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lundi 31 août 2020

Iran: Coronavirus Death Toll in 410 Cities Surpasses 97,300

Iran, IRGC, Iran Protests

Iraj Harirchi: Next week, we will see an increase in Coronavirus outpatients, two to three weeks later, an increase in hospitalizations, and four to six weeks later, an increase in the death toll. (Hamshahri daily, August 31)

  • Head of Bandar Mahshahr Health Network: During the past two weeks, the result of 10 to 15% of Coronavirus tests was positive, but in recent days, up to 90% of the test results have been positive, which is a worrying sign of the spread of the disease chain.

Iran : Le nombre de décès dus aux coronavirus en Iran augmente

 CSDHI – Selon les dernières informations et statistiques sur le coronavirus dans les provinces iraniennes, l’augmentation du nombre d’affaires et la circulation des personnes hors de la région de quarantaine, depuis les derniers mois, a eu un impact significatif sur l’augmentation du taux d’infection par la COVID-19 et le taux de mortalité qui en résulte.

Le porte-parole du ministère de la santé, Sima Lari, a déclaré dans son briefing quotidien du 26 août : « Le nombre de victimes du coronavirus est de 119, le nombre de patients en situation d’urgence et d’hospitalisation est de 3 831. Et selon les dernières informations sur le coronavirus dans le pays, les provinces de Téhéran, Mazandaran, Gilan, Qom, Ispahan, Khorasan Razavi, Azerbaïdjan de l’Est, Kerman, Khorasan du Nord, Semnan, Yazd, Zanjan et Qazvin sont en rouge. »

L’Iran : 32 ans après le massacre de 1988 : Il est temps que l’Assemblée générale des Nations unies agisse

Photos de certaines victimes du massacre de 1988 en Iran lors d’une exposition publique

CNRI- Le mois dernier, la porte-parole du Département d’Etat, Morgan Ortagus, a mis en ligne une vidéo dans laquelle elle exprimqit sa « grande préoccupation » au sujet des « violations persistantes des droits humains » commises par le système judiciaire du régime iranien. Mme Ortagus a attiré l’attention sur un crime spécifique négligé par les puissances occidentales et qui n’a jamais reçu une attention suffisante dans les discussions de politique internationale.

Les disparitions forcées continuent en Iran alors que le monde ferme les yeux


CNRI- Alors que le monde célébrait la Journée internationale des victimes de disparitions forcées le 30 août, nous appelons la communauté internationale à mettre fin à trois décennies d’impunité du régime des mollahs en Iran et à mettre sur pied une commission d’enquête internationale sur le massacre de 1988 en Iran.

Le refus persistant des autorités iraniennes à révéler le sort de milliers de dissidents politiques disparus de force et exécutés extrajudiciairement dans le plus grand secret lors des massacres dans les prisons iraniennes en 1988 a déclenché une crise que la communauté internationale a largement ignorée pendant des décennies.

L’Iran et le point d’équilibre de deux crises

 CSDHI – L’Iran connaît deux crises majeures : la crise de l’effondrement des moyens de subsistance et des relations sociales de la population et la crise de l’existence du régime lui-même.

Ces deux crises ne sont pas parallèles de sorte qu’elles dureront éternellement ; au contraire, ce sont des crises frontales ayant chacune ses propres caractéristiques.

La corruption et la répression, vecteurs de la crise

L’une des principales caractéristiques de la crise est l’accélération de la corruption dans les domaines des événements sociaux et politiques, les luttes intestines entre les principales personnalités et éléments du régime. Les uns et les autres s’adonnent à des critiques ouvertes vis à vis des responsables des trois branches du régime. Les écrits ouverts que nous avons remarqués le mois dernier, mettent l’accent sur l’axe de l’information et mettent en garde contre les trois sujets suivants :

Les Derviches volontairement bannis dans des régions pauvres

 CSDHI – Les militants de la minorité religieuse des Derviches Gonabadi ont été forcés de vivre loin de chez eux après leur libération de prison. Ils ont donc rejeté l’affirmation d’un responsable iranien selon laquelle Téhéran n’a pas de politique d’exil des condamnés libérés vers des régions pauvres et éloignées.

