Terrible crime en Iran dans les prisons des mollahs !

Cinq prisonniers à Oroumieh attendent leur châtiment cruel d’amputation des doigts ! J’appelle les Nations Unies, l’Union européenne et ses États membres à protester et à intervenir d’urgence. Le 8 novembre, deux frères ont eu les doigts coupés à la guillotine dans cette prison. Les lois pénales sur les châtiments en vigueur au sein de ce régime à partir desquelles sont appliquées ces ordonnances criminelles, sont des documents flagrants de violations des droits de l’homme, en particulier : lapider, crucifier, jeter depuis une montagne, amputer, énucléer. S’il était question de couper des doigts aux voleurs, les plus grands voleurs qui se livrent à des détournements des richesses de la population iranienne sont les dirigeants du régime, les commandants des pasdarans, les mollahs au pouvoir et leurs enfants corrompus. Ceux-là même qui ont ruiné la vie de dizaines de millions d’Iraniens et les ont plongés sous le seuil de pauvreté. Avec ces crimes, Khamenei avive la colère du peuple. L’inaction de la communauté internationale est un feu vert pour commettre davantage de crimes. La Résistance iranienne, appelle une fois de plus à bannir ce régime de la communauté internationale. Les dirigeants de cette dictature religieuse doivent être jugés, pour quatre décennies de crimes contre l’humanité, des génocides et de crimes de guerres.

Plus d'Infos : https://www.maryam-rajavi.com/fr/

L’Allemagne ferme trois consulats iraniens à la suite de l’exécution du citoyen allemand Jamshid Sharmahd en Iran

 – Après trois jours de silence, le gouvernement allemand a publié une réponse forte à l’exécution du double citoyen germano-iranien Jamshid Sharmahd par le gouvernement iranien. L’Allemagne a décidé de fermer trois consulats iraniens dans le pays, une décision plus sévère que beaucoup ne l’avaient prévu, en raison de la brutalité persistante de Téhéran et de son mépris pour les droits de l’homme les plus élémentaires.

A Strasbourg, le CSDHI appelle à la fermeté face au régime iranien

 – Alors que les eurodéputés à Strasbourg débattaient sur le terrorisme du régime iranien, les sympathisants de la Résistance iranienne se sont rassemblés mardi 22 octobre devant le Parlement européen pour appeler l’Union européenne à inscrire le Corps des gardiens de la révolution (CGRI) sur la liste des entités terroristes.

Le Canada considère le régime iranien comme une menace majeure à la cybersécurité nationale

 Le mercredi 30 octobre, le gouvernement canadien a publié une nouvelle évaluation identifiant le régime iranien, ainsi que la Russie et la Chine, comme une menace majeure à la cybersécurité nationale, avertissant que l'influence numérique de l'Iran s'est étendue au-delà du Moyen-Orient pour cibler les pays occidentaux.

Selon la nouvelle évaluation du gouvernement canadien, les efforts continus du régime iranien pour traquer et surveiller ses opposants via Internet ont créé un défi croissant en matière de cybersécurité pour le Canada et ses alliés.

Crise des droits humains en Iran : Les amputations et les exécutions se multiplient face à l’inquiétude de la communauté internationale

 – Amnesty International et d’autres organisations de défense des droits humains ont tiré la sonnette d’alarme face à l’escalade des atteintes aux droits humains en Iran, où les châtiments corporels et les exécutions sont pratiqués à un rythme alarmant.

Cinq prisonniers exécutés dans la prison iranienne de Ghezel Hesar

 Les médias spécialisés dans les droits de l'homme rapportent l'exécution de cinq prisonniers, dont un ressortissant afghan, dans les prisons de Ghezel Hesar et de Jiroft, aux premières heures du mercredi 30 octobre.

Augmentation des exécutions dans les prisons iraniennes

 – Ces derniers jours, les autorités iraniennes ont exécuté de nombreux prisonniers dans diverses prisons du pays, marquant une augmentation significative du recours à la peine capitale. Selon des informations, au moins 14 personnes ont été exécutées dans les prisons d’Ahvaz, de Karaj et d’Esfahan entre le 28 octobre et le 31 octobre 2024.

