Nele Lijnen, présidente de la commission de l'égalité des droits du Sénat belge
Nele Lijnen, présidente de la commission de l'égalité des droits du Sénat belge, participait le 9 avril à une conférence internationale sur l’Iran au Parlement européen, aux côtés de Maryam Radjavi, dirigeante de l’opposition iranienne, et de nombreux dignitaires et eurodéputés :
Je suis très honorée et ravie de me trouver avec vous dans cette réunion en cette période très spéciale. En tant que présidente de la commission de l’Egalité des droits du sénat belge, j’ai suivi le calvaire des femmes iraniennes avec beaucoup d’inquiétude. On sait qu’aujourd’hui, face à ce régime intégriste et misogyne, les femmes en Iran sont confrontées à toute une série de discrimination et d’inégalités dans la famille, l’éducation et le travail ; ainsi qu’à la violence, l’arriération, la pauvreté et une multitude de privations et d’interdictions.
Cependant, alors que les femmes au camp Liberty constituent le point central de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran et que leur persévérance détermine le sort de millions de citoyens et de femmes en Iran, je voudrais concentrer aujourd’hui mon discours sur la situation de ces femmes au camp Liberty.
Aujourd’hui, six femmes prises en otages au camp d’Achraf lors du massacre du 1 er septembre ne sont pas encore libérées et sont toujours détenues dans un lieu inconnu en Irak. Un millier de femmes soufrent de nombreuses restrictions et de harcèlements par le gouvernement irakien, y compris une interdiction sur l’entrée de la nourriture et des médicaments dans le camp et empêchant la mise en place de mesures de sécurité vitales.
La communauté internationale doit insister sur l’amélioration catégorique des droits humains et des droits des femmes et mettre fin aux exécutions et plus particulièrement aux graves persécutions des habitants du camp Liberty.
L’Iran a besoin d’un changement démocratique et il en a besoin rapidement. La résistance iranienne et la société civile jouent un rôle crucial dans ce changement démocratique et je n’ai aucun doute que notre amie, Mme Radjavi jouera un rôle majeur dans cette démocratisation et dans un nouvel Iran demain.
La communauté internationale a la grave obligation d’aider le peuple iranien à réaliser ce changement. Elle doit prendre davantage d’actions sérieuses sur la question des droits humains au Conseil de sécurité de l’ONU et doit garantir la sécurité des habitants du camp Liberty.
Plus important encore, nous devons mettre tous les braves habitants du camp Liberty en sécurité, et comme l’a dit Mme Radjavi, l’ONU, les USA et l’UE ont une dette vis-à-vis du peuple iranien et de l’opposition iranienne.
Espérons qu’avec le début du printemps et le début de la nouvelle année iranienne, une nouvelle période peut commencer pour apporter le changement auquel le peuple iranien aspire tant. Permettez-moi de lutter à vos côtés.
Cependant, alors que les femmes au camp Liberty constituent le point central de la lutte pour la liberté et la démocratie en Iran et que leur persévérance détermine le sort de millions de citoyens et de femmes en Iran, je voudrais concentrer aujourd’hui mon discours sur la situation de ces femmes au camp Liberty.
Aujourd’hui, six femmes prises en otages au camp d’Achraf lors du massacre du 1 er septembre ne sont pas encore libérées et sont toujours détenues dans un lieu inconnu en Irak. Un millier de femmes soufrent de nombreuses restrictions et de harcèlements par le gouvernement irakien, y compris une interdiction sur l’entrée de la nourriture et des médicaments dans le camp et empêchant la mise en place de mesures de sécurité vitales.
La communauté internationale doit insister sur l’amélioration catégorique des droits humains et des droits des femmes et mettre fin aux exécutions et plus particulièrement aux graves persécutions des habitants du camp Liberty.
L’Iran a besoin d’un changement démocratique et il en a besoin rapidement. La résistance iranienne et la société civile jouent un rôle crucial dans ce changement démocratique et je n’ai aucun doute que notre amie, Mme Radjavi jouera un rôle majeur dans cette démocratisation et dans un nouvel Iran demain.
La communauté internationale a la grave obligation d’aider le peuple iranien à réaliser ce changement. Elle doit prendre davantage d’actions sérieuses sur la question des droits humains au Conseil de sécurité de l’ONU et doit garantir la sécurité des habitants du camp Liberty.
Plus important encore, nous devons mettre tous les braves habitants du camp Liberty en sécurité, et comme l’a dit Mme Radjavi, l’ONU, les USA et l’UE ont une dette vis-à-vis du peuple iranien et de l’opposition iranienne.
Espérons qu’avec le début du printemps et le début de la nouvelle année iranienne, une nouvelle période peut commencer pour apporter le changement auquel le peuple iranien aspire tant. Permettez-moi de lutter à vos côtés.
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