Les prisonniers libérés, bannis en exil le plus loin possible

Gholamhossein Esmaili est le porte-parole du pouvoir judiciaire iranien. Lors d’un point de presse, il a affirmé que le pouvoir judiciaire ne dispose pas d’une liste prédéterminée de lieux de bannissement de certains condamnés iraniens libérés de prison. Après leur libération, ces individus seraient condamnés à vivre loin de leur ville natale pendant un certain temps. M. Esmaili répondait aux nouvelles des médias officiels iraniens, publiées récemment. Il faisait référence à une prétendue liste du ministère de l’intérieur. En effet, cette liste désigne 36 lieux comme lieux d’exil des condamnés dans le cadre de leur peine.

Iran : Les pasdarans arrêtent deux convertis chrétiens

 CSDHI – Les pasdarans ont arrêté deux convertis chrétiens dans des villes du nord-ouest et du sud-ouest de l’Iran. Les deux hommes ont été emmenés dans des endroits inconnus.

Une arrestation en force

Ils ont arrêté Shirku Siavoshi, 37 ans, à son domicile de Sardasht, le 22 août. Il a été emmené dans le service du renseignement des pasdarans (IRGC) dans la ville. Par ailleurs, il été battu lors de son arrestation. Non seulement le domicile du converti chrétien a été fouillé mais certains de ses effets personnels – dont son ordinateur portable et ses disques durs – ont été saisis.

dimanche 30 août 2020

Iran coronavirus update: Over 96,900 deaths, over 23,545 fatalities in Tehran alone

The novel coronavirus, also known as COVID-19, has taken the lives of over 96,900 people throughout Iran, according to the Iranian opposition PMOI/MEK

Reporting by PMOI/MEK

Iran, August 30, 2020—Over 96,900 people have died of the novel coronavirus in 409 cities checkered across all of Iran’s 31 provinces, according to reports tallied by the Iranian opposition People's Mojahedin Organization of Iran (PMOI/MEK) as of Sunday afternoon local time, August 30. The official death count declared by the regime stands at 21,462, around a fifth of the actual figure.

The coronavirus death toll in various provinces include: 23,545 in Tehran, 4693 in Mazandaran, 4369 in Isfahan, 4217 in Lorestan, 2718 in Fars, 2298 in Kermanshah, 1553 in Kerman, 1534 in North Khorasan, 1251 in Markazi (Central), 834 in Qazvin, 825 in Ilam, and 610 in Kohgiluyeh & Boyer Ahmed. This is in addition to reports obtained from other provinces.

samedi 29 août 2020

Peines de mort, flagellation et emprisonnement pour trois frères pour avoir participé aux soulèvements de Kazeroun et Chiraz

Peines de mort, flagellation et emprisonnement pour trois frères pour avoir participé aux soulèvements de Kazeroun et Chiraz

Maryam Radjavi appelle à une action nationale et internationale urgente pour stopper la condamnation à mort de Navid Afkari

Le pouvoir judiciaire du régime des mollahs a condamné trois frères à mort, à l'emprisonnement et à la flagellation pour avoir participé aux soulèvements des villes de Kazeroun et de Chiraz.

Navid Afkari, un champion national de lutte de 27 ans, a été condamné à être deux fois exécuté, en plus de six ans et demi de prison et 74 coups de fouet. Ses frères, Vahid Afkari, 35 ans, et Habib Afkari, 29 ans, ont été condamnés respectivement à 54,5 ans de prison et 74 coups de fouet, 27 ans et trois mois de prison et 74 coups de fouet. Ils sont soumis depuis 2018 à de terribles tortures en prison.