Iran : Méthodes de torture à la prison d’Evine en Iran

 – La prison d’Evine est l’une des plus connues de l’Iran, souvent critiquée à l’échelle internationale pour ses conditions de détention difficiles et le traitement violent qu’elle inflige aux détenus. Les conditions de vie à Evin sont extrêmement difficiles et épuisantes. L’un des principaux problèmes est le manque d’espace suffisant pour loger un grand nombre de prisonniers. De nombreuses chambres accueillent plus de détenus que leur capacité standard, ce qui entraîne un surpeuplement, certains détenus étant forcés de dormir sur le sol et privés d’accès aux installations sanitaires de base. Ce manque d’espace limite l’accès des détenus à l’air frais et aux espaces de loisirs, contribuant ainsi au stress psychologique et à la dépression chez les détenus.

Iran : Les étudiants en médecine extorqués avec un engagement de service obligatoire

 Après d’intenses protestations des étudiants en médecine contre une augmentation de 200 % des frais de scolarité, l’université Azad d’Iran a annoncé une réduction conditionnelle de 50 % des frais si les étudiants acceptent un engagement de service militaire obligatoire de trois ans après l’obtention de leur diplôme. Selon le Kayhan, géré par l’État, les étudiants admis dans les programmes de médecine, de dentisterie et de pharmacie pour l’année universitaire 1403 ne peuvent accéder à cette réduction qu’en « s’engageant à effectuer un service dans des zones désignées ».

L’Allemagne rappelle son ambassadeur en Iran suite à l’exécution de Jamshid Sharmahd

 Jamshid Sharmahd assiste à la première audience de son procès à Téhéran, le 6 février 2022. (Photo Koosha Mahshid Falahi / Mizan News Agency / AFP)

CSDHI – Le ministère allemand des Affaires étrangères a rappelé mardi son ambassadeur en Iran, Markus Potzel, pour consultations et a également convoqué le chargé d’affaires de l’Iran à Berlin suite à l’exécution par l’Iran du dissident irano-allemand Jamshid Sharmahd.

L’UE condamne l’exécution de Jamshid Sharmahd et envisage des mesures contre le régime iranien

 L’annonce de l’exécution de Jamshid Sharmahd, prisonnier politique irano-allemand sous le régime iranien, le lundi 28 octobre, a suscité de nombreuses réactions nationales et internationales.

Quelques heures après que l’Allemagne a convoqué son ambassadeur à Téhéran pour protester contre l’exécution de Jamshid Sharmahd, l’Union européenne a également publié une déclaration ferme condamnant l’assassinat de ce citoyen irano-allemand et a annoncé son intention de mener des actions ciblées et significatives contre le régime iranien.

Reyhaneh Anssarinezhad, militante syndicale, privée de visite de son enfant et de traitements médicaux

 – Mme Anssarinezhad, une militante syndicale détenue à la prison d’Evine, n’a pas pu voir son enfant depuis deux mois en raison du refus des autorités de la prison d’Evine. Elle souffre également de fortes douleurs à la colonne vertébrale et au cou, mais les responsables de la prison ont refusé de l’envoyer à l’hôpital pour qu’elle y soit soignée. Reyhaneh Ansarinejad a été privée de visites et de soins médicaux en raison de sa participation à des manifestations contre l’émission et l’exécution de condamnations à mort.

Iran : Maryam Akbari maintenue en isolement après son transfert à la prison de Qarchak

 – Maryam Akbari Monfared, prisonnière politique en Iran, a passé huit jours en isolement à la prison de Qarchak à Varamin depuis son transfert le 22 octobre 2024.

Bien qu’elle ait purgé sa peine de 15 ans de prison le 11 octobre 2024, les autorités lui ont infligé une peine supplémentaire de deux ans de prison sans preuves, prétendument à titre de représailles.

