La Résistance iranienne appelle à une action urgente pour sauver quatre condamnés à mort à la prison de Bandar Abbas qui ont été placés dans la matinée du 9 avril en isolement avant l’application de leur peine.
Ahmad Rahimi et Omid Shekari étaient tous deux dans la section des jeunes. Ahmad Rahimi, 20 ans, avait moins de 17 ans lors de son arrestation. Le troisième prisonnier, Zargham est âgé de 30 ans. Il n’y a aucune information disponible sur le quatrième condamné.
Par ailleurs, entre le 26 février et le 4 mars, quatre prisonniers, mineurs lors de leur arrestation, ont été pendus. Le 9 avril, le chef du judiciaire, le mollah Larijani, a déclaré dans un mensonge sophistiqué que les allégations du Parlement européen dans sa récente résolution sur les exécutions de jeunes de moins de 18 ans, étaient un pur mensonge. Le fait est que le fascisme religieux au pouvoir en Iran arrête les mineurs et les exécute quand ils ont atteint leurs 18 ans.
De même, Javad Larijani, chef du soi-disant conseil des droits de l’homme du régime, a déclaré le 10 avril : « Le problème c’est que l’Occident ne comprend pas que Qessass est différent de l’exécution. Nous n’avons pas honte de la lapidation ou de tout autre décret islamique (…) Nul n’a le droit de dire à un juge de s’abstenir d’une condamnation parce que cela décevrait l’ONU (...) Nous devrions défendre avec fermeté et sérieux la peine de lapidation. »
Les exécutions à la chaine à travers le pays, et surtout le nombre croissant des pendaisons de jeunes sous le mandate de Rohani, visent à intensifier le climat de terreur et à contenir la révolte de la population excédée.
Par ailleurs, entre le 26 février et le 4 mars, quatre prisonniers, mineurs lors de leur arrestation, ont été pendus. Le 9 avril, le chef du judiciaire, le mollah Larijani, a déclaré dans un mensonge sophistiqué que les allégations du Parlement européen dans sa récente résolution sur les exécutions de jeunes de moins de 18 ans, étaient un pur mensonge. Le fait est que le fascisme religieux au pouvoir en Iran arrête les mineurs et les exécute quand ils ont atteint leurs 18 ans.
De même, Javad Larijani, chef du soi-disant conseil des droits de l’homme du régime, a déclaré le 10 avril : « Le problème c’est que l’Occident ne comprend pas que Qessass est différent de l’exécution. Nous n’avons pas honte de la lapidation ou de tout autre décret islamique (…) Nul n’a le droit de dire à un juge de s’abstenir d’une condamnation parce que cela décevrait l’ONU (...) Nous devrions défendre avec fermeté et sérieux la peine de lapidation. »
Les exécutions à la chaine à travers le pays, et surtout le nombre croissant des pendaisons de jeunes sous le mandate de Rohani, visent à intensifier le climat de terreur et à contenir la révolte de la population excédée.
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