Iran : Plus de 96.500 décès dus au Covid-19 dans 408 villes

Abdul-Reza Mesri, député du Majlis du régime : Envoyer les enfants à l’école pour les mettre en danger est, à mon avis, un meurtre prémédité. Si nous agissons à la hâte et que les enfants attrapent le coronavirus, ce ne sera pas à cause de l’insouciance, nous provoquerons sciemment et intentionnellement un homicide.

Le président de la faculté des sciences médicales de Chahrekord : Vendredi, nous avons enregistrer le plus grand nombre d’hospitalisations depuis le début de l’épidémie dans les hôpitaux de Chaharmahal-Bakhtiari (Javan, 29 aout 2020)

Iran: message de Massoud Radjavi au sujet des assassins de son frère Kazem


CNRI  – A la suite de l’inscription sur la liste du département d’Etat américain du directeur de la prison d’Evine et de l’interdiction de visa pour 13 assassins et leurs familles du Pr Kazem Radjavi, représentant du CNRI en suisse, Massoud Radjavi, dirigeant de la Résistance iranienne, a déclaré dans un message en date du 26 aout 2020 :

« Outre les assassins de mon frère Kazem, les auteurs et les cerveaux de tous les assassinats et crimes commis à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran par le fascisme religieux au pouvoir doivent être sanctionnés et punis pour leurs actes. Il s’agit des assassins de Qassemlou à Vienne, Bakhtiar et Boroumand à Paris, Fereydoun Farrokhzad à Bonn, Akbar Ghorbani à Istanbul, Sharafkandi à Berlin, Naghdi à Rome, Zahra Rajabi et Ali Moradi à Istanbul, Mohammad Hassan Arbab à Karachi, et des dizaines d’autres. Ces crimes s’ajoutent à des centaines d’autres crimes terroristes perpétrés par la théocratie des mollahs contre la Résistance iranienne, les Peshmargas et nos frères kurdes en territoire irakien et au Kurdistan. »

Peines de mort, flagellation et emprisonnement pour trois frères pour avoir participé aux soulèvements de Kazeroun et Chiraz

Maryam Radjavi appelle à une action nationale et internationale urgente pour stopper la condamnation à mort de Navid Afkari

CNRI-  Le pouvoir judiciaire du régime des mollahs a condamné trois frères à mort, à l’emprisonnement et à la flagellation pour avoir participé aux soulèvements des villes de Kazeroun et de Chiraz.

Navid Afkari, un champion national de lutte de 27 ans, a été condamné à être deux fois exécuté, en plus de six ans et demi de prison et 74 coups de fouet. Ses frères, Vahid Afkari, 35 ans, et Habib Afkari, 29 ans, ont été condamnés respectivement à 54,5 ans de prison et 74 coups de fouet, 27 ans et trois mois de prison et 74 coups de fouet. Ils sont soumis depuis 2018 à de terribles tortures en prison.

Les manifestations se développent en Iran: les médias du régime expriment leurs inquiétudes

 

Ces derniers jours, il y a eu des dizaines de manifestations à travers l’Iran

CNRI-  Alors que les manifestations se propagent à travers l’Iran, les médias d’État expriment l’inquiétude du régime face à une éventuelle nouvelle série de manifestations majeures en Iran.

Les informations de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI / MEK) indiquent que malgré l’épidémie de coronavirus et l’utilisation par le régime de cette crise pour empêcher les gens de se soulever, il y a eu des dizaines de manifestations à travers le pays. Ces manifestations en cours ont poussé les médias d’État à exprimer leur inquiétude face à un soulèvement imminent.

Webinaire du CNRI : Réimposer les sanctions de sécurité de l’ONU au régime iranien


 Le CNRI a organisé un événement en ligne pour discuter de l’impératif de restaurer les sanctions de l’ONU contre le régime des mollahs au pouvoir en Iran – le 26 août 2020

Le bureau de représentation du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) aux Etats-Unis a organisé mercredi une conférence virtuelle sur le terrorisme du régime des mollahs, la nécessité de réimposer toutes les sanctions au régime des mollahs et les implications d’une éventuelle levée de l’embargo sur les armes des Nations unies qui expire le 18 octobre. Plusieurs personnalités politiques et experts américains de renom ont participé à cet événement et ont souligné qu’il était nécessaire de restaurer l’ensemble des sanctions des Nations unies contre le régime iranien afin de contrôler les activités malveillantes du régime.