Les familles des condamnés à mort protestent contre les exécutions en Iran

 Manifestation à l’occasion de la 40e semaine de la campagne « Les mardis contre l’exécution »

Le mardi 29 octobre 2024, coïncidant avec la 40e semaine de la campagne « Les mardis contre l’exécution », un grand groupe de familles de condamnés à mort s’est rassemblé à Téhéran pour protester. Elles ont marché vers le parlement en scandant « Pas d’exécution ! ».

Mécontentement et protestations des segments défavorisés en Iran

 L’Iran est touché par des manifestations alimentée par l’escalade des griefs économiques et la brutalité du régime. Des retraités, des employés municipaux, des étudiants et des groupes marginalisés se sont mobilisés dans plusieurs villes pour exiger de meilleures conditions de vie, des retraites plus élevées et une voix face à la négligence et à la répression systémiques.

Crime atroce d’amputation des doigts de deux frères accusés d’un vol sous un régime de voleurs et de pilleurs

 Quarantième semaine de la campagne de grève de la faim des prisonniers politiques, « Non aux mardis de l’exécution », dans 24 prisons d’Iran

Alors que le nombre d’exécutions du mois iranien de Mehr (22 septembre – 21 octobre) a dépassé les 150, la machine à réprimer et à tuer des mollahs continue sans relâche au mois d’Aban (22 octobre – 20 novembre).

Les prisonniers entament leur 40e semaine de campagne « Non aux exécutions »

 Au cours de la 40e semaine de la campagne des mardis « Non aux exécutions», avec la participation de la prison de Kahnuj, le nombre de prisons participantes a atteint 24. Chaque semaine, des prisonniers de tout le pays mènent des grèves de la faim pour protester contre la vague croissante d’exécutions en Iran.

Les prisons participantes sont Evine (quartier des femmes, quartiers 4 et 8), Ghezel Hesar (unités 3 et 4), Karaj Central, Grand Téhéran, Khorramabad, Arak, Asadabad Ispahan, la prison militaire de Shiraz, Bam, Mashhad, Lakan Rasht (quartier des hommes et des femmes), Qaemshahr, Ardabil, Tabriz, Urmia, Salmas, Khoy, Naqadeh, Saqqez, Baneh, Marivan, Kamyaran, Sheiban Ahvaz et Kahnuj.

Des prisonniers politiques dans le couloir de la mort en Iran

 – L’Iran se classe régulièrement parmi les principaux bourreaux du monde, revendiquant la triste distinction d’avoir le plus grand nombre d’exécutions par habitant. Le régime iranien utilise largement la peine de mort comme outil non seulement de punition judiciaire, mais aussi de répression politique. Le système juridique iranien, qui repose sur des accusations vaguement définies telles que Moharebeh (guerre contre Dieu) et Baghi (rébellion), donne au régime des mollahs une grande latitude pour imposer la peine capitale. Ces chefs d’accusation sont fréquemment invoqués non seulement dans les cas de crimes violents tels que le meurtre, mais aussi pour réduire au silence les dissidents politiques, les protestations et les croyances religieuses qui s’écartent de l’idéologie officielle du régime des mollahs.

Iran : Risque imminent d’amputation pour deux prisonniers iraniens transférés en isolement

 – Les informations reçues par Iran HRM indiquent que deux prisonniers en Iran, Shahrad Teimouri et Mehrdad Teimouri, qui ont tous deux été précédemment condamnés à l’amputation de doigts pour vol, font face à un risque accru de punition à la suite de leur récent transfert en isolement.

L’université Amir Kabir interdit l’accès à 200 étudiantes en raison d’infractions au code vestimentaire

 Certaines sont interrogées après des protestations

Le lundi 28 octobre 2024 au matin, environ 200 étudiantes ont été interdites d’entrée à l’université Amir Kabir en raison d’infractions au code vestimentaire obligatoire , que la sécurité de l’université a fait respecter.

Les informations indiquent que le personnel de sécurité posté aux 3 entrées principales de l’université, dans les rues Hafez, Valiasr et Racht, a bloqué ces étudiantes et étudiants, les empêchant d’assister à leurs cours.

