Une conférence été organisée à la mairie du 5e arrondissement de Paris pour célébrer la journée internationale contre la peine de mort. Maryam Radjavi y a adressé le message suivant :
La journée internationale contre la peine de mort, fondée pour célébrer et défendre la valeur universelle et sacrée de la vie, est également une journée qui dénonce un régime recordman des exécutions et responsable d’un massacre, je veux parler de la dictature religieuse inhumaine et scandaleuse des mollahs.
Je salue les 120.000 enfants courageux de la terre d’Iran qui ont été exécutés par ce régime parce qu’ils se battaient pour la liberté, notamment les prisonniers politiques victimes du massacre de 1988.
Leur exécution marque au fer rouge le front des mollahs qui ont fondé leur régime sur une mer de sang.
Un régime vide de toute légitimité populaire, humaine et historique, un régime dont le renversement est un objectif de lutte urgent et national que le peuple iranien et sa résistance atteindront à coup sûr.
L’an dernier, selon Amnesty internationale, le régime des mollahs a commis 507 exécutions. Le nombre véritable est bien plus élevé, car la dictature religieuse empêche la publication de nombreuses exécutions. En même temps, comme les années passées, des milliers de condamnés à mort se trouvent dans les prisons de Khamenei, qui de cette manière a emprisonné une partie de la population.
De même, avec leur cruauté sans limite, les mollahs continuent d’exécuter des prisonniers qui étaient mineurs lors de leur condamnation. Ce régime est ainsi devenu le premier Etat bourreau de mineurs dans le monde au mépris des conventions et des lois internationales.
Je salue les 120.000 enfants courageux de la terre d’Iran qui ont été exécutés par ce régime parce qu’ils se battaient pour la liberté, notamment les prisonniers politiques victimes du massacre de 1988.
Leur exécution marque au fer rouge le front des mollahs qui ont fondé leur régime sur une mer de sang.
Un régime vide de toute légitimité populaire, humaine et historique, un régime dont le renversement est un objectif de lutte urgent et national que le peuple iranien et sa résistance atteindront à coup sûr.
L’an dernier, selon Amnesty internationale, le régime des mollahs a commis 507 exécutions. Le nombre véritable est bien plus élevé, car la dictature religieuse empêche la publication de nombreuses exécutions. En même temps, comme les années passées, des milliers de condamnés à mort se trouvent dans les prisons de Khamenei, qui de cette manière a emprisonné une partie de la population.
De même, avec leur cruauté sans limite, les mollahs continuent d’exécuter des prisonniers qui étaient mineurs lors de leur condamnation. Ce régime est ainsi devenu le premier Etat bourreau de mineurs dans le monde au mépris des conventions et des lois internationales.
Pour s’opposer au soulèvement et au mouvement de protestation, la dictature religieuse a augmenté les exécutions. Le mois dernier, 9 prisonniers politiques ont été exécutés. Après le soulèvement de décembre dernier, les mollahs ont tué sous la torture au moins 14 manifestants arrêtés et ont dit que c’étaient des suicides. Les exécutions servent à maintenir le climat de terreur et sont un instrument de la survie du régime. Les deux factions du pouvoir tirent profit sans répit de cette sauvagerie pour rester en place.
Les deux factions sont en conflit sur le partage du pouvoir et du pillage des richesses. Mais elles s’entendent et collaborent sur les exécutions et la répression de la société, tout comme sur les opérations terroristes à l’étranger.
Le système judiciaire de Khamenei exécute, le ministère du renseignement et la force Qods mènent des opérations terroristes et commettent des crimes, et le gouvernement et le ministère des affaires étrangères se chargent de justifier tout cela.
Les deux factions sont en conflit sur le partage du pouvoir et du pillage des richesses. Mais elles s’entendent et collaborent sur les exécutions et la répression de la société, tout comme sur les opérations terroristes à l’étranger.
Le système judiciaire de Khamenei exécute, le ministère du renseignement et la force Qods mènent des opérations terroristes et commettent des crimes, et le gouvernement et le ministère des affaires étrangères se chargent de justifier tout cela.
L’attentat terroriste déjoué des mollahs contre le grand rassemblement annuel de la Résistance à Villepinte et les autres plans terroristes de ce régime contre la résistance en Albanie et aux Etats-Unis, se sont faits en collaboration totale avec le gouvernement de Rohani et les autres organes criminels de ce régime.
Le terrorisme des mollahs à l’étranger est le prolongement de la politique d’exécution et de torture en Iran. Ces deux politiques se complètent et ont besoin l’une de l’autre pour continuer.
Le terrorisme des mollahs à l’étranger est le prolongement de la politique d’exécution et de torture en Iran. Ces deux politiques se complètent et ont besoin l’une de l’autre pour continuer.
Nous appelons les gouvernements du monde à conditionner leurs relations politiques et économiques avec le régime des mollahs à l’arrêt de la torture et des exécutions et au démantèlement de leur appareil terroriste.
J’appelle mes compatriotes dans tout l’Iran à résister activement contre les arrestations et les exécutions et à empêcher par tous les moyens les mollahs d’utiliser ces instruments de terreur.
Durant les 40 dernières années, sous le régime des mollahs, des milliers et des milliers d’Iraniens sont passés à l’aube devant les pelotons d’exécutions ou sur la potence pour ne plus revoir la lumière du soleil ni sentir le bonheur de vivre. Mais l’aube de la liberté du peuple d’Iran viendra avec la disparition de l’ensemble de ce régime.
Grâce à la résistance et au soulèvement populaire en Iran, le soleil de la liberté et de la souveraineté populaire commence à se lever.
Le jour viendra où le peuple d’Iran ne connaitra plus d’exécutions ni de torture et où l’Iran sera un jardin de liberté et de justice.
Le jour viendra où le peuple d’Iran ne connaitra plus d’exécutions ni de torture et où l’Iran sera un jardin de liberté et de justice.
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