Les mères des victimes du massacre de 1988 se recueillent sur les fosses communes


CNRI Femmes – Les parents et les mères des victimes du massacre de 1988 se sont réunies dans la matinée du 28 août 2020 au cimetière de Khavaran, dans sud-est de Téhéran, pour commémorer leurs proches, dont la plupart ont été victimes de disparitions forcées sous le régime clérical durant l’été 1988.

Ces familles ont déposé des fleurs sur les emplacements des fosses communes des victimes.

Les parents et les mères des victimes du massacre de 1988 doivent surmonter de nombreux obstacles pour se rendre sur les tombes symboliques de leurs enfants dans divers cimetières du pays, car la dictature religieuse dissimule depuis des années les preuves de cet abominable crime contre l’humanité.

vendredi 28 août 2020

Iran: Coronavirus Death Toll in 408 Cities Exceeds 96,000

MEK announced on Friday, August 28, that over 96,000 people have lost their lives due to the novel coronavirus

According to the Health Ministry, 28 provinces with 93% of the country’s population are in a state of red or alert 

  • Deputy Health Ministry: We will probably live with the COVID-19 virus for up to two years. We are currently in a critical situation, most of the provinces of the country, especially the northern provinces and Tehran, are red.
  • Iranian regime’s “Medical Council”: It was a mistake not to predict how long the Coronavirus would last correctly. Some reopenings fueled the spread of the virus. The tough battle is going to be this fall. Doctors and nurses are exhausted, many of them have become ill, many died, four private clinics are closed every week … Every day we hear the news of a colleague’s death. All these have impacted the morale of doctors and nurses.
  • Vice president of Kohgiluyeh and Boyer-Ahmad University of Medical Sciences: The number of infected in the Province is one and a half times the national average.

Dominique Attias demande justice pour les victimes du massacre de 1988

Dominique Attias

CNRI Femmes – Dominique Attias; Président de la Fédération européenne des sociétés de droit à partir d’octobre 2020

Vice-batonnière de Paris à partir de janvier 2016 et première femme à occuper ce poste Récipiendaire de la Légion d’honneur en 2011

Discours de Dominique Attias à la conférence virtuelle du 22 août 2020 : Appel à l’ONU pour la responsabilité du massacre de 1988

Je suis heureuse de pouvoir m’exprimer aujourd’hui à la demande du comité des femmes du conseil national de la résistance iranienne.

La jeunesse insurgée fait campagne contre le climat de terreur en Iran


Shiraz – Posting Massoud Rajavi (the leader of the Iranian Resistance)’s banner – August 22, 2020

« Démantelons les pasdarans avec le feu des braves »

CNRI- La semaine dernière, des unités de résistance et des partisans des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI/MEK) ont lancé une campagne nationale pour briser le climat de terreur et d’oppression du régime clérical. Ils ont écrit des slogans et distribuer des tracts et des communiqués à Téhéran et dans d’autres villes d’Iran, notamment Karadj, Sanandaj, Qazvine, Racht, Ispahan, Chiraz, Nichapour, Sistan-Balouchestan, Machad, Behchahr, Qods, Dezfoul, Ahwaz, Birjand, Dehdasht, Tabriz et Khorramabad.

Le Département d’État américain publie les noms des assassins du Dr Kazem Radjavi

CNRI - Le département d’État des États-Unis a publié les noms de 13 personnes qu’il avait désignées le 21 août pour leur rôle dans l’assassinat du Dr Kazem Radjavi, une figure de proue des droits de l’homme et représentant du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) en Suisse.