Mme Radjavi condamne fermement l’enlèvement et l’exécution de Jamshid Sharmahd

Mme Maryam Radjavi, présidente élue du Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI), a une fois de plus condamné fermement l’enlèvement et l’exécution d’individus kidnappés par le régime sanguinaire iranien. Elle a demandé aux gouvernements d’Allemagne, de Suède et de France de soulever immédiatement au Conseil de sécurité des Nations Unies trois cas d’enlèvements de ces pays ayant conduit à une exécution et d’exiger des sanctions contre le régime iranien à cet égard.

Iran : le jour de Cyrus et les portes fermées de Pasargades

 Depuis 2016, suite au rassemblement de milliers de personnes à Pasargades pour participer aux commémorations de la Journée de Cyrus, les forces de sécurité de l'État du régime iranien bloquent chaque année les routes menant à sa tombe.  

Des enseignants iraniens exclus de leur emploi parce qu’ils « portent une moustache »

 Dans le cadre des manifestations en cours contre le processus de sélection des étudiants-enseignants et des candidats au ministère iranien de l'Éducation, certains candidats rapportent avoir été rejetés pour des raisons non professionnelles, telles que la lecture de livres de philosophie, leur style vestimentaire, le fait de porter une moustache, le port de vernis à ongles, l'absence de prières ou une présence minimale aux prières du vendredi ou aux rassemblements.

Les détenus de la prison de Kahnuj rejoignent la campagne, les « Mardis sans exécutions »

 – Les détenus de la prison de Kahnuj ont déclaré leur soutien à la campagne, les « Mardis sans exécutions », l’initiative appelant à l’abolition de la peine de mort en Iran. Selon les rapports obtenus par Iran HRM, les détenus de Kahnuj rejoindront la campagne le mardi 29 octobre 2024, en entamant des grèves de la faim, exigeant la fin de la peine capitale dans les prisons iraniennes. Avec cet ajout, un total de 24 prisons à travers le pays participent maintenant aux protestations hebdomadaires.

Parvin Mirasan : Négligence des soins médicaux pour une prisonnière de 67 ans

 Parvin Mirasan, une prisonnière politique âgée de 67 ans, purge actuellement une peine de 4 ans à la prison d’Evin.

Bien qu’elle ait besoin de soins médicaux spécialisés, elle a récemment été emmenée à l’hôpital, mais a été renvoyée en prison peu de temps après, sans avoir reçu le traitement nécessaire.

La lauréate du prix Nobel de la paix, Narges Mohammadi, condamnée à six mois de prison supplémentaires en Iran, alors que les soins médicaux urgents lui sont à nouveau refusés

 Reporters Without Borders/(Reporters sans frontières) – La Free Narges Coalition condamne la peine supplémentaire de six mois de prison prononcée à l’encontre de la lauréate du prix Nobel de la paix Narges Mohammadi et exige sa libération immédiate et inconditionnelle, et demande à nouveau qu’elle bénéficie d’un accès urgent à un traitement médical essentiel, qui lui a de nouveau été refusé cette semaine.

Les autorités ne devraient pas imposer de peines à Elaheh Mohammadi et Niloofar Hamedi

 Human Rights Watch – La justice iranienne a annoncé l’exécution d’une peine de cinq ans de prison pour deux journalistes accusés de « propagande contre l’État » pour leur reportage sur la mort en détention de Mahsa Jina Amini, qui a déclenché des manifestations dans tout le pays en 2022.

Peines d’emprisonnement supplémentaires pour 5 prisonnières politiques en Iran

 – Cinq prisonnières politiques en Iran ont vu leur peine de prison prolongée pour avoir protesté contre l’exécution de Reza Rasai, un manifestant détenu lors des manifestations de 2022, le 6 août 2024.

