Le lundi 30 décembre, Abdollahi a déclaré au Club des jeunes journalistes que les salles de classe préfabriquées avec plus de dix élèves ont été prioritaires dans le projet d'école préfabriquée.
Il a également révélé qu'environ 1 100 écoles construites en pierre ont été identifiées à l'échelle nationale et a déclaré que la planification de l'évaluation des besoins locaux et la sélection du site du projet relèvent de la responsabilité de l'Organisation de rénovation et des départements provinciaux de l'éducation.
Le 27 novembre, Hamidreza Khanmohammadi, directeur de l’Organisation pour la rénovation, le développement et l’équipement des écoles, a averti que sept provinces – Téhéran, Qom, Sistan-et-Baloutchistan, Khouzistan, Khorasan-Razavi, Alborz et l’Azerbaïdjan occidental – sont confrontées à une grave pénurie d’écoles.
Le 14 octobre, Alireza Kazemi, ministre de l’Éducation, a déclaré : « L’existence d’écoles préfabriquées ne signifie pas une crise ; les conditions environnementales et parfois le nombre d’élèves conduisent à la création d’écoles préfabriquées. »
Selon les statistiques officielles, environ 70 000 salles de classe du pays ont besoin d’un renforcement structurel, et 30 000 autres nécessitent d’être démolies et reconstruites.
Le financement nécessaire à l’amélioration des espaces éducatifs et à la construction de nouvelles écoles en Iran est généralement assuré par la participation de constructeurs d’écoles philanthropiques.
En mai, Safarali Yazerloo, directeur adjoint de l’Organisation pour la rénovation, le développement et l’équipement des écoles, a annoncé que 57 % des écoles du pays sont construites avec l’aide de particuliers et d’entités juridiques.
Ainsi, la part du régime iranien dans le financement de la construction d’écoles n’est que de 43 %.
Source: Iran Focus
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