Le 21 août, le Département d’État des États-Unis a annoncé des restrictions de visa à 14 Iraniens pour leur implication dans des violations flagrantes des droits de l’homme pour le compte du régime iranien, le principal État commanditaire du terrorisme au monde. Cette mesure a été prise conformément à la section 7031 (c) du “Department of State, Foreign Operations, and Related Programs Appropriations Act, FY 2020”, rendant inéligible à l’entrée aux États-Unis les fonctionnaires de gouvernements étrangers et les membres de leur famille immédiate au sujet desquels le secrétaire d’État a des informations crédibles sur la participation à une violation flagrante des droits de l’homme. Cette action comprend des restrictions de visa pour 13 fonctionnaires impliqués dans un assassinat brutal et minutieusement planifié perpétré en Suisse en 1990 dans le cadre de la campagne mondiale de violence et de terrorisme en Iran. Ces 13 individus, qui se faisaient passer pour des diplomates iraniens, agissaient sous les plus hauts ordres de leur gouvernement pour faire taire l’opposition et montrer que personne n’est à l’abri du régime iranien, peu importe où ils vivent », lit-on dans la déclaration du département d’État.

Démolition des humbles habitations de pauvres villageois près d’Ahwaz


· Les forces répressives tirs des balles et des gaz lacrymogènes sur les protestataires

· Maryam Radjavi appelle la jeunesse courageuse d’Ahwaz à voler au secours des villageois qui n’ont fait que défendre leur vie et leurs biens face aux mollahs prédateurs qui les pillent sous le couvert de la « Fondation des Déshérités »

CNRI- Le mercredi 26 août 2020, les forces répressives du régime ont tenté de détruire les maisons des villageois démunis d’Abolfazl, dans le district de Kianchahr, près d’Ahwaz. Elles ont attaqué les villageois qui protestaient et empêchaient la destruction de leurs habitations. Les forces répressives ont utilisé des armes à feu Winchester BB et des gaz lacrymogènes. Au moins dix habitants, dont plusieurs enfants, ont été blessés et des dizaines d’autres arrêtés.

La prisonnière politique Zahra Safa’i brutalisée à la prison de Qarchak


 CNRI Femmes – La prisonnière politique Zahra Safa’i a été brutalisée par de dangereux détenus dans la prison de Qarchak

La prisonnière politique Zahra Safa’i a été brutalisée jeudi matin, 27 août 2020, dans la terrible prison de Qarchak par de dangereuses criminelles engagées et provoquées par le ministère du Renseignement.

La commission des femmes du CNRI avait déjà mis en garde sur le danger qui menace la vie des prisonnières politiques dans cette prison. Le directeur de Qarchak a envoyé de dangereuses criminelles dans les quartiers des prisonnières politiques, afin d’y provoquer des rixes où elles pourraient frapper et tuer les détenues politiques.

L’adolescente kurde emprisonnée Aynaz Zareh a contracté le coronavirus

Theatre player Mehraban Keshavarzi was arrested and imprisoned in Evin; November 2019 protester Marjan Es’haghi to face trial early in September

CNRI Femmes – L’adolescente kurde Aynaz Zareh a été infectée par le coronavirus pendant sa détention avec sa mère, Shahnaz Sadeghifar, dans le quartier des femmes de la prison centrale d’Oroumieh.

Le mardi 25 août 2020, Aynaz Zareh a été transférée hors de la prison et dans un hôpital municipal. Elle est actuellement dans la section des urgences de l’hôpital Taleghani d’Oroulieh pour des problèmes respiratoires.