La négligence du régime amplifie les dégâts causés par de graves inondations en Iran

 Ces derniers jours, de fortes pluies ont provoqué d’importantes inondations dans de nombreuses provinces d’Iran, laissant les communautés isolées et les infrastructures débordées. Cette dernière catastrophe naturelle a mis en évidence des problèmes de longue date découlant d’investissements inadéquats dans les infrastructures, qui intensifie l’impact de chaque inondation et laisse souvent les communautés touchées avec un soutien minimal. Les efforts de secours officiels ont été limités et les rapports montrent que des parties importantes du pays ont du mal à gérer les graves dégâts causés par les inondations.

50 000 infirmières au chômage en Iran

 Alors que 50 000 infirmières seraient au chômage en Iran malgré une pénurie de personnel de santé, Mohammad Sharifi Moghaddam, secrétaire général de la Maison des infirmières d'Iran, a déclaré : « Si nous ne réparons pas les infrastructures, embaucher revient à verser de l'eau dans une passoire. »

Un tiers des Iraniens privés de leurs besoins fondamentaux

 Un rapport du Centre de recherche du Majlis (Parlement) iranien montre qu'avec un taux de pauvreté stabilisé au-dessus de 30,1 %, un tiers des citoyens du pays ne sont pas en mesure de répondre à leurs besoins fondamentaux.

Des femmes d’Ispahan reçoivent des messages menaçants concernant leur hijab

 Depuis plusieurs mois, certaines femmes d’Ispahan reçoivent des messages anonymes d’avertissement concernant leur hijab, a rapporté le quotidien Shargh Daily le 25 octobre 2024.

Envoyés sous le nom du « siège provincial de la promotion de la vertu et de la prévention du vice », ces messages mettent en garde les femmes contre le port du hijab dans les espaces publics. Bien qu’elles portent déjà le hijab, certaines destinataires rapportent avoir été approchées par des « contrôleurs de hijab » qui leur ont conseillé de se couvrir entièrement les cheveux dans les transports publics, en particulier dans le métro. Ignorant ce conseil, elles ont ensuite reçu des messages textuels leur indiquant qu’elles risquaient des poursuites judiciaires en cas de « non-conformité » répétée.

Conférence à Berlin

Maryam Radjavi : reconnaissez la lutte du peuple iranien pour renverser la dictature religieuse

Mesdames et Messieurs, chers amis
Je vous adresse mes salutations.
Je vous remercie de l’attention que vous portez à la question de l’Iran et de la résistance du peuple iranien pour la liberté. Aujourd’hui, une dictature sauvage a fait de l’Iran l’épicentre de l’insécurité dans le monde. Mais en même temps, grâce à une résistance bien organisée pour la liberté et la démocratie, l’Iran est devenu un véritable espoir pour la paix et la sécurité mondiales. C’est le vrai visage de l’Iran qui a apporté de grandes contributions à la civilisation, la science, la philosophie, l’art et la littérature tout au long de l’histoire.

Les unités de résistance en Iran, un défi majeur pour le régime

 Alors que l’attention du monde entier reste focalisée sur la tension militaire entre le régime clérical iranien et Israël, une confrontation profondément enracinée se prépare en Iran même. Cette lutte interne, menée par les unités de résistance affiliées à l’OMPI et par la jeunesse rebelle, représente une campagne de plus en plus intense de la population iranienne contre le régime. Avec des actes allant de manifestations publiques de dissidence, aux ciblages des centres et symboles du régime les Iraniens prennent de plus en plus en main leur combat contre l’establishment clérical, témoignant d’un mécontentement croissant à travers le pays.

Vidéo : Comment les unités de résistance de l’OMPI façonnent l’avenir démocratique de l’Iran

Kowsar Dehban Zadeh : Maintien en détention et statut non résolu dans le centre de détention des services des renseignements de Chiraz

 Situation actuelle des prisonnières politiques Nayyereh Behnood et Golnaz Salahchin à la prison d’Evin

Kowsar Dehban Zadeh, sœur de la prisonnière politique Meysam Dehban Zadeh, détenue à la prison de Ghezel Hesar, a passé près d’un mois en détention au bureau des renseignements de Chiraz, communément appelé « Plaque 100 », alors que son cas n’est toujours pas tranché.

