué ce qui suit :

3 500 religieux entrent dans les salles de classe iraniennes sans quota

– Le porte-parole du ministère iranien de l’Éducation a révélé que 3 500 religieux et séminaristes ont été incorporés dans la profession d’enseignant « après examen » et « sans aucun quota spécifié. »

Ali Farhadi, dans une interview accordée à l’agence de presse officielle IRNA le 22 janvier, a déclaré : « À la suite de l’examen, il a été déterminé que ces religieux étaient acceptées en tant qu’enseignants ».

Ghazaleh Zare’e, militante des droits de l’homme et journaliste, condamnée à 3 ans de prison

 Ghazaleh Zare’e, une militante des droits de l’homme, est condamnée à 3 ans de prison.

Ghazaleh Zare’e est originaire de Khorramabad, la capitale de la province de Lorestan, dans l’ouest de l’Iran.

Sixième jour de la grève de la faim de Hamed Qareh Oghlani en isolement dans la prison d’Oroumieh

 – Hamed Qareh Oghlani, un prisonnier politique turc qui purge sa peine de 14 ans à la prison d’Oroumieh, a marqué le sixième jour de sa grève de la faim. Selon l’Iran Human Rights Monitor (Iran HRM), Hamed Qareh Oghlani, un prisonnier politique turc, a commencé sa grève de la faim le dimanche 14 janvier 2024, pour protester contre le fait d’être privé du droit au congé médical. Aujourd’hui, il en est à son sixième jour de grève de la faim.

La crise des suicides en Iran et le besoin urgent de solutions

– Après que le vice-président du Conseil médical d’Iran a confirmé les suicides d’au moins 16 assistants médicaux au cours des dix derniers mois, le directeur du département de psychiatrie de l’Organisation iranienne de médecine légale a également averti que  » la crise de la santé mentale dans le pays s’est fortement aggravée « .

Hausse inquiétante des exécutions : Cas récents de condamnation à la peine capitale en Iran pour des délits liés à la drogue

 – Jeudi et samedi, à l’aube, le régime iranien a procédé aux exécutions de cinq individus, précédemment condamnés sur des accusations liées à des crimes liés à la drogue, dans les prisons de Dastgerd à Isfahan et de Lakan à Rasht, en Iran.

Appel urgent à sauver des vies : L’escalade des exécutions et de la torture dans les prisons iraniennes

– Le régime iranien, dirigé par Ali Khamenei, a récemment procédé aux exécutions de plusieurs prisonniers et intensifié la torture des détenus politiques, ce qui constitue une vague inquiétante de violations des droits de l’homme.

Anahita Amirpour, 20 ans, abattue par les forces de sécurité à Boroudjerd

 Dans la soirée du vendredi 19 janvier 2024, des agents en civil du département des renseignements de Boroudjerd ont ouvert le feu sur les occupants d’une voiture. Suite à cette attaque, Anahita Amirpour, 20 ans, étudiante en première année d’éducation physique à l’Université Azad de Boroudjerd, est morte sur le coup.

Anahita Amirpour était originaire de Kouhdacht. Au cours des deux derniers jours, les services de sécurité ont fait pression sur sa famille et ses amis pour qu’ils n’informent pas de ce meurtre. Ils veulent également faire de cet incident une affaire de sécurité en le reliant aux récentes explosions à Kerman.

28ème édition du Téléthon d’INTV : élan de soutien à la chaine de la Résistance iranienne

 Le 12 janvier, Simay-e Azadi ou INTV, une chaîne satellite de la Résistance iranienne, a organisé avec succès son 28e téléthon, qui s’est prolongé jusqu’au 15 janvier. Malgré l’attribution de dizaines de lignes téléphoniques pour l’initiative, les personnes en Iran et à l’étranger ont été confrontés à des temps d’attente prolongés pour participer à l’élan de soutien à la chaine dédiée à la cause de la liberté du peuple iranien.

La présidence du régime des mollahs de la Conférence de l’ONU doit être annulée

 La présidence du régime des mollahs de la Conférence de l’ONU sur le désarmement est opposée à la paix au Moyen-Orient et doit être annulée

Maryam Radjavi : Ce régime qui est le principal ennemi de la paix, qui a imposé au peuple plus de 2 000 milliards de dollars pour la bombe atomique et qui viole de nombreux traités internationaux, devrait être expulsé de l’ONU, plutôt que de se voir remettre la présidence de la conférence sur le désarmement.

Iran – Condamnation à mort d’un prisonnier politique

 Prison de Shayban à Ahvaz : Condamnation à mort d’un prisonnier politique et état de santé grave d’un autre prisonnier politique

• Décès d’un prisonnier par manque de soins médicaux à Qezel Hessar et suicide d’un prisonnier condamné à l’amputation des doigts à Oroumieh
• Appel international à une action urgente pour sauver les condamnés à mort et forcer le régime à fournir des soins médicaux aux détenus

Iran : Augmentation des décès causés par le suicide avec les « pilules de riz »

 Salim Khani, directeur général de la médecine légale de la province de Kermanshah, a annoncé une augmentation du nombre de décès causés par la consommation de « pilules de riz », sur la base des statistiques des neuf derniers mois.

Forte augmentation du taux de suicide dans la communauté médicale iranienne

 Les répercussions des problèmes professionnels et économiques au sein de la communauté médicale iranienne continuent de persister. Suite à une émigration massive au sein de cette profession, le taux de suicide dans la communauté médicale a maintenant quintuplé, ce qui entraîne au moins 13 suicides entraînant la mort parmi la population résidente en Iran chaque année.

Hadis Najafi, dans Tombées pour la liberté, symbole de la résistance des femmes contre la tyrannie religieuse au pouvoir en Iran

 Hadis Najafi est née le 5 janvier 2000. Elle était diplômée en stylisme et travaillait comme caissière dans un restaurant à Mehrchahr, Karadj.

Dans la nuit du 21 septembre 2022, vers 20 heures, les forces de répression du régime iranien lui ont tiré au moins 6 fois au visage, au cou et à la poitrine à balles réelles et à plombs sur le boulevard Eram à Mehrchahr, Karadj. Elle est décédée à l’hôpital et son corps a été enterré clandestinement pendant la nuit.

Le régime iranien manipule Wikipédia

 Wikipédia, l’encyclopédie en ligne participative, est devenue un vaste référentiel d’informations accessible à des millions de personnes dans le monde. Cependant, le modèle d’édition ouvert de la plateforme la rend également vulnérable à la manipulation et aux biais, suscitant des inquiétudes quant à la fiabilité de son contenu. Des acteurs malveillants, notamment le régime terroriste iranien, sont connus pour organiser des campagnes d’édition coordonnées afin d’influencer le contenu de Wikipédia et ainsi induire en erreur une population qui lutte pour la vérité.

Golaleh Vatandoust, avocate kurde, condamnée à 6 ans et 7 mois de prison

 Golaleh Vatandoust, avocate kurde, condamnée à 6 ans et 7 mois de prison

Golaleh Vatandoust, avocate et militante renommée des droits des femmes à Marivan, a été condamnée à 6 ans, 7 mois et 20 jours d’emprisonnement. Elle avait été arrêtée l’année dernière lors du soulèvement de 2022 en Iran.