Le judiciaire des mollahs ordonne à la veuve de Mostafa Salehi de payer 425 millions de tomans pour le “prix du sang”

· Il s’agit de représailles après la condamnation internationale de l’exécution de ce manifestant et des protestations des Iraniens à l’étranger

· Le défaut de paiement entraînera la saisie de sa maison et de ses biens

Maryam Radjavi : Le verdict ignoble du pouvoir judiciaire des mollahs contre la femme et les enfants de Mostafa Salehi montre que la cruauté et l’inhumanité des mollahs ne connaissent aucune limite. Ceux-là même qui, sous le couvert de parents des membres de l’OMPI, versent des larmes de crocodile sur eux, exigent le paiement de la veuve et des orphelins de Salehi en contrepartie de sa pendaison. Honte à ce régime et à tous ses partisans et mercenaires. Les mollahs doivent être expulsés de la communauté mondiale. Le silence et l’inaction reviennent à ignorer les valeurs pour lesquelles l’humanité a sacrifié des millions de vies.

Le système judiciaire criminel du régime iranien a riposté à la condamnation internationale de l’exécution de Mostafa Salehi et aux protestations des Iraniens dans divers pays en ordonnant à sa femme de payer 425 millions de tomans pour le prix du sang. A défaut de paiement, il confisquera la maison et tous les biens de cette veuve et de ses deux orphelins.

La campagne de désinformation du régime iranien contre l’OMPI

CNRI- Diffuser des fake news contre l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (MEK / OMPI) est l’une des méthodes du régime des mollahs contre la principale force d’opposition et son alternative démocratique.

Au cours de la période d’un an entre l’été 2015 et l’été 2016, les médias d’État iraniens ont produit plus de 300 films et séries télévisées et vidéos pour diaboliser l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI-MEK). Tout au long de 2016, le régime iranien a également publié 14 livres pour dénigrer l’OMPI. À ce jour, Téhéran publie un magazine mensuel et gère au moins 13 sites Web consacrés à ce sujet, sans parler des innombrables faux-nez sur les réseaux sociaux qui ont contribué à la campagne de désinformation ces dernières années.

jeudi 27 août 2020

Démolition des humbles habitations de pauvres villageois près d’Ahwaz

Démolition des humbles habitations de pauvres villageois près d’Ahwaz• Les forces répressives tirs des balles et des gaz lacrymogènes sur les protestataires

• Maryam Radjavi appelle la jeunesse courageuse d’Ahwaz à voler au secours des villageois qui n’ont fait que défendre leur vie et leurs biens face aux mollahs prédateurs qui les pillent sous le couvert de la « Fondation des Déshérités »

Le mercredi 26 aout 2020, les forces répressives ont voulu détruire les humbles habitations de villageois démunis du village d'Abolfazl dans le district de Kianshahr près d'Ahwaz. Au moins dix habitants, dont plusieurs enfants, ont été blessés et des dizaines d’autres arrêtés.

Iran: Coronavirus Death Toll in 404 Cities Surpasses 95,500


· Iraj Harirchi, regime’s Deputy Health Minister: If we face the third wave of the outbreak, a fundamental difference is that our medical, nursing, health, and paramedical community are tired and worn out. 164 medical staff have died with Coronavirus.

· Qassem Jan-Babaei, Deputy Health Minister: Coronavirus continues to spread across the country. If we do not pay enough attention to this disease, the third Coronavirus wave will move more intensely. (Mehr news agency, August 26)

Nouvelle analyse de la boîte noire d’un avion de ligne ukrainien : Le régime iranien devrait être tenu responsable de son crime


CNRI- L’analyse de la boîte noire d’un avion de ligne ukrainien, abattu par les Gardiens de la révolution du régime iranien (pasdaran) en janvier, montre qu’il a été touché par deux missiles à 25 secondes d’intervalle. Cela signifie que les passagers étaient encore en vie après le premier missile et auraient pu être sauvés. Cette révélation souligne une fois de plus l’importance de tenir les autorités du régime, notamment le Guide Suprême Ali Khamenei et le Président du régime Hassan Rohani, responsables de ce crime contre l’humanité.