Mona Naghib, dans Tombées pour la liberté

 L’enfant innocente dont la vie a été prise dans la lutte pour la liberté

Mona Naghib, une fillette de 8 ans originaire de Saravan, une ville située dans la province du Sistan-et-Baloutchestan, au sud-est du pays, a été l’une des victimes innocentes des manifestations nationales de 2022. Cet événement tragique s’est déroulé à Aspich, un district proche de Saravan, où Mona a été tuée par balle.

Iran : des choix économiques difficiles ; capituler ou s’effondrer

Le quotidien Sharq a publié une analyse intitulée « le passage par la soumission », décrivant ce qu’il décrit comme un tournant critique pour le régime. L’article explore les difficultés du gouvernement sous Masoud Pezeshkian, décrivant un scénario sombre d’endettement croissant et de ressources en diminution, qui, selon Sharq, laisse à l’administration deux options difficiles : capituler face aux pressions économiques ou faire face à un effondrement inévitable.

Iran : Une attaque en règle contre les droits humains, (PRESENTATION À LA 48E SESSION DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LES DROITS DE L'HOMME, JANVIER-FÉVRIER 2025)

 Amnesty International -Cette communication a été préparée en vue de l’Examen périodique universel (EPU) de l’Iran, qui aura lieu de janvier à février 2025. Amnesty International y évalue la mise en œuvre des recommandations faites à l’Iran lors de l’examen précédent.

La prisonnière politique iranienne Varisheh Moradi dans un état critique après 16 jours de grève de la faim

 L'état de santé de Varisheh Moradi, membre de la Société des femmes libres du Kurdistan oriental, s'est détérioré au 16e jour de sa grève de la faim.

Au cours des 16 derniers jours, Mme Moradi a souffert d’une perte de poids importante, d’hypotension artérielle, de migraines et de douleurs articulaires et dorsales, la mettant dans un état critique.

Hoda Mehreganfar arrêtée pendant sa convalescence après une opération chirurgicale

 Le mardi 22 octobre 2024 au matin, Hoda Mehreganfar, ingénieure en électronique, et son père, Mohammad Ali Mehreganfar, ont été arrêtés par les services des renseignements iraniens.

Arnika Qaem Maghami, dans Tombées pour la liberté

 Oser élever sa voix pour la liberté

Arnika Qaem Maghami est née le 11 décembre 2005. Cette jeune fille de 17 ans a été tragiquement tuée lors des manifestations nationales qui ont balayé l’Iran en 2022.

Alors qu’elle manifestait pour la liberté, elle a été brutalement attaquée par les forces de sécurité du régime iranien. Arnika a été frappée à plusieurs reprises à la tête et au visage à l’aide de matraques.

Points de vue de Maryam Radjavi sur les droits humains en Iran

 La Résistance iranienne qui lutte pour l’instauration de la liberté, l’égalité et la démocratie en Iran, avec une république fondée sur la séparation de la religion et de l’Etat, insiste sur son engagement à raviver les droits humains en Iran et à abolir la peine de mort après le renversement de la dictature religieuse. Elle s’engage à adhérer totalement à la Déclaration universelle des droits de l’homme, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, à la Convention contre la torture et la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes. Elle s’engage également à instaurer un système judiciaire moderne, fondé sur le principe de la présomption d’innocence, le droit à la défense, le droit à la justice, le droit de bénéficier d’un procès public et la pleine indépendance des juges.

Les vestiges de la dictature du Shah au service de la continuité du régime iranien

 Alors que l’Iran est confronté à des troubles internes et à des pressions internationales croissantes, le régime de Téhéran trouve du réconfort dans une distraction familière mais malavisée : la promotion occasionnelle à l’étranger de Reza Pahlavi, le fils du dictateur monarchique déchu. Si de tels gestes sont souvent présentés comme un soutien au changement, ils ne reflètent pas les réalités sur le terrain en Iran. En mettant en lumière une figure clivante sans véritable soutien parmi les Iraniens, ces efforts envoient un mauvais signal, que le régime est prompt à exploiter.