Iran : Les forces répressives tuent deux jeunes hommes innocents

 

Alireza Jafarlou et Alireza Goudarzi tuées par les forces de sécurité du régime iranien

CNRI- Cette action ainsi que les récentes exécutions du régime, bien que tragiques, montrent la peur des mollahs envers la société.

Les Forces de sécurité de l’Etat (SSF) du régime ont tiré et tué deux jeunes hommes à Shahriar, près de Téhéran. Alireza Jafarlou, étudiant à l’université, et Alireza Goudarzi, ont été pris pour cible par les forces répressives alors qu’ils étaient dans la rue. Ce dernier est mort instantanément mais Alireza Jafarlou a été blessé et au lieu de l’envoyer à l’hôpital, les forces répressives ont commencé à le battre, et lorsque les gens ont essayé de le sauver, ils ont été menacés. Ils ont été tué pour avoir refusé de montrer leur permis de conduire.

Inquiétudes sur la santé de Nasrin Sotoudeh, célèbre avocate emprisonnée


 CSDHI – L’avocate des droits humains, Nasrin Sotoudeh, a été transférée à la clinique de la prison d’Evine au 9ème jour de sa grève de la faim.

Nasrin Sotoudeh, dans un état critique, a été transférée à la clinique de la prison d’Evine à 19 heures le 19 août 2020. Le même jour, son mari Reza Khandan l’écrivait sur son compte Facebook ; il citait une compagne de cellule de sa femme en permission ce jour-là.

La compagne de cellule de Mme Sotoudeh a déclaré : « Nasrin avait l’intention de ne plus boire de l’eau et des liquides pour protester contre l’arrestation de sa fille, Mehraveh. »

La militante civile Faranguisse Mazloumi jugée à Téhéran


 CNRI Femmes – La militante civile Faranguisse Mazloumi, mère du prisonnier politique Soheil Arabi, a comparu devant la branche 29 du tribunal révolutionnaire de Téhéran le mardi 25 août 2020.

Mme Mazloumi est accusée de « rassemblement et collusion pour commettre un crime en établissant des contacts avec l’Organisation des Moudjahidine du peuple ».

Le 8 juillet 2020, le même tribunal avait prononcé une peine de six ans de prison à son encontre par contumace et sans avoir convoqué un procès. Selon le verdict, elle a été condamnée à 5 ans de prison pour « rassemblement et collusion en vue de commettre un crime en établissant des contacts avec l’Organisation des Moudjahidines du peuple » et à 1 an de prison pour « activités de propagande contre l’État ». 

Les prisonnières politiques harcelées et torturées à la prison Sepidar


 CNRI Femmes – Des femmes prisonnières politiques sont harcelées et torturées dans la prison Sepidar d’Ahwaz, au Khouzistan. C’est une pratique courante du régime pour terroriser la société et créer un climat de peur.  

Les prisonnières politiques sont harcelées, et fréquemment insultées, brutalisées et torturées par les autorités carcérales.

mercredi 26 août 2020

Iran: Coronavirus Death Toll in 404 Cities Exceeds 95,000

Iran: Coronavirus Death Toll in 404 Cities Exceeds 95,000Over 95,000 dead of coronavirus (COVID-19) in Iran-Iran Coronavirus Death Toll per PMOI MEK sources

  • Iraj Harirchi, Regime’s Deputy Health Minister: One in ten hospitalized patients die, one in two patients in ICU die, and one in 10 people are connected to tube in the ICU die. 
  • Isfahan University of Medical Sciences: The number of deaths in the past 24 hours (excluding Kashan, Aran va Bidgol) is 17, and 193 people are kept in the Intensive Care Unit. In Isfahan, the trend for the Coronavirus outbreak has spiked dramatically since August 19. (Aftab-news, August 25) 

Il faut tenir le régime iranien responsable de son terrorisme

CNRI- Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a annoncé cette semaine la désignation comme terroriste de 14 responsables du régime iranien, dont 13 terroristes impliqués dans l’assassinat du professeur Kazem Radjavi, représentant du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) en Suisse et grand défenseur des droits humains.

Les porteurs iraniens victimes de l’oppression des mollahs: 24 tués en 5 mois

CNRI- Les forces frontalières du régime iranien poursuivent la frénésie meurtrière contre les porteurs iraniens démunis, qui doivent porter de lourdes charges pour subvenir aux besoins de leur famille. Ce travail est le résultat direct de la corruption institutionnalisée du régime et du pillage des richesses nationales.

Hadi Khedri, un porteur de 22 ans, a été tué par les forces du CGRI le 13 août 2020

Grève de la faim d’un groupe de prisonniers en isolement à la prison Dastguerd d’Ispahan

 

Appel à des mesures urgentes pour sauver la vie des prisonniers et envoyer une mission d’enquête internationale pour rencontrer les prisonniers en Iran

Au moins 20 jeunes détenus en isolement à la prison Dastguerd d’Ispahan ont entamé une grève de la faim de plusieurs jours contre les conditions inhumaines d’incarcération, demandant à être envoyés dans une section générale.

Destruction de l’avion ukrainien : Condamnation du fils d’un dissident emprisonné


 CSDHI – La femme d’un dissident iranien emprisonné a critiqué les dirigeants iraniens pour avoir ordonné l’emprisonnement de leur fils qui avait manifesté contre la destruction par l’armée iranienne en janvier 2020, d’un avion de ligne ukrainien. Elle a affirmé que ce sont les mauvaises personnes qui se trouvent derrière les barreaux.

Fatemeh Maleki a annoncé dans un post sur Instagram le 11 août 2020 que les autorités avaient convoqué son fils Ali Nourizad à la prison d’Evine de Téhéran pour purger sa peine de prison.

Mohammad Nourizad, dissident condamné à la prison et au fouet en Iran


 CSDHI – Le militant civil et journaliste Mohammad Nourizad est actuellement incarcéré à la prison d’Evine à Téhéran. Il a été condamné à 8 mois de détention. Il a également reçu une peine de 148 coups de fouet et d’un an d’éloignement dans le nord-est de l’Iran.

Mohammad Nourizad est accusé de « trouble à l’ordre public » pour avoir assisté à une manifestation devant le tribunal chargé d’examiner le cas de Kamal Jafar Yazdi. Il a été condamné pour cela à 8 mois de prison, 74 coups de fouet et à l’exil à Tabas. Il est de plus accusé de « diffusion de fausses nouvelles », ce qui lui a valu 74 coups de fouet.

Les autorités exécutent cinq détenus à la prison de Machad en Iran

 CSDHI – Les autorités iraniennes ont exécuté cinq personnes, dont une femme, le mardi 18 août 2020, à la prison centrale de Vakilabad à Machad en Iran.

Trois des personnes exécutées ont été identifiées. Il s’agit de deux hommes, Ardeshir Bahadori et Ali Gholami Aghuyi et d’une femme Marzieh Ebrahimipour.

Tous les cinq étaient accusés d’homicide.

Le juge Mohammad Reza Dashtban, également procureur adjoint de la province de Khorassan-Razavi,  était présent lors de l’exécution.

La France s'inquiète des "activités déstabilisatrices" du régime en Iran


IRAN FOCUS-  Par Reuters - Le ministre de l'Europe et des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a exprimé à son homologue iranien, Javad Zarif, la préoccupation de la France quant aux "activités déstabilisatrices de l'Iran", annonce mardi le Quai d'Orsay dans un communiqué.

Lors d'un entretien téléphonique lundi soir, le chef de la diplomatie française a également réaffirmé les attentes de Paris à l'égard de l'Iran "et notamment la fin des violations par les autorités iraniennes de leurs engagements au titre de l'accord de Vienne" sur le programme nucléaire de Téhéran, précise le ministère dans un communiqué.

Il a aussi rappelé à son homologue "la détermination sans faille des E3 (France, Allemagne, Royaume-Uni) pour préserver l'accord de Vienne".